slipkornt

Where Is The Truth?

Dimanche 18 décembre 2005 à 1:32

The Exorcisme of Emily Rose : L'histoire vraie de l'exorciste de Anneliese Michel (R.I.P.)


L'histoire vraie...

Né en septembre 1952, au mois de novembre 1973, une jeune fille du nom de Anneliese Michel, alors étudiante en Allemagne de l'Ouest est conduite chez un curé. De l'avis du prêtre, Anneliese est sous la possession du démon. Ses parents disent que elle a un comportement étrange et très violents.


Anneliese Michel


L'Église conseille un exorcisme, selon leur procédure, la demande est soumise a un expert en exorcisme,
spécialiste de la possession démoniaque. C'est le père Adolf Rodewyk qui devient responsable de cette pratique. Il a 81 ans, il recommande aussi l'exorcisme de cette femme. L'évêque du diocèse autorise donc les rites de l'exorcisme.

Anneliese était sous traitement épilepsique depuis quatre ans. Deux révérends furent choisis pour le cas de Anneliese Michel et après une longue période d'exorcisme elle mourut en 1976. En 1978, ses parents et les deux exorcistes furent inculpés d'homicide.


La mort de Anneliese fut un cauchemar pour l'Église. Les dangers de l'exorcisme entre la responsabilité médicale et sacerdotale. En 1963, le père Adolf Rodewyk avait écrit un manuel sur la possession, sous le titre "Possessed by Satan", pourtant dans ce manuel il recommandait de chercher avant tout une explication médicale face à des gens ayant subitement un comportement étrange et très violents.

Selon le Rituel romain, l'exorciste ne devait pas conseiller de médicament au possédé, car ce rôle était destiné à un médecin, par contre le Rituel ne disait pas qu'un médécin devait y assister. Sérieuse lacune. Depuis l'affaire de Anneliese Michel, chaque exorcisme Catholique pratiqué doit être maintenant sous la surveillance d'un médecin. Sources: The New York Times, 8 août 1976 - Adolf Rodewyk, "Possessed by Satan" p.11-20; Times, 8 août 1978.

Le film...

The Exorcism of Emily Rose (2005), alias The Exorcism of Anneliese Michel. C'est l'actrice Jennifer Carpenter qui tient le rôle de Emily Rose (Anneliese Michel) dans cette super production basé sur l'affaire Anneliese Michel durant le début des années soixante-dix. Le film est réalisé et écrit par Scott Derrickson qui fut scénariste des films Urban Legends: Final Cut (2000) et Hellraiser: Inferno (2000).





Le tournage du film débute en novembre 2004 à Vancouver au Canada. Le film sort en grande première le 1 septembre 2005 dans le cadre du Venice Film Festival en Italie. Le 9 septembre 2005, il prend l'affiche dans les cinémas de l'Amérique du nord. Le film raconte l'histoire de Erin Bruner, une avocate qui prend la défense d'un prêtre qui semble t'il est responsable de la mort d'une jeune femme à la suite d'une séance d'exorcisme qui aurait mal tourné.


http://www.rocler.qc.ca

Samedi 17 décembre 2005 à 13:38

Vous connaissez certainement les plus grands chefs d'oeuvres Disney?


Mais saviez-vous que du "SEX" était discrètement inséré dans certains de ces dessins-animés par le moyen d'images subliminales??




Vous voyez? Regardez bien entre Ariel et son fiancé et remontez: ne serait-ce pas un phallus? mdr




Quand même étrange, on dirait que le prêtre se sent, comment dire, émoustillé par la mariée. (ou peut-être par le marié, qui sait! ptdr)




Voici certainement la plus connue, la femme à poil en arrière plan de Bernard et Bianca!




Sans commentaires, je pense!




Celle-ci est sans fondement car on pourrait penser qu'il n'est pas écrit SEX mais SFX...


MAIS OU VA-T-ON? JE VOUS LE DEMANDE!!

Vendredi 16 décembre 2005 à 19:14

Vous aimez pleurer??

Alors ce chef d'oeuvre est pour vous!!!

