slipkornt

Where Is The Truth?

Mardi 3 janvier 2006 à 22:07

Bases et tunnels souterrains
La Base souterraine de Dulce et les autres...





Existe-il un monde mystérieux souterrain sous nos pieds?


Depuis des siècles d'étranges légendes circulent au sujet d'un mystérieux univers de cavernes peuplées d'êtres tout aussi étranges. Beaucoup d'UFOlogues pensent qu'il est possible que les Ovnis puissent provenir de bases souterraines crées par des extraterrestres en vue de missions concernant la terre et les êtres humains.


Depuis des générations, des mythes, des légendes ou des rumeurs circulent sur ce monde enfoui. Certaines de ces légendent datent de l'Antiquité. Elles évoquent une flore et une faune fantastique peuplant les cavernes des peuples anciens. Socrate parlait d'immenses trous dans la terre habitée par l'homme et de vastes cavités traversées par des rivières.

Dans le mont Kokoweef, au sud ouest de la Californie, on subodore l'existence d'une grande caverne légendaire. Dans les années 30, Eart Dorr, prospecteur minier, suivant des indications d'Indiens, pénétra dans le lieu dit 'Cave de Cristal' jusqu'à un km et demi de profondeur. Il explora ensuite une grande caverne pendant 12 km. Là coulait une rivière dont le niveau suivait les marées lunaires et qui déposait sur ses rives un sable noir riche en or. Un jour, fou de douleur par la fièvre, Dorr condamna l'entrée de sa fabuleuse caverne à la dynamite. De la naquit une légende qui depuis fascine les hommes à la recherche de la légendaire richesse tapie dans les profondeurs de Kokoweef.

C'est chez les Indiens d'Amérique que cette croyance en un monde souterrain est la plus répandue. Les Hopis croyaient être issus d'un tunnel infra terrestre qui prenait sa source près de Flagstaff à la base des cimes de San Francisco.

Des légendes font aussi état d'un mystérieux Mont Shasta en Californie du nord. On prétend que cette montagne a hébergé les survivants d'un peuple de Lémuriens qui avait construit cette caverne dans les profondeurs de la terre pour échapper à des catastrophes. Ces Lémuriens avaient fait alliance avec des voyageurs de l'espace bâtisseurs d'une base souterraine pour leurs appareils.

Chacun est libre de penser ce qu'il veut sur l'existence de telles cavernes enfouies. C'est un fait, cependant, que le gouvernement américain a construit des tunnels et des installations souterraines pour des tas de raisons. Les Chinois, les Russes et les Vietnamiens l'ont tous fait. Dès lors, il n'y a rien de surprenant que les Américains aient leur propre monde secret.

Un rapport officiel des autorités américaines du 7 août 1989 révèle, entre les lignes, le plan secret destiné à assurer la continuité du gouvernement en cas de catastrophe. Le plan est baptisé "de la continuité du gouvernement" (COG). Le texte stipulait que ce programme, si tant est qu'il fonctionnât, était l'ultime assurance vie du gouvernement dût la fin de monde se produire. En 1982 on créa un nouvel organisme : " l'Agence Chargée des Méthodes de Planification de la Mobilisation" sous la supervision du président. Dans l'éventualité d'une attaque nucléaire, des équipes spéciales détenant des plans de guerre, des codes militaires, et autres données sensibles seraient chargées d'accompagner les successeurs désignés du président vers des postes de commandement secrets disséminés dans le pays. Il était également prévu l'évacuation des 46 officiers sélectionnés du" Plan Global d'Evacuation d'Urgence". On trouve 50 de tels bunkers de retraites situés dans 10 régions du pays, tous reliés par satellite ou réseaux souterrains de communication.

Les recherches sur les constructions à grande profondeur ont été subventionnées par l'Us Air Force depuis 1958. La firme RAND a mené de telles études et est l'auteur de comptes rendus sur des méthodes de construction, sur les équipements et les installations et sur la création de cavités par explosions nucléaires.

La ventilation des constructions souterraines posait un grand problème aux ingénieurs. Il fallait prendre en compte les questions de ventilation, de contamination et pas seulement celles des retombées radioactives. Un travail sous terre implique des facilités d'entrée-sortie et l'aménagement de lieux de vie. Des puits ou des tunnels assureront la circulation tandis que des espaces ouverts tels que des chambres, des voûtes seront nécessaires à l'hébergement. Tout cela implique des tas de problèmes de construction. Ceux concernant les lieux de vie, et donc les plus larges ouvertures sont les plus complexes. D'une façon générale les problèmes posés par la création et la maintenance de telles installations sont spécifiques.




On utilise d'énormes foreuses à disques broyeurs de grands diamètres pour créer les tunnels qui relient les logements et les installations.

Pour le Tunnel sous la Manche, le plus grand projet européen jamais entrepris, trois excavations ont été nécessaires entre la France et l'Angleterre. Les 11 machines chargées du travail sont d'une taille telle qu'elles nécessitent d'être assemblées dans des cavités souterraines de 20 mètres de haut. Le passage entre le détroit de Douve et le Pas de Calais emploiya 6 de ces machines tandis que 5 autres étaient chargées de relier les souterrains à la surface. Les ouvriers contrôlaient sur écran vidéo les têtes de tungstène et des lasers.


Ces foreuses ressemblent à d'énormes vers d'acier. Pour chaque machine, le creusement proprement dit, l'évacuation des déblais et la finition du travail par béton précontraint sont assurés par une équipe de 35 hommes. Chacune d'elle fait 180 mètres de long, comporte des lames de 8,7 mètres de diamètre et pèse 95 tonnes.


La publication Omni a produit, en septembre 83, un reportage photo le système Subterrene, un tunnelier nucléaire développé à Los Alamos. La machine pratique, par chauffage intense, un profond trou dans la roche. Quand elle se retire, il reste du magma ainsi crée, un tube vitrifié et lisse qui peut servir à des navettes de liaison ultra rapides.


Info plutôt intéressante : Charles Kaempen a inventé un conduit en matériaux composites doté d'une énorme résistance à la compression. C'est une sorte de tube que l'on peut simplement poser sur le fond de la mer sans aucune excavation. Une proposition a été faite à l'Espagne en vue de relier le Maroc.

Il existe un engouement sur le sujet. Selon le Wall Street Journal du 12/12/90, Susan Nelson, directeur de l'Association américaine pour l'aménagement des espaces souterrains, a dit : "Nous assistons tout bonnement actuellement à un intérêt croissant pour les tunnels et les installations souterraines d'une façon générale." Ce secteur d'activité croule sous des propositions de financements gouvernementaux. L'Espagne veut créer un tunnel sous les Pyrénées vers le Maroc. Les Norvégiens envisagent quelque chose sous les fjords. Les Japonais gambergent un truc vers la Corée du Sud. Les Canadiens construisent un tunnel reliant le Nouveau Foundland à l'île Prince Edward. En Amérique pas moins de 87 projets de tels travaux publics sont envisagés dans les 3 ans à venir.

N'oubliez pas que tous ces projets sont civils. La technologie civile ne fait qu'emprunter aujourd'hui, des chemins sur lesquels les militaires sont déjà passés hier. Le "Rapport Rand", présentait, en 1959, des photos de grandes foreuses de tunnel (TBMs). Il est probable que les militaires utilisent de tels engins depuis les années 40 dans des projets à grande échelle. Les tunnels font l'objet d'un fort intérêt à cause de la surpopulation mondiale. En Italie du Nord on prévoit d'enfouir une partie d'autoroute pour éviter de passer au travers des zones forestières et agricoles d'intérêt historique. M. Russell J. Miller de l'école des mines du Colorado et directeur du Centre pour les projets miniers dans l'espace à Bouder, Colorado, étudie la faisabilité de bases spatiales et de cités souterraines sur Mars et sur la Lune. Bien sûr, il est bien possible qu'un inconnu l'ait déjà devancé.

