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Where Is The Truth?

Jeudi 9 février 2006 à 19:17

LE MYSTERE DE GLOZEL
Quand la famille FRADIN décide de labourer un terrain situé en contrebas de leur ferme


Dans le verdoyant Bourbonnais, situé à 17 km au sud de la ville de VICHY, réputée dans le monde entier pour la qualité de ses eaux thermale se trouve GLOZEL Charmant petit hameaux de la commune de FERRIERE/Sichon dans le département de l'Allier. Dans les années 1930 ces quelques habitations devinrent célèbres dans le monde entier, "l'affaire" passionna et partagea le monde scientifique sur les trouvailles que venait de faire un jeune agriculteur de ce village.



 Sur le même site on retrouve des objets qui date de plus
de 17 000 ans, de 5000 ans, de 2500 ans et même du moyen âge!


Un Jeune adolescent de 16 ans Emile FRADIN accompagne son grand-père Claude FRADIN. Arrivé sur le terrain, le champ DURANTHON les deux hommes essayent d'évaluer le travail à effectuer. Le champ est en friche depuis plusieurs décennies, le labourage est toujours très difficile la première fois. 
Bordé par un ruisseau le Vareille, le champ est envahi de ronces, de buissons épineux et autres genêts. Devant la difficulté que cela représente, ils se grattent la tête, ne sachant par où commencer, un défrichage ne s'improvise pas, il s'étudie à l'avance. Mais ils sont issus de la terre et habitués au dur labeur.


L'accès est difficile, le terrain fortement pentu descend vers le ruisseau. En pleine concertation sur la façon d'entreprendre le labour, les deux hommes sont rejoints par le père d'Emile, sa sœur Yvonne et deux vaches qui vont servir à tracter la charrue, la famille est pauvre et ne peut se permettre l'achat d'un tracteur. Le travail sera difficile, mais ils sont habitués, et puis par chance le temps est beau, ce qui n'est pas toujours évident dans ces premiers jours de printemps. 
 Emile s'adresse à ses parents et leur dit qu'il veut commencer de suite, car il a peur que le temps change, et la pluie viendrait tout remettre en question. La famille sait qu'elle a trop besoin de cultiver cette parcelle pour nourrir les bêtes. Jeune adolescent plein de force et de fougue, il décide de tenir la charrue et de commencer de suite. A l'idée de participer à l'agrandissement de la partie exploitable par la ferme, Emile récent au fond de lui une énergie nouvelle. Le terrain qu'il va défricher, va permettre à la famille de nourrir bien plus facilement les animaux, surtout que les temps sont plutôt à la récession. La famille n'est pas très riche, elle ne peut se permettre de laisser à l'abandon la moindre parcelle de terre. Emile a bien conscience que malgré la dureté du labeur, il est impératif de travailler dur pendant que le temps le permet.


Emile envoie son cri de commande et les vaches se mettent en route. C'est bien plus difficile qu'il ne l'avait imaginé, mais il est heureux. Pendant que celles-ci tirent la charrue, il hume cette odeur de terre fraîchement retournée. Au bout de quelques mètres, le sillon commence à se former. Un terrain qui n'a pas été "retourné" pendant des années ne se laisse pas facilement faire. Joyeux, du courage à revendre, il commande ses deux vaches par de petits cris, habituées, elles savent exactement comment réagir.


Après plusieurs heures, le jeune Emile FRADIN arrive dans une partie du champ beaucoup plus aride, l'herbe ne pousse d'ailleurs pas comme dans la première partie, elle est plus petite et rabougrie. Avec la force de ses seize ans, Emile maintient fermement les bras de la charrue, malgré sa jeune expérience, il sait que dans cette sorte de terre, le socle de la charrue a du mal à s'enfoncer et peut à chaque instant ressortir brutalement et le blesser. Terrien dans l'âme, il aime cette terre et cette nature pourtant si difficile à apprivoiser. 