Le tombeau des lucioles

Le Tombeau des Lucioles (Hotaru No Haka), de Isao Takahata-Studio Ghibli (1988)

Une grande et belle morale sur la nature humaine

Un jeune garçon est dressé, immobile, le regard figé droit devant lui. Une voix se fait entendre... "La nuit du 21 septembre 1945, je suis mort." On le voit alors, très maigre, allongé dans une gare. Il est en train de mourir. Des personnes s'occupant de la gare, constatant sa mort, prennent une vieille boîte rouillée se trouvant à côté de son cadavre, et la jettent quelques mètres plus loin, dans la campagne éclairée par une nuit étoilée. A ce moment, une petite fille espiègle, semblant sortir de nulle part, ramasse une boîte de bonbons par terre, et se jette dans les bras de son frère qu'elle retrouve enfin...

Le tombeau des Lucioles est un film incroyablement beau et émouvant voyageant dans une vague de tristesse et d'humanisme.
Tiré du récit autobiographique de Akiyuki Nosaka La Tombe des Lucioles (1967), ce film raconte l'histoire d'un jeune garçon, Seita, 14 ans, et de sa petite sour, Setsuko, 4 ans, qui ont survécu au bombardement incessant de Kobe par les Américains. Orphelins, ils trouvent refuge chez leur tante qui semble ne pas être ravie d'avoir deux bouches de plus à nourrir. Seita décide alors de s'installer dans un vieux refuge pour pêcheurs hors de la ville avec sa petite sour, poussés par la méchanceté de leur tante.
Malheureusement, les temps sont durs, et hors de la communauté, Seita ne peut espérer avoir une quelconque ration. Setsuko devient de plus en plus malade et Seita se voit obligé de voler de la nourriture dans les champs la nuit, ainsi que des couvertures dans les maisons temporairement abandonnées par leurs occupants à cause des bombardements. Un film qui se veut parfois dur, très dur.

Le Tombeau des Lucioles est donc un film qui repose sur une morale. L'auteur, Isao Takahaka, en plus de se fonder sur un récit émouvant et vrai, donne sa vision du militarisme et du patriotisme.
Ici, le réalisateur et scénariste ne se positionne pas seulement contre les Américains, mais également contre les Japonais, qui ont fait preuve d'un patriotisme exagèré et stupide.
Ne vous attendez donc pas à voir une critique inacceptable sur les Etats-Unis, même si, quelque part, cela aurait été légitime... Non, dans ce film, tout le monde est critiqué. Les seules choses importantes sont les victimes.
Isao Takahaka nous sert donc sur un plateau de bambou une forte morale sur la stupidité humaine, un peu à l'instar de son ami et collaborateur Hayao Miyazaki (Mon Voisin Totoro, Princesse Mononoke, Le Voyage de Chihiro, etc.).

Préparez donc vos mouchoirs : Le tombeau des Lucioles n'est pas là pour nous faire rire. Néanmoins, le film sait se faire très poétique. Certaines scènes sont même très belles, en particulier quand les deux enfants capturent des lucioles, et les libèrent ensuite dans leur refuge. Une scène inoubliable tant l'émotion et la beauté des images sont poignantes.

En ce qui concerne l'aspect technique, on ne peut pas vraiment faire de reproches. C'est beau, très beau, surtout dans la gestion des sources lumineuses lors de la scène avec les lucioles. Sinon, le film ne brille pas plus que ça par sa réalisation mais l'intérêt, vous l'aurez compris, n'est pas là.

Les musiques sont quant à elles excellentes et véhiculent bien les émotions du film en les renforçant. Personnellement, il me suffit de mettre le CD de Le Tombeau des Lucioles pour verser une larme...

En effet, il est dur de retenir ses larmes devant une telle tragédie, surtout devant la pureté des deux enfants se retrouvant seuls au monde face à la guerre. Un film traditionnel ne pourrait pas faire mieux : il en serait paradoxalement beaucoup moins crédible.
Ce film a d'ailleurs été amplement récompensé et admiré dans le milieu de l'animation, et a reçu au festival du film de Moscou le fameux Prix Unicef pour son message de paix...
Une nouvelle raison de s'intéresser aux Mangas et d'apprécier un genre de plus en plus boudé par le cinéma traditionnel.

http://www.asiepassion.com

Mercredi 14 décembre 2005 à 17:41


Les petits hommes rouges ?