Selon des informateurs, dans des installations souterraines, les ouvriers sont transportés et ramenés de leur travail par des tubes navettes. Il ne s'agit pas uniquement d'un métro. Ces conduits sont dotés de haute technologie. Dès lors il n'est pas surprenant d'apprendre que Frank P. Davisson du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ait, pour désencombrer les voies aériennes, imaginé des avions électriques "sans ailes" se déplaçant à toute vitesse dans des tubes scellés, sortes de chambres à vide sans friction. Peut-être devrait-il rencontrer docteur Kaempen et envisager l'utilisation de sa buse en composite.
(photo ci-contre: site de tests nucléaires au Névada US.)

Les ouvriers tunneliers ont leur propre association intitulée "Les Taupes". Ils sont bien plus intéressés que la plupart d'entre nous, occupants de la surface, par les conversations sur les tunnels et leur percement. Ce n'est plus un mystère que des gouvernements disposent de leurs propres tunnels secrets et de chemins de fer souterrains. Les dirigeant chinois ont fait construire des galeries cachées équipées de voies ferrées sous Pékin afin de pouvoir prendre la fuite en cas de crise. Selon un fonctionnaire chinois, les tunnels relient les maisons des dirigeants, des bâtiments du gouvernement, la banque centrale et une base militaire. Cela ressemble à un plan de fuite bien concocté. Prend tes biens les plus précieux, de l'argent frais à la banque, récupère des gardes armées dans une base et tire toi vite fait! Le réseau a été construit pendant près de 40 comme défense contre des envahisseurs étrangers. Nous pouvons être sûrs que, ce que la Chine a fait, nous aussi l'avons fait.

Le Japon, dense et surpeuplé, pense sérieusement à aménager la vie sous terre. Ils envisagent de créer des plantations, des lignes de chemin de fer et des villes souterraines. Selon un récent numéro du journal Ommi, l'entreprise Taisei projette la construction sous la surface d'un complexe appelé "Alice City". On y trouverait des magasins, des bureaux, des hôtels, des théâtres et des terrains de sport. Des erres de promenades arborées peuplées d'oiseaux et agrémentés d'aquariums de ponts et de chutes d'eau serpenteraient ici ou la. La Société Shimizu dispose de plans de construction, sous Tokyo, d'un réseau souterrain s'étendant sur 5000 Km2. Ce réseau contiendrait des centres commerciaux connectés par navettes souterraines que pourraient emprunter les ouvriers.

Selon l'écrivain de science fiction Isaac Asimov, la vie souterraine présente des avantages. D'abord plus personne ne s'inquiéterait de la météo. La température serait maintenue à un niveau constant entre 13 et 16 degrés. Ceci permettrait d'économiser beaucoup de l'énergie utilisée pour le chauffage ou la climatisation. En l'absence de cycle solaire diurne, les activités de travail et de loisir seraient susceptibles d'être réparties sur 24 heures selon les préférences de chacun. Tous les transports, l'hébergement et la communication seraient souterrains libérant la surface du foulonnement humain. La surface de la terre serait dotée de centres de récréations et de restaurants ou tout un chacun pourrait observer un ciel clair, le renouveau de la planète, la vie animale et disposerait de place pour l'excursion de fin de semaine. Les tremblements de terre causeraient seulement le cinquième les dégâts aux structures souterraines qu'ils causent à celles de surface. (lisez le livre anglais de Jules Vernes gratuitement: "Underground City" ou Cité Souterraine)

Dans un livre spéculatif et provocateur intitulé 'Alternative 3, l'auteur Leslie Watkins soutient l'idée d'une communauté scientifique devenue concernée par l'état l'atmosphère terrestre, scénario qu'il est beaucoup plus facile d'accepter de nos jours. Trois alternatives sont nées de réunions secrètes entre scientifiques.

"L'alternative 1" consistait à créer des trous par explosion dans la stratosphère afin que la chaleur et la pollution puissent s'échapper.

"L'alternative 2" envisageait le transfert de la population Terrestre dans d'immenses cavernes souterraines alimentées par l'air froid et frais du sol. (Peut-être, une Alternative 2 réelle est t-elle en cours).

"L'alternative 3" prévoyait d'échapper de la Terre pour aller sur Mars. Nous considérerons l'Alternative 3 plus tard. Spéculer sur l'existence ou non de tels plans n'est pas notre propos, mais les concepts sont utiles dans l'examen des futures directions de projets secrets.

En 1957, Le Commissariat à l'Energie Atomique (CEA) fut à l'origine de Projet Plowshare destiné à développer des utilisations pacifiques d'explosifs nucléaires. Il a étudié l'utilisation de détonations nucléaires pour construire des ports, des barrages, des coupes, des excavations d'autoroutes et des canaux suivant en cela la pratique des explosions chimiques dans l'exploitation des gisements de gaz et de pétrole. Le premier essai de cette technique, connue sous le nom de "Projet Gasbuggy", a eu lieu à 1300 mètres de profondeur au lieu dit "Bassin de San Juan" dans un secteur désolé du Nouveau Mexique. Le 10 décembre 1967, "un dispositif" nucléaire de 26 kilotonnes a explosé dans un puits fermé.

Gasbuggy n'était qu'une simple expérience. Le CEA associé à l'Austral Oil Company de Houston, a, par la suite, initié la première d'une longue série d'explosions nucléaires bi annuelles de charges de l'ordre de 100 kilotonnes s'étendant sur plus d'une décade. La première, baptisée Projet Rulison eut lieu le 10 septembre 1969 à Rifle, Colorado ou l'on fit exploser un engin de 40 kilotonnes à 2500 mètres de profondeur.

Il est possible que la méthode qui a été suggérée pour construire des bases sur la lune soit déjà utilisée sur terre. Avec des détonations nucléaires contrôlées il serait possible de creuser des cavités au-dessous de la surface lunaire. Un missile forerait un trou une 15zaine de mètres profondeurs et une deuxième explosion créerait une cavité de 14 mètres de diamètre. Un igloo serait construit sur le trou, la cavité étanchéifiée avec un sac plastique serait ensuite remplie d'air. On construirait ainsi des zones de travail et des logements.

On trouvera peut-être plus efficace de 'caser' les futurs colonies lunaires sous la surface, dans des cavernes artificielles ou naturelles plutôt que de construire des dômes exposés aux météorites. Des logements, de spacieux parcs, des lacs et des secteurs boisés pourraient ainsi être construit en sous-sol. Les colons des différentes bases seraient reliés par un conduit de transport.

Revenons sur terre où des témoignages font état d'espaces suspects. Un ex-officier chargé de la sécurité, a dit, qu'une fois, alors qu'il travaillait sous terre dans le secteur du Lac de Groom dans le Nevada, il avait vu un terrain de base-ball et une piscine de taille Olympique dans une des cavernes à 1.6 km de profondeur dans ce désert.

Que se passe t-il dans les profonds tunnels souterrains de la Base Mercure du Site d'Essai du Nevada ? Après avoir entendu l'histoire de Bob Lazar à la radio KVEG, un ouvrier du bâtiment a appelé Billy Goodman et Bob Lazar pour leur dire, "Nous sommes les ouvriers du bâtiment... on monte et on démonte des trucs... sur sept d'entre nous vous en trouverez deux à bouger pour vous soutenir." Ce mystérieux interlocuteur a dit plus loin "Il n'y pas que des tunnels là-bas. Il y a tout ce que vous pouvez imaginer là-bas. Je sais cela car c'est nous qui avons installé tout cela. On a tout fait."
Des informateurs nous ont mentionné des tunnels et d'installations souterraines au Nouveau Mexique, à Dulce, à Sunspot, à Datil, Corona, Taos Pueblo et à Albuquerque; en Arizona dans les montages de Santa Catalina; dans le Colorado à Delta, Grand Mesa, et à Colorado Springs; en California à Needles, dans la Base Aérienne Edwards, dans les montagnes Tehachapi , au Fort Irwin, dans la Base Air force de Norton et à Morongo Valley; dans le Nevada à Blue Diamond, la base Air Force de Nellis à Groom Lake, et dans les zones du Lac Papoose areas, La Montage Quartzite , et à Tonopah.