Perdu dans ses pensées, Emile pense qu'aussitôt il faudra semer, afin de perdre le moins de temps possible. lorsque soudain le soc rebondit sur un obstacle et se coince, comme pour prouver qu'il avait raison de se méfier. Immédiatement il tire sur les rênes, les vaches s'arrêtent, Emile se penche pour regarder ce qui se passe. Il aperçoit une sorte de brique qui coince le socle de la charrue, il s'accroupit pour la ramasser, au même moment un trou se forme et la patte d'une vache y disparaît. Aussitôt le père et le grand-père se précipitent la peur au ventre. Une vache qui se casse la patte et un animal qui doit être abattu et ça ils ne peuvent certainement pas se le permettre, ouf ! elle n'est pas blessée. Après avoir poussé un gros soupir de soulagement, ils agrandissent le trou pour la dégager. En enlevant les pierres qui bloquent la patte de celle-ci, les premiers morceaux de poteries apparaissent.



Le grand-père plein de bon sens dit à haute voix, il y a sûrement quelque chose la dessous. Emile et son père lui répondirent que c'est certainement le restant d'une ancienne maison construite à cet endroit. Mais plus ils creusent pour dégager la patte de la vache et plus ils sortent des morceaux de briques et de poteries. Une fois la patte dégagée, ils décident de remonter déjeuner, midi venait de sonner. Toutes ces émotions leur avaient donné faim.


Au cours du déjeuner, la conversation allait bon train, chacun avait sa petite idée, lorsque Claude, le grand-père se souvint que les métayers qui occupaient avant lui la ferme avaient en creusant un trou pour enterrer une bête morte, trouvé un vase en terre cuite. Il était resté très longtemps sur le bord de la cheminée et puis le jour de leur déménagement, le vase était tombé et les morceaux furent jetés à la poubelle. Il portait une inscription qui intriguait tous les visiteurs de la maison, mais que personne n'arriva jamais à déchiffrer. La dernière bouchée avalée, ils s'empressèrent de redescendre armés de pioches et de pelles à l'endroit même où ils avaient trouvé les morceaux de poteries. L'imagination aidant, ils avaient des rêves plein la tête. Il ne fallut pas bien longtemps pour agrandir le trou et découvrir qu'il s'agissait en fait d'une tombe de forme ovale, d'une longueur d'environ 2,80m sur 1 mètre de large.


A l'intérieur il y avait des ossements et un crâne presque entier. A côté de celui-ci il y avait deux vases intacts, Claude le grand-père disait que puisqu'il y avait un mort, ils avaient du l'enterrer avec ses bijoux. Le cœur battant la chamade et plein d'espérance ils décident de casser les vases, mais ceux-ci étaient plein de terre, la déception se lisait sur les visages. C'était la fin d'un rêve et de l'espoir de pouvoir vivre avec un peu moins de privations.
Il est inutile de dire que les commentaires allaient bon train au village de Ferrière, ce qui nous amena la visite des notables du village. Pour commencer, nous vîmes un jour d'avril arriver le curé, l'abbé Naud et le Dr Vigier qui regarda avec beaucoup d'attention les trouvailles. Puis vint le tour des instituteurs et institutrices des villages environnants. Mlle Piacandet fut la plus acharnée, elle fouilla avec nous le site, pensant que celui-ci présentait un intérêt historique indéniable, elle écrivit à l'inspecteur de l'Académie de Moulins pour lui faire-part de ses observations. Quelques mois plus tard. Elle reçut une réponse du président de la Société d'Emulation du Bourbonnais qui après une demande de renseignements complémentaires chargea M.Clément instituteur au village de la Guillermie de lui rendre compte de l'intérêt que pouvait avoir le site. Les fouilles qu'il fit, les objets qu'il emporta pour les photographier provoquèrent chez lui une sorte de frénésie, on le voyait quasiment tous les jours, si bien que l'on ne se déplaçait même plus, après que l'on nous eut signifié que cela n'avait aucun intérêt pour la science.



Puis, le jour du 28 juillet, sans que la famille soit prévenue, le procureur de la République de Cusset, un membre de la Société d'Emulation, Mlle Picandet, un photographe de Vichy et un certain Comte débarquèrent à la ferme. Nous sommes des gens simples, les môssieurs en habits du dimanche comme disait mon grand-père nous intimidaient. Nous n'étions pas habituées à la fréquentation de tels personnages, ils étaient tellement plein de suffisances et d'une autorité méprisante. Tout le monde descendit à l'endroit des fouilles et là, deux des personnages entreprirent de démolir à grands coups de pioche la fosse déjà terriblement malmenée par Clément. Des gens voulurent s'y opposer, mais le représentant de la société d'Emulation lui intima l'ordre de cesser les fouilles, que les savants ne s'intéresseraient pas à ce genre de découverte qui n'offrait aucune valeur et risquait de perturber la science. Ce qui n'empêcha pas le Procureur d'emporter un plein panier d'objets. Il nous demanda de remettre le champ en culture, ce que nous fîmes.