Les américains sont loin d'avoir le monopole des extra-terrestres. Et le Brésil nous avait caché ses crash d'ovnis. Je dis cela car en France n'en a très peu parlé par rapport à Roswell et à la zone 51, mais il s'avère qu'au Brésil un autre crash a eu lieu, loin d'être parent à celui de Roswell, car ils n'ont trouvé aucune trace de vaisseau spatial, seul leurs habitants. Et en plus ces derniers, loin d'être très ressemblant avec ceux décris quelques dizaines d'années auparavant sont rouges avec trois bosses sur le front. Qui sont -ils ? D'où viennent-ils ? Ce sont les questions les plus courantes, mais désormais une autre se pose : Où sont-ils maintenant ?



1ere Rencontre


C'est à 8 heures du matin, le 20 janvier 1996, que les pompiers de Varginha, au Brésil reçoivent un appel téléphonique leur disant qu'une bête rode dans les alentours. Mais ils ne se pressent pas car les animaux sauvages sont nombreux et celui-ci pourra bien attendre. Mais ils vont être assez surpris pour le compte ! ! Devant eux, accroupie sur ses deux pattes, se trouve une créature d'un mètre de haut, les yeux rouges sangs, la peau brune et huileuse. La bête porte trois bosses sur le front et a, à la place de la bouche, un petit orifice, d'où sort une sorte de bourdonnement comme celui d'un essaim d'abeille. Visiblement l' "animal " est blessé. Le chef des pompiers décide d'appeler une base militaire voisine et ils essayent d'attraper la bestiole. Cette dernière est enfermée dans une caisse en bois qu'il doivent remettre aux militaire, arrivés sur place en un temps record.



2eme Rencontre


Un deuxième événement se passera ce jour là et ce ne sera plus seulement des pompiers qui interviendront, mais des militaires et un ufologue : Ubirijara Franco Rodrigues. Ce dernier interviewera trois jeunes filles qui diront avoir trouvé une créature tapie dans un immeuble non loin de l'endroit où l'on trouva la première. Ces trois gamines étaient sûr d'avoir rencontré le diable en personne, rouge avec trois bosses sur le front. La capture ne sera pas discrète du tout, et la bête sera encagée devant toute une foule de passants.



Le 1er extra terrestre


Selon le personnel de l'hôpital où elle fut transférée, elle mourut le 22 janvier, vers 18h. D'aprèe des témoins, l'autopsie se serait déroulée au centre d'une salle où la créature aurait été étendue sur une caisse en bois. L'un des médecin aurait alors forcé l'ouverture de la minuscule bouche du cadavre pour en retirer une langue noire. Après quelques secondes le médecin relâcha sa prise et la langue se rétracta immédiatement. Elle aurait eu trois bosses sur le font, trois doigts a chaque mains. Elle n'avait ni nombril, ni mamelon ni organe sexuel apparent. La peau était brune et huileuse, de couleur brune, et présentait d'importantes rides ou éraflures au niveau de l'articulation des jambes. Le corps de cette créature ainsi que l'autre, qui doit être encore vivante, sont sûrement dans un camps américain.



Men in Black


La mère des jeunes filles ayant témoignées devant l'ufologue reçu la visite d'homme, aux costumes de marques aux tons clairs ( et oui, tous le monde change avec la mode ) lui ayant demandé de faire changer la déposition de ses filles, et qu'elles disent qu'elles ont menti. Cette dernière refusa la somme d'agent, et ils promirent de revenir sur un ton menaçant, puis quittèrent les lieux au volant d'une Lincoln Continental bleue.



Vénéneux


Un policier présent sur les lieux et simplement égratigné par l'une des créatures, lors de sa capture, décéda deux jours plus tard. Si la communauté officielle de l'hôpital prétexta une pneumonie, la famille ne pu jamais avoir des renseignements plus précis sur cette foudroyante maladie.