C'est en été 1988 que je m'intéressai à la possibilité d'une installation souterraine dans les Montagnes Techachapi. Un jeune couple, Ray et Nancy, a raconté qu'ils étaient allés sur un plateau dans les montagnes après la fin du service de Ray à l'usine Northrop Plant (Ndtr: constructeur aéronautique). Ray était inspecteur dans le projet B-2. Le plateau jouxte l'enceinte du Ranch Tejon loué à la Northrop qui y a construit des installations souterraines secrètes. Il était environ une heure le matin quand Ray et Nancy ont remarqué un globe brillant sortant de terre et qui a projeté la lumière dans leur direction. Ils ne pouvaient s'expliquer un trou dans leur emploi du temps (missing time ) de 2 heures et demie. Ray pensait qu'ils avaient observé le globe pendant environ une heure, il ne souvient ensuite que du lever de soleil. Sous hypnose, Ray se remémora avoir été enlevé et amené dans une base habité par des d'extraterrestres de type 'petit gris' et par le personnel de sécurité de la Base de l'Air Force. Les entités examinaient Nancy maintenue sur une table de métal. Ray fut profondément bouleversé par le rappel de cet incident sous hypnose.

Un autochtone a prétendu avoir même vu une soucoupe volante apparaître et décoller d'un silo sur la propriété.



Photo d'une "foreuse à tunnels " des Forces de l'Air Américaines à Little Skull Mountain, Névada, USA, décembre 1982.


Un entrepreneur s'est plaint d'avoir été dérangé par des sondes de l'armée planant dans les tunnels souterrains sur lesquels il travaillait. Ces sondes ressemblaient à de petits globes et il disait que ces installations étaient surnommées LA FOURMILLERE à cause de leur ressemblance avec des colonies de fournis souterraines. Les tunnels ont des embrasures rondes, ils ne comportent pas de portes. Des panneaux de sécurité munis de feux verts et rouges sont attenants aux embrasures. Dans celles-ci on trouve des sortes de cylindres destinés à abriter un champ d'énergie d'un certain type.

Des hélicoptères noirs ont été aperçus autour de Boynton et du Secret Canyon près de Sedona en Arizona. Un homme vivant à Long Canyon a remarqué beaucoup d'étranges choses dans ces lieux et les habitants soupçonnent qu'une installation gouvernementale secrète y a été établie, si ce n'est un peu partout dans Secret Mountain! Un de mes investigateurs qui marchait à pied tard dans la nuit dans Canyon Secret a été arrêté par une voix venant d'un haut-parleur tandis que sa poitrine était visée par une lumière laser. On lui a signifié qu'il avait pénétré dans une zone interdite et qu'il devait faire demi-tour et s'en aller. Depuis, des photos des petits globes ont été prises autour de la "Fourmilière". Ces globes présentent nettement les caractéristiques particulières rencontrées dans d'autres observations d'Ovnis.

Depuis ce temps, nous avons localisé deux autres équipements secrets. L'un d'entre eux, Liano, se trouve dans le désert de Mojave. Ces installations sont très bien gardées, cependant des témoins ont vu une lumière extrêmement brillante brûler au sommet d'un pylône placé à l'intérieur d'une structure mobile de taille monstrueuse. Cette lumière n'illuminait pas l'intérieur de la structure! On a aussi vu des globes aux alentours de ces installations.

Nous en sommes réduits à des conjectures sur ces programmes secrets tenus à l'écart des regards curieux. Le monde clandestin peut et se doit de détenir toutes sortes de secrets. Certaines des révélations les plus étonnantes sur ce qui se trame dans les projets secrets viennent d'un mystérieux informateur nommé Thomas qui prétend qu'en effet, un sombre et profond secret s'abrite sous les imposantes hauteurs montagneuses du Nord du Nouveau Mexique.




L'Insondable et Obscur Secret
de Dulce au Nouveau Mexique




Dulce est une petite bourgade somnolente d'environ 900 habitants située au nord du Nouveau Mexique dans la réserve indienne apache de Jicarilla à 2100 mètres d'altitude. On y trouve seulement un motel digne de ce nom et quelques magasins. Ce n'est pas une ville touristique et elle n'est pas très active. Cependant, selon quelques étrangers, Dulce héberge un insondable et obscur secret dans les profondeurs des broussailles enchevêtrées du lieu nommé Archuleta Mesa. On dit que le secret est un laboratoire de biogénétique fruit d'une collaboration entre le gouvernement et les extraterrestres en vue d'expériences bizarres sur les humains et les animaux.

L'officier de police du nouveau Mexique Gabe Valdez a été entraîné dans les mystères de Dulce après avoir été appelé pour examiner une vache mutilée dans un pâturage du ranch de Manuel Gomez à 13 milles à l'est de la ville. Gomez avait déjà perdu quatre bêtes par mutilations entre 1976 et juin 1978 quand une équipe d'investigateurs incluant Tom Adams est arrivée de Paris (Texas) pour examiner le site incriminé.

La façon dont le bétail était choisi par les mystérieux mutilateurs était curieuse. Une expérience intéressante a été conduite le 5 juillet 1978 par Valdez, Gomez et Howard Burgess scientifique à la retraite. Ils ont prélevé environ 120 des bœufs de Gomez et les ont fait passer dans un passage éclairé par une lumière ultraviolette. Ils ont trouvé une "substance brillante sur le côté droit du cou, l'oreille droite et le pied droit." Pour chaque animal, on fit des prélèvements des zones affectées aussi qu'un prélèvement témoin. Les laboratoires médicaux Schoenfeld d'Albuquerque ont analysé ces échantillons et ont trouvé les dépôts significatifs de potassium et le magnésium. La teneur en potassium était de 70 fois la normale.

Quelques chercheurs attribuent les mutilations à des extraterrestres en Ovni. On a fréquemment vu de ces engins autour de Dulce. Des observations de feux étranges et autres phénomènes aériens ont été faites à de nombreuses reprises au moment de la découverte de bétail mutilé.

Le 19 avril 1988, je me suis rendu à Dulce pour rendre visite à Gabe Valdez et enquêter sur les observations, les non-dits et les rumeurs au sujet d'une base souterraine extraterrestre. Il y avait encore de la neige. Je me suis fait enregistrer au Best Western Motel et ai appelé Valdez pour fixer rendez-vous à 21h30. Gabe s'est révélé un hôte très agréable, offrant de me montrer cette nuit les routes aux alentours de Dulce et me désignant divers endroits où l'on avait trouvé des vaches mutilées et observé d'étranges feux aériens. Il m'a étonnamment déclaré toujours observer un avion non-identifé une nuit sur deux. Nous avons jeté un coup d'œil sur le ranch Gomez, la route près de la Rivière Navajo et l'imposant mont Archuleta. Gabe avait trouvé des traces d'atterrissage et empreintes de chenilles près du 'site des muets'. Il était convaincu que le scientifique Paul Bennewitz des laboratoires Thunder Scientific d'Albuquerque, était certainement sur la bonne voie quand il tentait de localiser les installations souterraines extraterrestres non loin de Dulce. Personne n'avait une idée précise de l'endroit ou se situaient ces installations ni de la façon dont les humains ou les extraterrestres s'y prenaient pour y pénétrer.

J'avais entendu parler de Paul Bennewitz pour la première fois en 1980 quand mon ami Walter m'avait appelé d'Albuquerque et m'avait dit avoir travaillé avec Paul sur des instruments électroniques. Selon Walter, Paul avait non seulement photographié des Ovnis, mais avait aussi établi un lien de communication avec leurs quartiers souterrains de Dulce. Au début, pendant le mois d'août 1980, Bennewitz, montant sur des hauteurs, avait parcouru du regard la zone dite Manzano de stockage d'armes de la base aérienne Kirtland. Un rapport d'incident daté du 28 octobre 1980, émanant de cette base, mentionne que Bennewitz a pris un film sur des Ovnis la survolant. Paul, alors président des laboratoires Thunder Scientific situés près de Kirland a donné une conférence à Albuquerque dans laquelle il détaille la façon dont il avait vu des extraterrestres sur un écran vidéo. À cette époque, les aliens lui transmettaient des signaux d'une base située au-dessous d'Archuleta Mesa.

Le Chercheur William Moore prétend que les agents du gouvernement ont commencé à s'intéresser aux activités de Bennewitz et ont essayé de le désamorcer en le gavant d'informations bidon. Que la communication de Paul avec des supposés extraterrestres fasse partie ou non de la campagne de désinformation n'est pas éclaircit! Si Paul est exclusivement à l'origine des informations sur les installations de Dulce, la tactique peut consister à déprécier son histoire et à le discréditer. La manœuvre de désinformation réelle aboutirait à ce que le public croit qu'il n'y avait rien dans l'histoire de Dulce.


Dans un rapport intitulé "le PROJET BETA," Paul déclare avoir passé deux ans à suivre la trace du vaisseau extraterrestre; qu'il pouvait recevoir en permanence des vidéos venant d'un de ces vaisseaux et aussi d'écrans de la base souterraine; qu'il avait établit des communications directes avec les aliens au moyen d'un ordinateur et un genre code hexadécimal avec des graphiques et des sorties imprimante; qu'il avait utilisé des photos aériennes et souterraines pour localiser le vaisseau muni d'armes à rayons. Paul soutenait que les extraterrestres étaient retors, usaient de tromperie et ne respectaient pas leur parole. Il travaillait avec Walter sur un armement destiné à les contrer.
Somme nous passé du monde réel à celui de la science-fiction? Mais alors, des phénomènes bizarres peuvent prendre source dans une réalité bizarre. Dans la suite de nos études le monde de la science-fiction deviendra celui de la science-factuelle.
Paul Bennewitz a examiné le cas d'enlèvement de Myrna Hansen du Nouveau Mexique, qui a rapporté avoir été conduite dans une installation souterraine en mai 1980. D'autre part, Christa Tilton d'Oklahoma affirme avoir vécu une expérience de "temps manquant" (missing time) en juillet 1987, quand, après avoir été kidnappée par deux petits gris et emmenée dans leur vaisseau à flanc de montagne elle rencontra un homme habillé d'une combinaison rouge de type militaire. Elle fut conduite dans un tunnel truffé de contrôles de sécurité informatisés et de caméras. Elle raconte avoir emprunté un véhicule de transport vers une autre zone où on la fit marcher sur une sorte de balance couplée à un écran d'ordinateur. La machine lui délivra ensuite une carte d'accès tandis que son guide lui précisait qu'ils venaient juste de franchir le niveau un d'une construction qui en comportait sept. Le récit de Christa se poursuit en relatant qu'elle avait finit par atteindre le niveau cinq ou elle avait vu un vaisseau extraterrestre ainsi que des entités de type petit gris dans certains endroits.

Dans une grande salle elle vit des capteurs informatisés reliés à des bras plongeant dans de grands réservoirs par un système de tubes. Elle remarqua un bourdonnement, une odeur de formol, et avait l'impression qu'un liquide était remué dans les réservoirs. On ne lui a pas montré leur contenu. Christa a fait les dessins de la plupart de ce qu'elle affirme avoir été témoin pendant son enlèvement.

Ces réservoirs sont aussi décrits dans une série de papiers appelés Les Documents Dulce (Dulce Papers), qui auraient été volés dans la base souterraine Dulce en compagnie de plus 30 photos en noir et blanc et une bande vidéo. Le mystérieux officier de sécurité qui a dérobé ces documents prétend avoir travaillé à Dulce jusqu'en 1979 avant de décider qu'il était temps de se séparer de ses employeurs.
Pour voir sur REAL MEDIA la vidéo clip des expérimentations bio-génétiques cliquez ici. Téléchargement 174 k.o.


Le reste de ce chapitre se rapporte à la façon dont cet officier de sécurité s'est associé un de mes collègues pour nous dire la vérité sur les extraterrestres, le Gouvernement américain et la Base Dulce. Son intention était de porter cela au grand jour en étayant ses dires par de sérieuses preuves.

À la fin de 1979, Thomas C. ne pouvait plus faire face à stupéfiante réalité à laquelle il était confronté. Officier chargé de hautes questions de sécurité sur la base commune extraterrestres/gouvernement américain de Dulce, il avait appris et assisté à des choses perturbatrices. Après un grand tiraillement intérieur, il s'était décidé à déserter l'établissement en emmenant divers éléments.
Muni d'un petit appareil, il prit plus de 30 photos dans différentes zones du complexe multi-niveaux. Il rassembla des documents et s'empara d'une bande vidéo sécurité dans le Centre de Contrôle montrant différents vues de labos, de couloirs, d'aliens et du personnel gouvernemental américain. Puis, coupant l'alarme et le système de caméra dans une des 100 sorties vers la surface, il quitta les installations avec les photos, la vidéo et des documents. Il cacha les originaux après en avoir fait un jeu de cinq copies.

Thomas était prêt à entrer à la clandestinité. Mais, quand il alla récupérer sa femme et son fils, il était attendu par des agents du gouvernement en fourgonnette. Sa femme son enfant avaient été enlevés. Il avait été trahi par K. Lomas (un collège). Les agents voulaient ce que Thomas avait pris dans la base en échange de sa femme et de son fils. Quand ce lui est devenu évident qu'ils seraient utilisés dans des expériences biologiques et n'allaient pas lui être restitués sains et saufs, il décida de disparaître. Cela se passait il y a plus de 10 ans. Comment Thomas as t-il été impliqué dans toute cette intrigue secrète ?

Thomas qui a maintenant 50 ans, reçut une formation top secrète en photographie dans une installation souterraine en Virginie Occidentale alors qu'il avait environ 25 ans. Pendant sept ans il a travaillé dans la photographie de sécurité de haut niveau dans l'Armée de l'air. En 1971, il quitta ce travail pour entrer à la Rand Corp à Santa Monica en Californie. En 1977 il a été muté dans les installations de Dulce. Il a acheté une maison à Santa Fe, au Nouveau Mexique et travaillait du lundi au vendredi. Il se rendait à son travail au moyen d'une profonde canalisation souterraine équipée d'une navette en forme de tube.

A cette époque, il avait un compagnon de recherche qui travaillait dans la sécurité à Santa Fe (Nouv. Mex.) et faisait des investigations personnelles sur les apparitions d'Ovnis, les mutilations animales, les groupes maçonniques et de sorcellerie dans le secteur. En 1979, un ami commun vint à Santa Fe leur rendre visite à tous les deux. Le visiteur prit connaissance des photos, de la bande vidéo et des documents sur la Base Dulce. On en fit des dessins qui circulèrent ensuite dans la communauté urologique sous l'appellation de "Dossiers Dulce"

Selon Thomas il y avait plus de 18 000 petits "gris" dans les installations de Dulce. Il y a aussi vu des humanoïdes reptiliens. Un de ses collègues est tombé nez à nez avec un reptoïde d'un mètre quatre vingt qui s'était matérialisé dans sa maison. Le reptoïde s'est montré intéressé par des cartes murales montrant les résultats de recherches aux Nouveau Mexique et dans le Colorado. Elles étaient constellées d'épingles colorées et de marqueurs indiquant les sites de mutilations animales, les cavernes, les emplacements de haute activité d'Ovnis, des trajectoires aérienne habituelles, des sites d'enlèvement, des ruines antiques et des localisations présumées de bases souterraines extraterrestres.





Les installations multicouches de Dulce comportent un NOYAU CENTRAL contrôlé par des forces de l'ordre. Le niveau de sécurité s'accroît au fur et à mesure que l'on descend dans les profondeurs. Thomas avait le niveau d'autorisation ULTRA-7. Il connaissait les 7 degrés mais il est possible qu'il y en ait eu d'autres. On suppose que les extraterrestres occupent les niveaux 5, 6 et 7, le 5 étant celui des logements. La seule inscription en langue anglaise se trouve dans le couloir de la station de la navette-tube et indique "vers Los Alamos". Il existe des liaisons de Dulce vers des installations à Page en Arizona puis vers une base souterraine au-dessous du Secteur 51 au Nevada. Dulce est également relié à des établissements en dessous de Taos, Nouveau Mexique; Dati (N.M.); Colorado Springs, Colorado; Creed, Colorado; Sandia' puis à Carlsbad, Nouveau Mexique. Il semble qu'il existe un vaste réseau souterrain de connections sous les Etats Unis constituant un système global de tunnels et de citées souterraines.
Dans la Base de Dulce, la plupart des inscriptions sur des portes et dans les couloirs sont dans une langue extraterrestre ou dans un système symbolique universel compris par les deux cultures. Thomas a déclaré qu'à partir du second niveau tout le monde se dénude, est pesé et se voit attribuer un uniforme. Les visiteurs ont un uniforme blanc cassé composé d'une combinaison zippée. Le poids de la personne est enregistré chaque jour sur une carte d'identification informatisée. Chaque changement de poids est contrôlé et au-dessus d'un 1.5 kilos un examen physique et une radio sont exigés.
On trouve des balances fixées au sol sous les portes d'accès à toutes les zones sensibles. Le personnel insère sa carte d'accès dans une fente de la porte et tape son code d'accès. Pour que la porte s'ouvre, le poids et code doivent correspondre à ce qui est enregistré sur la carte. En cas de désaccord la sécurité est immédiatement appelée. Personne n'est autorisé à transporter quoi que ce soit. Toutes les fournitures sont acheminées par convoyeur et passées aux rayons X. Le retour d'une zone sensible s'effectue dans les mêmes conditions.

Tous les ascenseurs fonctionnent magnétiquement, ils ne comportent pas de câbles. Le système magnétique se trouve dans les murs du puits, il n'y a aucune commande électrique classique. Tout est contrôle par des procédés magnétiques avancés, y compris l'éclairage. Il n'y a aucune ampoule électrique ordinaire et les tunnels sont illuminés par des dispositifs fluorescents à émissions larges bande . Dans certains profonds tunnels on utilise une sorte de pentoxyde phosphoreux pour l'éclairage temporaire. Pour des raisons inconnues les aliens ne pénètrent pas dans ces zones.

Au niveau 1 se trouve le garage pour la maintenance de la surface. Le niveau 2 héberge les trains, les navettes, des foreuses et la maintenance des disques. Dans le niveau 4 on fait des recherches sur l'aura humaine, et également sur tous les aspects de télépathie, l'hypnose et des rêves. Thomas dit qu'ils savent comment séparer le corps bio plasmique du corps physique pour placer la matrice-d'énergie-vitale d'une entité extraterrestre dans un corps humain après avoir enlevé la matrice-d'énergie-vitale spirituelle de l'homme.
Le niveau 6 est surnommé "le Hall du Cauchemar." On y trouve les laboratoires de génétique où des expériences sont menées sur des poissons, des phoques, des oiseaux et les souris dont on altère énormément la forme originale. Là, se trouvent des humains à plusieurs bras et à plusieurs jambes, diverses cages et cuves contenant des créatures ressemblant à des chauve souris de plus de deux mètres. Les extraterrestres ont énormément enseigné aux humains en matière de génétique, des choses à la fois utiles et dangereuses.

Les gris et les reptoïdes sont éminemment analytiques et très orientés vers la technologie. Ils ont été en guerre dans le passé avec des humains de type nordiques provenant d'autres civilisations spatiales et il est possible qu'ils fassent étape ici en vue d'un conflit futur. Fous d'informatique et de bio-ingénierie ils sont poussés à mener d'irresponsables expériences sans égard pour ce nous considérons être moral et empathique vis à vis d'autres êtres vivants.

Les principales organisations gouvernementales impliquées dans la cartographie génétique humaine, le "Projet Génome", sont le Ministère de l'Energie (largement présent sur le Site d'Essai du Nevada); l'Institut national de la Santé; la Fondation Nationale pour la Science; L'Institut Médical Howard Huges; et, bien sûr, les laboratoires souterrains de Dulce qui sont qui sont dirigés par le Department of Defense (DOD, Ministère de la défense). Thomas avait révélé que le chef des expérimentations génétiques pour Los Alamos et Dulce était Larry Deaven.

Selon Thomas, l'extraterrestre androgyne se reproduit par parthénogenèse. A Dulce la forme la plus courante est celle du fractionnement embryonnaire. Chaque embryon se divise en 6 à 9 "cunne" individuels (prononcer counet), c'est-à-dire des enfants de mêmes parents. La nourriture nécessaire à la croissance du cunne consiste en une "formule" habituellement composée de plasma, de deoxyhemoglobine, d'albumine, de lysozyme, d'une solution électro-positive, de liquide amniotique et autre. Le terme de "génome" est utilisé pour décrire la totalité des chromosomes uniques à un organisme particulier (ou d'une cellule de cet organisme), par opposition au génotype, qui est l'information contenue dans ces chromosomes. Les gènes humains sont situés à des emplacements chromosomiques spécifiques. Leur décryptage constitue un ambitieux projet qui prendra des années et nécessitera énormément de ressources informatiques.


La BIOTECHNOLOGIE extraterrestre et humaine est-elle destinée à nous soigner et à nous rendre service ou bien à nous contrôler et nous dominer ? Pourquoi les personnes enlevées par des Ovnis ont-elles été utilisées dans des expériences génétiques? C'est au moment où Thomas a vu des humains en cage au niveau 7 de la base de Dulce que les choses on atteint un summum pour lui. Des milliers d'êtres humains, des restes de mixture humaine, des embryons d'humanoïdes conservés en chambre froide rangées après rangées. "J'ai souvent rencontré des humains en cages, ils étaient d'habitude hébétés ou drogués mais parfois ils criaient et suppliaient qu'on les aide", disait volontiers Thomas. On nous avait dit que ces personnes étaient irrémédiablement folles et employées pour des tests à hauts risques de médicaments destinées à guérir la folie. On nous avait recommandés de ne jamais leur parler. Au début on avait cru à cette histoire. Finalement en 1978 un petit groupe d'ouvriers a découvert la vérité. Et c'est la que les guerres de Dulce ont commencé."

Thomas dit aussi que les aliens n'en veulent pas à notre terre, ni à notre or, ni à nos minéraux, ou à notre eau ni même à la vie humaine ou animale Ce qu'ils veulent vraiment c'est la puissance magnétique qui déferle à la surface à au travers de la Terre. Les extraterrestres moissonnent ce pouvoir magique d'une façon qui nous est inconnue. Selon Thomas ils accordent à cette énergie plus de valeur qu'à n'importe quoi d'autre sur notre globe.

L'histoire de Thomas est-elle à ce point indigeste pour être avalée et crue? Il y des preuves qu'il se passe d'étranges choses à Dulce. Tout cela ressemble en fait à un cauchemar éveillé. Thomas a-t-il la réponse ? Il peut y avoir une épouvantable vérité cachée derrière ces manifestations persistantes telles qu'observations d'Ovnis, enlèvements, mutilations animales. Cela fait maintenant de nombreuses décades que nos agences de renseignement gouvernentales ont en permanence surveillé de près les activités d'Ovnis. Ces phénomènes extraordinaires doivent avoir une explication extraordinaire. Il se peut que nous soyons simplement l'avant poste d'un vaste empire inter-stellaire.

Il y a peu, le chercheur John Anderson vint à Dulce pour voir si les rapports sur les activités des Ovnis présentaient une quelconque vérité. Alors qu'il arrivait sur place il vit une file de voitures et une camionnette de chez Mc Donell-Douglas abritant un mini labo qui gravissant une route de campagne près de la ville. Il les suivit jusqu'à une enceinte clôturée puis attendit la suite des événements. Soudain, six Ovnis descendirent rapidement au-dessus de l'enclos, ils planèrent suffisamment longtemps pour qu'il prenne une photo puis montèrent en flèche et disparurent. Plus tard, s'arrêtant dans un magasin il parla au propriétaire de la photo d'Ovnis qu'il vennait de prendre, après l'avoir écouté, celui-ci lui révéla la façon dont il avait été victime de mutilation de bétail, lorsqu'il était éleveur. Leur conversation fut interrompue par un appel téléphonique. Le commerçant lui demanda de partir immédiatement. Quand John regagna sa voiture il vit une mystérieuse camionnette se diriger vers le magasin et un homme en sortir et pénétrer dans l'établissement. John décidant de quitter Dulce fut suivit par deux hommes en voiture dès la sortie de la ville.

Plus récemment encore, une équipe de chercheurs est montée jusqu'à Archuleta Mesa pour procéder à des sondages sonores du sous-sol. Une première analyse par ordinateur semble y indiquer la présence de cavités profondes. Pendant combien de temps cette zone du nouveau Mexique connue des initiés sous le nom de section 'D' restera t-elle impénétrable et muette? A jamais?



Peut-être un jour, bientôt, devrons-nous vivre sous terre
pour survivre. Espérons que nous n'en viendrons pas là !

Prochain dossier à suivre bientôt:
"Les villes souterraines" de l'antiquité...


Autres images concernant ce dossier



Projet de base soumarine conçu pour le militaire


source: Top Secret #12 "Une ligne jaune... et un crash !
Entrée de base souterraine, secteur 51 Nevada
source: Top Secret #12 "Une ligne jaune... et un crash !
Gros plan de l'entrée

source

Lundi 2 janvier 2006 à 19:06

Les Univers Parallèles


I Introduction


 Il peut se faire que certains faits arrivés à des personnes pourtant très sensées soient si difficilement croyables que ces personnes nous les racontent après bien des hésitations pour ne pas passer pour des malades mentaux. Et il faut aller fouiller dans des revues spécialisées dans l'ésotérisme pour accéder à ces événements hors du commun. En tout cas ce n'est pas la peine d'aller consulter, pour l'instant, les publications dites sérieuses comme par exemple : "Le Monde" ou "La Recherche", pour les y découvrir. Ainsi donc, nous abordons aujourd'hui les contacts avec des univers parallèles qui a priori, vous allez vous en rendre compte, ne semblent pas seulement réservés au monde du rêve.


II La genèse de l' affaire.


Cette affaire se déroule en deux volets:


Premier Volet


  En 1977, nous avons enregistré à Paris une émission intitulée "Histoires Extraordinaires" conduite par le regretté Lucien Barnier, chroniqueur scientifique à l'époque de France-Inter, que nous vous transcrivons intégralement en espérant que les protagonistes de cette affaire ou quelqu'un de leurs amis tombent sur ce site (et c'est là le rôle principal de l'Internet,) pour nous en donner d'autres détails. C'était pendant l' hiver de 1967 au mois de Janvier que Mme Nathalie Nelson et son mari de Ste Cécile en Vendée qui habitaient alors une veille ferme au cœur de la forêt, ont décidé un dimanche d'aller faire un grand tour en voiture dans les environs. Madame Nelson raconte :


"Nous avons roulé une bonne dizaine de km sur une route parfaitement connue, quand, tout d'un coup la brume qui régnait autour de nous et aussi les arbres de la forêt qui bordaient la route, ont disparu pour faire place à un paysage d'été avec des pelouses, des boutons d'or et des marguerites. Nous avons roulé un peu dans ce magnifique paysage, et nous sommes arrivés à un village, que nous ne connaissions pas, un village avec des maisons très anciennes sans crépis, avec des colombages de bois et de toits de tuiles qui paraissaient neufs et où se dressait une église dont, chose frappante, le clocher n'était pas terminé. Il y avait une luminosité extraordinaire un ciel bleu, pas un souffle d'air, les arbres immobiles et aucune vie, aucun animal , ni personne. Un signe de mort dans un paysage magnifique. Nous avons alors arrêté la voiture et nous sommes descendus. Nous avons marché pendant dix bonnes minutes, un quart d'heure peut-être , on a regardé, les maisons, les arbres, l'herbe qui avait une couleur verte absolument éclatante.


Puis brusquement nous avons eu la même crainte: "Et si notre voiture n'était plus là ?", car cette route où nous avions pénétré, nous était totalement inconnue.


 On a rebroussé chemin et on a trouvé la voiture où nous l'avions abandonnée. Puis nous sommes repartis en voiture en se disant que nous allions re-pénétrer dans ce village pour refaire le même périple et retraverser les mêmes petites rues. Mais en redémarrant la voiture, tout le froid paysage s'installa à nouveau, nous n' avons plus rencontré le petit village et seule la route givrée se déroulait de nouveau devant nous."


 Une précision nous est donnée par le rédacteur de l'émission: Mme Nelson a essayé de retrouver en vain, à plusieurs reprises ce mystérieux village et elle n'a pu trouver en fouillant les archives locales qu'un seul indice: Il existait bien à cet endroit une bourgade abandonnée mais vers les années 1500, bourgade qui a disparu sans qu'on sache exactement pourquoi ?


 Lucien Barnier, à qui le rédacteur demande si un tel témoignage ne relève pas de l'hallucination pure et simple, se déclare convaincu de la bonne foi du témoignage de Mme Nelson et s'avoue incapable d'en trouver une explication. Mais, il fait remarquer que ce thème est assez fréquent dans la littérature et en particulier dans la littérature anglaise : C'est l'histoire d'un médecin qui est parti à cheval visiter un malade dans un village qu'il connaissait bien et au bout de la route également brumeuse, il déboucha sur le village, mais la maison du malade lui était inconnue, et les gens parlaient une langue étrange. C'est donc, nous le voyons, une histoire assez semblable à celle qui précède et à une autre que nous dévoilerons ultérieurement dans le 2ème volet.


Le rédacteur passe alors la parole à Mme CHEST biologiste, de son état, participant à l'émission et qui nous dit :   J'ai d'abord pensé au début de l'histoire à un système de micro-climat qui se manifeste quelques fois dans une petite zone et qui peut faire passer cette zone sans transition de l'hiver au printemps. Mais dès qu'elle parle du 'village' cela ne marche plus.


Si l'on élimine l'hypothèse de l'hallucination, qui semble peu vraisemblable, puisqu'elle n'était pas seule et que son mari a vécu la même aventure qu'elle, je n'ai donc pas d'explication si ce n'est l'analogie que je pourrai faire avec le phénomène des trous noirs qui en astronomie sont des sortes vortex, des spirales tournant sur elles-mêmes où l'on constate que les relations spatiales sont extrêmement condensées et où le temps se contracte et où la matière des étoiles s'engouffre irrémédiablement. Le problème est d'en sortir. L'histoire de cette dame pose le problème de la réversibilité du temps et en tout cas d'un retour en arrière à une vitesse phénoménale peut-être même dépassant la vitesse de la lumière et c'est ce qui me fait penser à ce trou noir. En tout cas ce qui est remarquable, à mon avis, c'est qu'ils s'en sont sortis.


Autrement dit Mr et Mme Nelson ont eu beaucoup de chance de quitter ce village, car s'ils avaient cueilli ne serait-ce qu'une marguerite, que ce serait-il passé ? Pourraient-il l'emporter dans leur voiture ? Cette fleur n'induirait-elle pas une vibration qui par résonance, les plongerait dans ce monde parallèle moyenâgeux et les ferait disparaître à jamais du notre et laissant sur le bord de la route leur seul témoin véritable, mais hélas bien muet : leur voiture ?


S'il vous arrive un jour, où vous vous promenez dans la campagne, une aventure semblable, réfléchissez avant de cueillir une fleur, même si sa beauté, vous y invite fortement.


Deuxième Volet


 C'était le 10 Août 1901, deux respectables dames anglaises, Miss Charlotte Anne Elisabeth MOBERLY, Principale du collège St Hugh's Hall à Oxford et Miss Eleanor France JOURDAIN Voyez donc l'image  ci-dessous:


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Régisseur d'une petite école très renommée près de Londres se promenaient à Versailles dans les Jardins avoisinant le Petit Trianon qu'elles voulaient aller visiter. Il était environ 4 heures de l'après-midi. Elles avaient déjà parcouru longuement le château et se sentaient gagnées par la fatigue quand elles abordèrent les allées menant aux somptueuses « dépendances ».  Elles aperçurent alors, à un moment donné, deux gardiens ou jardiniers à l'air sombre et préoccupé, vêtus d'une livrée verte et coiffés d'un tricorne." - Il doit y avoir une fête costumée, une rétrospective des siècles de la monarchie, souffla Miss Moberly à sa compagne." 


 Mais elles n'avaient pas le cœur à la joie. Au fur et à mesure qu'elles avançaient, une tristesse infinie les pénétrait; une tristesse dont elles ne parvenaient pas à déceler l'origine. Elles se risquèrent à demander aux deux personnes en habits verts, de leur indiquer le chemin du Petit Trianon.


 - "Droit devant vous ! lança l'un d'eux d'un air bougon." 


  Elles parvinrent à un kiosque rond d'inspiration chinoise et furent bien surprises, encore, d'y découvrir, confortablement assis, un homme vêtu d'un manteau ample, coiffé d'un chapeau à larges bords. Il se leva à leur approche et les dévisagea longuement. Il était laid à faire peur et l'expression de son regard était odieuse. Comme il s'apprêtait à ouvrir la bouche, elles furent saisies de panique, empoignèrent leurs jupes à pleines mains et détallérent à toutes jambes. Mais une voix, tout près d'elles, les arrêta:


 - Ce n'est pas par là Mesdames, mais par ici .


  Elles étaient, cette fois, en présence d'un parfait gentleman. Mais un gentleman vêtu à la mode du XVIIIe siècle. Il ajouta, en s'inclinant le plus civilement du monde.


  - "Vous n'allez pas tarder à trouver la maison."


Le ton rassurant ne parvenait pas à apaiser leurs angoisses. Elles avaient de surcroît, la sensation oppressante d'évoluer dans un décor qui n'avait rien de réel. Elles partirent, pourtant, dans la direction conseillée. Elles franchirent un pont suspendu, qui enjambait un petit ravin, aperçurent une petite cascade et un rocher couvert de mousse, et elles pénétrèrent dans un jardin en pente en haut duquel se dressait un "Petit Château Carré" (Le Petit Trianon ), Voyez donc l'image  ci-dessous:


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Dans ce jardin, précise l'une d'elles, une dame blonde, vêtue d'une robe d'été à l'ancienne au corsage largement échancrée, était assise et dessinait. La dame n'était plus très jeune. Mais que de beauté, encore dans ses traits, que de prestance, de grâce et de distinction dans son maintien !


 Sa tête couverte d'un large chapeau blanc d'où s'échappaient en vagues soyeuses les boucles blondes de sa riche chevelure ; Il va de soit que leurs regards furent attirés par cette inconnue, altière et attendrissante tout à la fois qui fixait avec attention à bout de bras l'objet sur lequel de toute évidence, elle exécutait le croquis d'un bouquet d'arbres devant lequel elle restait plantée, comme en extase. Les deux Anglaises eurent tout le temps de la détailler. Puis elles la virent lever les yeux dans leur direction. Voyez donc l'image  ci-dessous:


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Tout en elle exprimait une extrême mélancolie. Elle n'eut ni un sourire, ni un signe de tête pour ses visiteuses inopinées.


  Celles-ci poursuivirent leur route. Elles tombèrent, ensuite , sur un palefrenier qui sortait d'une remise en faisant claquer la porte. Puis sur une femme qui criait "Marion, Marion" et tendait à une fillette qui accourue une tasse probablement de lait. Elles virent encore une charrue couverte de lierre; puis elles perçurent une musique de violons échappée, sans doute venant, des salons même du Trianon.


 


   Elles marchèrent quelque temps encore, et leur angoisse imprécise les abandonna d'un coup. Elles retrouvèrent tout leur bel entrain. La fatigue même était tombée; elles se moquèrent un peu de leurs frayeurs et échangèrent quelques plaisanteries. D'autres personnes les dépassaient ou les croisaient ; mais des c'étaient des personnages plus "rassurants" , cette fois, de leur époque. Miss Moberly et Miss Jourdain regagnèrent leur pays, mais au cours de visites ultérieures à Versailles elles constatèrent que les sentiers qu'elles avaient parcourus en Août 1901, n'existaient pas, des bâtiments qu'elles avaient vus intacts et apparemment habités telle la remise où étaient la femme et la petite fille avaient disparu. Plus de gardiens ou jardiniers portant livrées vertes et tricornes, plus de kiosque, ni de pont sur un minuscule ravin, ni de cascade en miniature. Et elles constatèrent même avec stupéfaction que la façade du Petit Trianon vue le 10 Août était modifiée. Quant à la porte de la remise que le jeune homme avait claquée si bruyamment, elle était fermée par des verrous rouillés et couverte de toiles de d'araignée. .


 


  Pourtant elles avaient bien conversé semble-t-il avec des personnages. Mais ceux-ci s'adressaient-ils vraiment à elles ?


 


   Miss Moberly et Miss Jourdain étaient de celles qui s'évertuent à revivre, au cours des soirées d'hiver les merveilles de leurs itinéraires de vacances. Elles lurent quantité d'ouvrages sur Versailles. Et leur cœur faillit s'arrêter quand elles tombèrent au détour d'une page sur un portrait de Marie-Antoinette. C'était la belle étrangère du perron et des arbres du Trianon. Elles fouillèrent fébrilement les bibliothèques, les cabinets de lecture et les archives, épluchèrent les récits et mémoires de tous les contemporains de Louis XVI, découvrirent d'autres estampes, images, et portraits... Au terme de leur chasse fiévreuse, le doute n'était plus permis :elles avaient bel et bien passé une demi-heure environ de leur vie dans un siècle révolu, elles avaient croisé la route et le regard de la souveraine guillotinée depuis plus d'un siècle.


 


  Elles apprirent aussi que l'homme laid qui les avait effrayées était le Comte de Vaudreuil, une victime de la petite vérole. Elles trouvèrent, même des lettres où il était question de la petite Marion et de la vieille charrue abandonnée contre un arbre et Miss Jourdain fut même capable de reproduire quelques notes de musique de l'air de violon entendu. Dix ans après leur promenade à Versailles, elles décidèrent de publier en 1911 sous deux pseudonymes cachant leur vraie identité, un livre intitulé "An adventure" .


 


  Des journaux aussi sérieux que Le Daily Telegraphe et le Times en reproduire d'abondants extraits si bien que de nombreux chercheurs et érudits se mirent en campagne. On peut d'ailleurs affirmer que, depuis cette époque maintenant lointaine, les spécialistes des disciplines les plus diverses n'ont jamais cessé de s'interroger sur la "vision" des deux anglaises: S'agit-il d'un "voyage dans le temps" ? Nos deux héroïnes ont-elles vu des fantômes? Peut-être. Ont-elles eu une authentique apparition de personnages qui ont réellement existé ? Qui le sait? Qui le saura jamais?


 


  Mais il faudrait longtemps s'interroger sur les éléments qui ont permis la manifestation fortuite d'un phénomène aussi rarissime.


 


  On s'est évidemment intéressé tout spécialement à la date du 10 août, à laquelle les Anglaises avaient fait leur inoubliable promenade.


 


   Or, le 10 août 1792, Marie-Antoinette était enfermée à la Conciergerie. Et ce 10 août 1792, elle n'était pas seule dans sa prison. Nombre des témoins de l'agonie qu'elle vivait alors, ont raconté qu'elle ne cessait, à ce moment là, de penser aux moments heureux passés au Petit Trianon et de les évoquer. Alors a-t-elle projeté , ce jour là, ses rêveries dans le temps pour qu'elles soient captées par nos deux promeneuses anglaises, 108 ans après avoir été guillotinée ?


 


  En tout cas, tous les historiens qui, en 1911 et plus tard, se sont penchés sur les textes laissés par les écrivains de l'époque révolutionnaire, sont d'accord pour dire que les deux promeneuses ont fourni, avec une exactitude inattaquable des descriptions de faits, d'êtres et de choses dont elles n'avaient eu aucune connaissance préalable en particulier au château de Versailles de 1770, soit 131 ans au préalable.


 


   Ont-elles été les seules à assister à ce phénomène? Apparemment non, puisque parait-il, deux autres anglais, les Cooke qui habitèrent la région de Versailles de 1907 à 1909, confirmèrent avoir vu eux aussi la mystérieuse dame entrain de dessiner ainsi qu'un personnage en costume de XVIIIe siècle. En 1928 deux autres anglaises d'excellentes réputations ont rapporté également un récit du même genre, lors d'une de leur promenade à Versailles. Sans doute des visiteurs français ont pu aussi voir certaines choses, mais à qui iraient-ils le raconter s'ils ignoraient qu'une telle aventure avait déjà été vécue ?


 


III Conclusion.


 


  Que conclure au sujet de ces deux volets fantastiques qui précèdent, si ce n'est que la réalité dépasse de bien loin la fiction et qu'il convient de s'interroger sur nos velléités de comprendre et de régir ce Monde en soumettant ceux qui y vivent à notre vue sclérosée, stéréotypé et forcément réduite de l'Univers. C'est donc bien le moment de prendre une leçon de modestie et pour terminer, de citer la célèbre phrase d'Hamlet de Shakespeare: "Il y a plus de choses au ciel et sur Terre, Horatio, que n'en rêve votre philosophie."


 


 IV Prolongement révélateur ahurissant.


 


   Le  13 janvier 1990, Le Dr Alfred Bielek  physicien diplômé de Princeton et d' Harvard (fin des études en 1939) prétend, dans un livre (The Philadelphia experiment) et  dans une conférence réalisée le 13 Janvier 1990,  au Mufon Metroplex à Dallas dans l'Etat du Texas, avoir été avec son frère engagés dans la Marine américaine (La Navy) et avoir participé à différentes expériences destinées à rendre invisible divers objets. Certaines de ces expériences ont parfaitement réussi, mais d'autres ont été de vrais désastres avec mort du personnel et projection dans le temps, de certains expérimentateurs dont son frère et lui même personnellement.  Un film vidéo de 1984 en français, a même été tiré de ces expériences et est intitulé "The Philadelphia Expériment" produit par John Carpenteret réalisé par Stewart Raffill dont voici la jaquette :


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Il y a aussi le livre de  Charles Berlitz et de William L. Moore intitulé, "Opération Philadelphie" aux Editions Maritines & d'Outre-Mer, 1980 et celui des mêmes auteurs en collection de poche J'ai Lu  et sorti en Juin 1991 dont voici les couvertures:



 unipara 5.jpgunipara 6.jpg






  

Dimanche 1er janvier 2006 à 20:42

La meilleure musique pour...


-se réveiller: Reel 2 Real/I like to move it


-s'endormir: incubus/Aqueous Transmission


-se laver: KoRn/Got The Life (ça te met une pêche d'enfer! lol)


-faire un gâteau: Astérix & Cléopâtre (dessin animé)/Le gâteau empoisonné



-faire "style" je sais jouer de la gratte: Nirvana/Come as you are


- se révolter contre autrui: SlipKnoT/People=Shit


-se révolter contre le société: System Of A Down: F*** the system


-"délirer": Britney Spears/Toxic (c'est un trip avec moi-même mdr)


-être caffardeuse: Bif Naked/Lucky


-être heureuse: Nelly Furtado/I'm like a bird


-faire écouter à son chat: Pow Wow/Moi vouloir être chat lol


-Faire le ménage:Juliet/Avalon


Voilà c'est tout pour l'instant

Dimanche 1er janvier 2006 à 18:42



Tout d'abord, je vous souhaite une super super année 2006, mais surtout une bonne santé!


Un phénomène poltergeist bien étrange




Nous sommes en 1967, dans un cabinet d'avocat bavarois.
Dans ce cabinet d'avocat, quelque chose d'étrange se passait avec les quatre postes téléphoniques. En effet, ils leurs arrivés de se mettre à sonner en même temps alors qu'il n'y a personne au bout du fil. Parfois, la conversation était interrompue par des bruits bizarres ou alors brusquement coupée.
Suite à tout cela, Me Adam appelle la société Siemens qui lui a installé les lignes, une boîte de raccordement et les quatre postes.
Après plusieurs semaines de test, aucune anomalie n'est décelée, mais les perturbations n'ont pas cessé pour autant. Ils s'adressent donc au service officiel des télécommunications. Le matériel sera remplacé et on ajoutera un instrument de mesure, un compteur de communication. Adam demanda alors à ses employés, le chef de bureau Johannes Engelhand, deux secrétaires et une autre personne qui travaille à mi-temps de tenir un registre de leurs appels.
Avec l'aide de ces appareils, on observera certains phénomènes :


Entre le 5 et le 19 octobre 1967, on enregistre des communications que personne n'a pu passer dans le bureau.


A partir du 19 octobre, c'est par douzaine que les appels sont enregistrés et ils concernent pour la plupart l'horloge parlante.
Les appels sont tellement rapprochés qu'il est physiquement impossible d'obtenir autant de fois le même numéro en si peu de temps.
Par exemple, le 20 octobre, 46 appels à l'horloge parlante ont été passé entre 7H42 et 7H57 du matin.








Le bureau d'Annemarie Schneider, chez l'avocat Adam. Une perturtion téléphonique sans précédent.

Puis, les phénomènes s'étendent, ne s'arrêtant pas seulement aux mystérieux appels téléphoniques.


Le 20 octobre : un grand bruit sourd se fait entendre au même moment la lumière s'éteint.
Un électricien est appelé d'urgence, mais tout est en très bon état, il constate juste que les tubes fluorescents se sont retournés sur eux-mêmes dans leur logement et donc déconnectés.
L'électricien change tout le matériel, mais à peine le travail terminé, le même bruit sourd se fait entendre accompagné des perturbations identiques, on remarque que les fusibles ont été expulsés de leurs emplacements sans aucune intervention physique.
Un spécialiste de la compagnie officielle de distribution du courant arrive sur les lieux, M. Paul Brunner. Il mène une enquête mais ne remarque rien d'anormal, il change cependant quelques appareils dans le bureau mais aussi dans l'immeuble.
Il installera plusieurs appareils :
- Un Unireg : qui permet de mesurer les différences de voltage et de les visualiser sur papier.
- Un compteur Tektronix : pour étudier parallèlement les variations de champs magnétiques et de niveau sonore.


Tous ces instruments sont scellés, pour éviter toute intervention humaine.


Malgré cela, des phénomènes inexpliqués se produisent pendant les heures de bureau mais jamais durant les week-end et les vacances.


http://www.heaven-vs-darkness.net/