Entre temps, le M. Morlet médecin à Vichy qui était un passionné d'archéologie commença à s'intéresser au site de Glozel. Il passa un contrat avec la famille Fradin qui l'autorisait à faire des fouilles, à photographier et à publier ses recherches, mais tout ce qui était trouvé restait la propriété des FRADIN. Désormais, Glozel avait un protecteur. C'était pour nous, un grand soulagement, le docteur était un homme instruit et avait l'habitude de converser avec des gens de la ville.



Environ 1 ans après, un soi-disant scientifique des Beaux Arts (autre grand ponte de la préhistoire) se rend sur place et déclare que le site est merveilleux et demande au Dr Morlet un rapport détaillé sur les trouvailles. Mais le Dr Morlet pressentant une fourberie se dépêcha de publier son rapport sous le titre "Nouvelle station néolithique" Furieux le " scientifique" le convoqua et lui intima l'ordre de mettre son nom à la place de celui d'Emile Fradin. Bien entendu le Dr Morlet qui s'attendait à ce genre de réclamation refusa. Il venait de se faire son premier ennemi. Puis l'abbé Breuil, autre acolyte de Capitan écrit un article favorable à Glozel sans citer le nom de Morlet, celui-ci s'insurge, accusant l'abbé de vouloir s'approprier la découverte, vexé que l'on puisse le contredire, l'abbé se retourna contre Glozel. Tous les grands pontes de la préhistoire sont pris de cours et ont le sentiment d'être laissé pour compte. Ils décident de prendre position contre GLOZEL. Dans cette guerre de soi-disant grands savants, tous les coups sont permis. Il se forme alors les pour et les contre. Les GLOZELIENS et les anti- GLOZELIENS. Ou se trouvait la science dans cette guerre de prestige de soi-disant scientifiques.


Le 25 février 1928, la police fait une descente à la ferme, ils veulent trouver l'atelier où la famille FRADIN fabrique les objets. Ils cassent les vitrines, détruisent des poteries et autres objets et moleste Emile. Ils emportent plus de 200 pièces soi-disant pour les faire dater, méthode qui n'existait pas à l'époque.


Le 4 juin 1929 Emile est accusé d'escroquerie et inculpé, le juge d'instruction va l'interroger pendant 63 heures. Emile n'avouera rien, pour la simple raison que la préhistoire est pour lui une époque totalement inconnue.


La police le surveille et lit son courrier. Elle veut le prendre en flagrant délit de confection d'objets et le surprendre au moment où il les enfouit. Finalement cette inculpation finit par un non-lieu étant donné qu'il n'y avait rien à trouver. Le Dr Morlet continua les fouilles à ses frais pendant 16 ans, il trouvera plus de 3000 objets. Il décède en 1966 sans savoir que GLOZEL sera reconnu comme un endroit exceptionnel de l'histoire.


En 1972, un ingénieur au commissariat de l'énergie atomique fait des prélèvements et les envoie pour analyse à 3 laboratoires étrangers afin pour faire leur datation. Les 3 laboratoires ont des résultats similaires, le site de GLOZEL est ancien !


L'ingénieur, Henri François écrira à Emile FRADIN : Que seuls des attardés et des scientifiques mal informés pourront encore prétendre que vous êtes un faussaire ! Les mesures faites indépendamment dans chaque laboratoire sont parfaites et prouvent que le site est ancien. La datation des ossements donne entre 15000 et 17000 ans. Les céramiques environ 5000 ans. Les tablettes gravées environ 2500 ans. La preuve indiscutable était là et il était prouvé à quel point la mauvaise foi de certains plaisantins de la préhistoire, qui se prétendaient des savants était, elle mise en évidence.


En 1974, une équipe du centre de recherche nucléaire passe le site au magnétomètre, ils assurent qu'il reste encore des objets enfouis.


En 1975, le congrès d'archéométrie qui s'est tenu à OXFORD reconnaît l'authenticité du site de GLOZEL. L'ÉTAT fait marche arrière est reconnaît aussi l'ancienneté des objets trouvés. Mais les savants qui n'aiment pas être pris en défaut d'incompétence continuent à faire part de leurs doutes.


A partir de 1990 de nouvelles fouilles furent entrepris dans les alentours, mais aucun résultat ne fut publié ?


Il est dommage qu'il n'y ait pas de scientifiques en archéologie qui se soient attachés au site de GLOZEL. C'est l'une des plus FABULEUSES DÉCOUVERTES du 20 ième siècle. Sur le même site on retrouve des objets qui date de plus de 17 000 ans, de 5000 ans, de 2500 ans et même du moyen âge, n'est ce pas extraordinaire. Peut être que la connaissance de l'histoire vraie de l'origine de l'homme pourrait avoir un effet perturbateur sur des THÉORIES que des "gros pontes" de l'histoire ont émis et qui se révélaient complètement erronées.


Le musée de Glozel : http://www.museedeglozel.com
Excellent livre écrit par M. Emile FRADIN : GLOZEL et ma VIE. Edition ARCHEOLOGIA
 


Source

Mercredi 8 février 2006 à 13:14






Et puis petit bonus, ma version de Bob l'éponge loool:



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Mardi 7 février 2006 à 23:50


Les sorcières de Salem


(pas salem le chat----->)


En 1692, à Salem, un petit village situé dans le Massachusetts, aux États-Unis, quelques fillettes sont prises d'un mal bien étrange qui est immédiatement associé au diable. Elles commencent par accusé 3 femmes, d'être des sorcières, mais le phénomène prend de l'ampleur et c'est tout le village qui cède à la panique. Une véritable chasse aux sorcières qui fini par l'accusation de plus de 200 personnes.



Février 1692


Tout débute donc à Salem en 1692 où Tituba, esclave noire amenée des Caraïbes par le pasteur de la communauté, Samuel Parris, raconte des récits vaudou de son pays et prédit l'avenir à quelques fillettes, Elizabeth Parris (9 ans), fille du pasteur, Abigaël William (11 ans), nièce du pasteur, ainsi que  leurs amies. Les deux fillettes adorent toutes ces histoires mais prédire l'avenir est un péché, elles se croient donc perdues. Quelques temps plus tard la santé des deux fillettes se détériorent. Elles entrent en transe, elles ont des crises de convulsions. Le médecin ne trouvant pas de trouble physique ni de traitement efficace, déclare qu'elles ont été ensorcelées.


Le pasteur de Salem avec l'aide d'autres pasteurs prient afin de faire partir le Malin. Peu de temps après, d'autres jeunes filles ont les mêmes symptômes,  on finit donc par croire que Satan rode dans le village.



En plein interrogatoire et en pleine crise, Elizabeth Parris dit que c'est Tituba la coupable, les autres filles disent la même chose. Par la suite, elles accusent deux vieilles femmes détestées de la communauté : Sarah Good (pauvre vagabonde qui n'allait pas à l'église et qui dormait dans les haies) et Sarah Osborne.


Le 29 février


Le 29 février 1692, les trois femmes sont arrêtées. Si Sarah Good et Sarah Osborne nient farouchement avoir passé un contrat avec Satan, Tituba avoue avoir vu le diable et fait un pacte avec lui. Elle accuse les deux autres femmes d'être dans le coup, et ajoute qu'il y aurait des sorcières dans les villages voisins. Tituba est donc condamné à mourir ainsi que les deux autres femmes. Le 7 mars, elles sont toutes les trois envoyées à la prison de Boston pour suivre un interrogatoire.


Tout le monde se met à prier mais les crises persistent. Le magistrat décide de mettre en prison tous ceux qui troublent les esprits des jeunes filles. Les fillettes accusent de plus en plus de personnes de Salem et des villages voisins. L'hystérie devient collective, les habitants ont des visions : ils croient voir des bêtes entrer dans leur chambre, Sarah Good monter sur leur lit... Dès lors, les accusations se multiplient : en quelques semaines soixante-dix suspects sont entassées dans les prisons de Salem et de Boston.


Les procès commencent, lors de chaque interrogatoire, on fait venir les jeunes filles possédées - qu'on appelle les ' affligées ' - qui en regardant les « sorcières » sont sujettes à des crises de convulsion et de tremblement. Cette attitude est utilisée comme preuve par les jurée et va dicter leurs décisions.


Le 10 juin, la première victime, Bridget Bishop, de Salem, est conduite sur la crête de Gallows Hill pour y être pendue.



Bridget Bishop


 Le 19 juillet, il y a cinq autres accusés qui sont pendus : Sarah Good, Rebecca Nurse, Sarah Wilds, Suzannah Martin, Elizabeth Howe.


 Le 19 août, un autre groupe de cinq est pendu : le révérend Georges Burroughs, John Proctor, John Willard, George Jacobs, Martha Carrier.


Le 22 septembre, cette fois un groupe de huit est pendu : Martha Corey, Mary Easty, Ann Pudeador, Samuel Wardwell, Alice Parker, Gilmont Reed, Mary Parker  et Margaret Scott.


Quatre sont mort en prison - Sarah Osborne, Lydia Dustin, Roger Toothaker, Ann Foster - étant donné les conditions pénibles, humidité, infestation de rats, nourriture avariée, etc.


Une seule des mises à mort ne s'accomplit pas par pendaison. Giles Corey, un fermier âgé de 80 ans, refuse d'être jugé. La loi anglaise prévoit dans ce cas l'application d'une "peine dure et forte" pour l'y forcer.  Généralement, la réponse ne tarde pas à venir car la peine consiste à étendre le malheureux sur le sol et à poser sur sa poitrine des poids de plus en plus lourds, jusqu'à l'écrasement. Corey meurt en persistant dans son refus de se défendre.


Vers l'automne, la population commence à douter de la véracité des accusations des deux jeunes filles. Surtout lorsqu'elles accusèrent des juges, qui étaient considérés comme protégés par Dieu lui-même. Finalement, le gouverneur Phips revint du combat contre les Indiens pour mettre un terme au massacre. Ainsi vers la fin de l'année, les jurés admettent publiquement avoir tué des innocents et implorent le pardon aux familles. En moins d'un an, plus de 200 personnes avait été accusées de sorcellerie. De ce nombre, environ 150 avait été reconnues coupables puis emprisonnées.


« Il apparaît préférable que dix sorcières suspectées puissent s'échapper, plutôt qu'une personne innocente soit condamnée » (It were better that Ten Suspected Witches should escape, than that the Innocent Person should be Condemned) Increase Mather


Source

Dimanche 5 février 2006 à 23:51


LES MUTILATIONS DE BETAILS
Des têtes de bétail retrouvées mortes et mutilées principalement au états unis.






Depuis le premier cas signalé en 1967,10000 à 20000 têtes de bétail ont été retrouvées mortes et mutilées principalement au états unis. Les animaux gisent dans leurs milieux naturels : (champs, prés, prairies). Il semble que personne ne c'est aperçu de la tuerie. Pas de traces aux alentours. Certains sont entièrement vidés de leur sang et de tout fluide vital .Les organes vitaux manquent, les os sont brisés à plusieurs endroits. Dans cette affaire l'insolite règne. Après analyse (des cadavres, des alentours et des témoignages) ont constate quelques faits étranges:

- La langue et Les organes sexuels ont été prélevé de façon chirurgicale avec précision.
- Le rectum laisse place à un trou béant.
- Il manque parfois un ou deux yeux
- Certaines plaies sont cautérisées
- Le scalpel et le laser semblent avoir été utilisés
- La multitude d'os cassés fait penser à une chute.
- Des témoins ont vu des hélicoptères noirs non immatriculés voler au-dessus des lieux
- On a retrouvé certaines traces parallèles ressemblant étrangement aux sabots d'hélicoptère.
- Il n'y a pas de traces de morsures ce qui exclut la thèse de l'animal prédateur
- Quelques observations font états de la présence d'ovni avant la découverte des cadavres.
- Un niveau anormalement élevé de radiation a été détecté sur les lieux et cela avant que quiconque ne touche l'animal.
- Les animaux sont parfois marqués sur le dos par des taches visibles en lumière ultraviolette pour être repérables de nuit par les intervenants.
- Un opérateur au sol effectue rapidement les prélèvements d'organes après découpage avec un instrument tranchant (voir fig. 6-a), un scalpel classique, au laser ou à ultrasons. La bête peut être vidée de son sang par une ponction. L'opérateur ne laisse pas de traces de pas ou de véhicule au sol, utilisant un équipement approprié.









Il semblerait, d'après les affirmations de la police et vétérinaires que les mutilations ont été réalisées avec une précision chirurgicale, ce qui exclu l'utilisation d'un couteau. Le laser pourrait être une explication mais difficilement utilisable dans un champ, sans que personne ne le remarque. Une vache possède de onze à quinze litres de sang.

Pour la vider entièrement il faudrait couper le cou de la bête, la suspendre tête en bas, et attendre qu'elle se vide, sachant que le cœur doit continuer de battre. Le fait que de nombreux os soient brisés sur tout le corps fait penser à une chute de plusieurs mètres. Certains pensent que ces agissements seraient le fait de sectes aux cultes plus ou moins sataniques. Cela peut être aussi des expériences de laboratoires privés ou les militaires et leurs armes chimiques.







La thèse extraterrestre paraît assez improbable parce que tous les cas se déroulent sur le continent américain, il n'y aurait pas de fait similaire en Europe, ni ailleur dans le monde. Un physicien obtient une explication de certains indiens : "le peuple des étoiles sait ce qu'il fait, il faut les laisser faire". Aujourd'hui encore, les cas de mutilations existent toujours, la police classe systématiquement les dossiers et conclu le plus souvent aux rites sataniques, agissement de sectes, ou de malades mentaux. Le gouvernement Américain a investit des milliers de dollars pour enquêter sur le phénomène des mutilations d'animaux aux USA sans que rien ne filtre.







Le bétail n'est plus l'unique victime de mutilations. D'autres espèces se voient confronter à ces atrocités inexpliquées. Outre la volonté de l'armée américaine d'entretenir la croyance aux extraterrestres, il doit exister d'autres mobiles que chacun est libre d'imaginer : entraînement en réel des commandos mais aussi des services de désinformation, test d'armes chimiques et bactériologiques ou à micro-ondes, éradication discrète d'un virus bovin ( la vache folle ? ) etc.

Cependant, la plus plausible hypothèse quant au mobile est celle d'une évaluation par l'armée américaine des retombées radioactives sur l'environnement à la suite des centaines d'essais nucléaires effectués depuis les années 50 et dont on sait que certains furent contaminants (recherches de David Perkins, de Richard Sauder…).









L'examen de certains organes de bétail herbivore permettrait d'évaluer le taux de radioactivité du sol dans les régions où le vent avait propagé de gigantesques nuages radioactifs.

En janvier 1993, un rapport de l'agence américaine de protection de l'environnement a affirmé la nécessité d'exercer un contrôle des animaux destinés à la consommation qui broutaient près des sites à risques de contamination tels que les anciennes zones d'essais nucléaires, les mines d'uranium et les dépôts de déchets. Ce contrôle devait se faire à partir de sang et d'organes prélevés. Mais pourquoi ne pas prélever discrètement ces organes dans les abattoirs ? On a suggéré que les animaux devraient peut-être d'abord recevoir une injection et être marqués avant de procéder ultérieurement au prélèvement des organes, mais cela reste jusqu'à présent spéculatif.

Il est difficile ici de résister à la tentation de rapprocher ces tests animaux des prélèvements de sécrétions effectués sur les victimes d'enlèvement extraterrestre, auquel cas ces milliers d'enlèvements ne seraient qu'une autre mise en scène de l'armée américaine. Cela semble très improbable, bien qu'il soit prouvé que des enlèvement d'humains furent montées par l'armée. Le concept de MILAB (Military abduction) est en fait apparu il y a quelques années à la suite des recherches de Helmut Lammer qui se base sur les récits d'enlèvement où des militaires sont impliqués, parfois au côté des extraterrestres. Une fois n'est pas coutume, il semble que les militaires soient ici innocents des crimes dont on les accuse.

Dans certains états américains, les fermiers mécontents se regroupent en milices d'autodéfense armées de fusils et ils tirent sur tout ce qui survole leurs champs la nuit. Des arrêtés d'interdiction de vol de nuit ont donc été pris dans certaines régions.

En octobre 1975, deux bêtes mutilées furent découvertes près de l'entrée de l'usine de fabrication d'armes nucléaires de Rocky Flats située à proximité de Denver, tandis qu'en août 1976, un autre animal était trouvé à l'entrée du quartier général du NORAD (North American Defense Command) au Colorado. Une fois encore, aucun farceur ne pourrait se prévaloir d'avoir pu réaliser un canular dans ces zones sous haute surveillance militaire et les coupables sont tout désignés (même si les tenants de l'hypothèse extraterrestre considèrent pour leur part que ce sont les extraterrestres eux-mêmes qui viennent ainsi nous rappeler le pacte secret qu'ils auraient signé avec l'armée américaine pour pouvoir effectuer librement des prélèvements biologiques sur le bétail…).

Si le pot aux roses venait à être découvert, comment l'armée américaine pourrait-elle se disculper de ses activités scandaleuses aux yeux des fermiers, et pourrait-elle accepter d'assumer ses responsabilités tant par rapport à la contamination nucléaire des populations que par rapport à ses agissements clandestins et illégaux ? Il est clair que cela peut prendre des dizaines d'années de dénégations officielles avant que des preuves tangibles ne soient enfin disponibles et que l'armée ne reconnaisse sa participation aux mutilations. Elle aura veillé auparavant à réduire progressivement le nombre de mutilations perpétrées pour diminuer l'importance du sujet aux yeux du public, jusqu'à son oubli. Ultérieurement, l'armée pourra invoquer l'éradication discrète d'un virus bovin mentionnée, en exhibant la " preuve " que les derniers cas de mutilation concernaient bien des vaches contaminées, alors qu'il s'agit en réalité le plus souvent d'animaux sains. Bien sûr, il sera impossible de vérifier que tous les animaux mutilés étaient effectivement contaminés, et les médias devront se satisfaire de cette explication qui devrait permettre d'enterrer l'affaire


http://secretebase.free.fr


Des mutilations près de chez vous?????

Vendredi 3 février 2006 à 18:18


Apparitions prémonitoires


Des milliers de témoignages de visions ont été rassemblés et analysés par des parapsychologues. inexplique


En 1850, à Clapham ( Angleterre)

Phénomène d'apparition survenu vers le milieu du XIXeme siècle, une jeune fille rencontre un jour sa soeur dans d'étranges circonstances et voulut la saluer. Et horreur, sa main rencontra le vide. Quand elle apprit, que sa soeur avait mis fin à ses jours à plusieurs centaines de kilomêtres de là, elle en conclut qu'elle avait été témoin d'une apparition. Quelles vérités se dissimulent-elles derrière ce type d'aventure ?



« Maman, c'est Ellen ! ».

Une femme et son fils étaient paresseusement assis dans le jardin de leur maison de Chapam, en Grande-Bretagne. Le calme et la quiétude régnaient tout autour d'eux, et absolument rien ne laissait présager ce qui se produirait sous peu et qui transformerait à jamais leur existence. Le fils se leva brusquement en s'exclamant : « Maman, c'est Ellen ! ». Ils éprouvèrent une surprise aussi immense que compréhensible, car la jeune fille avait été envoyée pour quelque temps chez son oncle et sa tante, à Brighton, afin d'oublier une histoire d'amour que ses parents désapprouvaient. Bien que l'éloignement forcé de sa famille et de l'être aimé la fît beaucoup souffrir, la nostalgie ne justifiait pas un tel acte de désobéissance qui préoccupa énormément la mère.
Elle pria par conséquent son fils de conduire immédiatement sa sœur à la maison et de ne rien dire à leur père. Le jeune homme s'était cependant, juste ce jour-là, foulé la cheville à la suite d'une chute de cheval, si bien qu'il ne parvenait pas à marcher. La mère se mit donc en quête de son autre fille et lui ordonna de rejoindre sa sœur.
La jeune Mary s'élança sur le sentier, vola littéralement jusqu 'à la grille et appela sa sœur à grands cris en l'invitant à rentrer tout de suite chez elle. Non seulement Ellen ne répondit pas, mais elle fit volte-face et s'engagea sur un chemin qui s'éloignait de la maison. Mary courut derrière elle, la rattrapa, la saisit par un bras en lui demandant, d'un ton inquiet, où elle comptait ainsi se rendre. Les mots expirèrent néanmoins sur ses lèvres quand elle s'aperçut qu 'elle n 'arrivait pas à serrer le bras de sa sœur : sa main sembla traverser directement la chair et les os sans rencontrer la moindre résistance. En proie à la plus vive terreur, Mary retourna près de sa mère et lui raconta tout. Lady Jane en parla immédiatement à son mari, en lui faisant également part de son pressentiment que quelque chose de grave était arrivé à leur fille aînée. Ces sombres pensées furent malheureusement confirmées le lendemain. La veille au soir, au moment précis où sa famille l'avait vue dans le jardin, Ellen s'était jetée dans la mer et s'était noyée.


http://www.outre-vie.com