Wanted ! ! ! ! !


Une troisième créature est toujours en liberté selon de nombreux témoignages. Un homme ayant faillit la renverser en voiture, et une femme, sortie pour fumer une cigarette sous la véranda, se trouva nez à nez avec elle. Sa description fut totalement semblable a celle des autres. Il y a au moins une troisième créature. Serait-elle perdu comme les autres, où bien serait-elle venue, avec des amis, porter secours aux pauvres crashés ?


http://perso.wanadoo.fr/weirdwideworld

Lundi 12 décembre 2005 à 23:41

LA CRYPTOZOOLOGIE


Définition


Le terme de cryptozoologie (du grec κρυπτός « caché », ζῷον « animal » et λόγος « étude », soit « étude des animaux cachés ») désigne une science biologique spéculative consistant en l'étude d'animaux dont l'existence même est sujette à caution, tels le Yéti, le monstre du Loch Ness ou le Sasquatch (en anglais Bigfoot), ou encore des animaux supposés éteints.


Bien que « l'invention » du terme ne lui soit pas attribuée, le zoologue Bernard Heuvelmans est considéré comme le créateur de la cryptozoologie dans son ouvrage de référence Sur la piste des bêtes oubliées (1955).


Controverse


Certains ne voient dans cette discipline qu'une pseudo-science, qu'ils rapprochent de l'ufologie ou de la parapsychologie, puisque cette discipline est une science biologique spéculative.


L'essentiel de la controverse est certainement basée sur une incompréhension et une récupération par des escrocs. En effet, la zoologie et la paléontologie ont été fréquemment confrontées à des falsifications (par exemple à base de faux squelettes comme celui de l'Homme de Piltdown, construits à partir de plusieurs animaux), et la cryptozoologie prête particulièrement le flanc à ce genre de manipulation frauduleuse. Par exemple, le film du bigfoot le plus célèbre est celui de Right-Paterrson, où l'on voit une femelle Big Foot s'éloigner du caméraman. Il a été maintenant prouvé que ce film était un faux, un enquêteur ayant non seulement retrouvé la personne qui portait la tenue de l'animal, mais aussi recueilli divers témoignages sur la façon dont Right-Paterrson s'était procuré la tenue et l'avait préparée pour le tournage.


Pour autant, la solution consistant simplement à écarter systématiquement comme divagations psychologiques les témoignages d'animaux étranges (surtout quand ils font partie du fonds culturel de l'endroit), et à écarter d'emblée l'hypothèse d'un animal rare et spécifique, ne relève que du dogmatisme rationnaliste le plus étriqué, et non de la science. On ne peut pas non plus écarter que des incohérences ne soient dues qu'à l'attribution de plusieurs causes réelles (éventuellement plusieurs animaux) à une même base légendaire.


Le cryptozoologue sérieux ne cherche pas non plus à systématiquement prouver l'existence d'un animal étrange et nouveau. Il lui suffit de rapprocher les légendes d'un animal connu, ou de trouver une autre explication raisonnable. On citera par exemple



Il faut également rappeler que, si l'Europe est complétement quadrillée par l'homme et qu'on n'a aucune chance d'y découvrir une nouvelle espèce de grande taille, il reste des zones où l'homme est assez rare pour qu'il y existe des mammifères inconnus de l'occident. Des animaux qu'on croyait disparus ou imaginaires n'ont été attestés que tardivement, comme par exemple l'okapi, découvert en 1901, le panda géant, à la fin du XIXe siècle, le bonobo ou le paon congolais, avant la Seconde Guerre mondiale. On peut encore citer la re-découverte du cœlacanthe, un poisson que l'on croyait avoir disparu il y a 65 millions d'années. On a parfois la chance de redécouvrir des zones de survie pour des animaux qu'on pensait éteints. Ce type de découverte est toutefois plutôt un heureux hasard, ou le résultat d'un travail zoologoque plus classique, que le résultat d'une étude spécifiquement cryptozoologique.


La cryptozoologie utilise des témoignages, mais aussi toute trace matérielle (traces, excréments, poils, etc.).


http://fr.wikipedia.org


Quelques photos: