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Where Is The Truth?

Jeudi 20 avril 2006 à 21:44

La maison hantée de Saint Quentin (AISNE)



Hôtel de Ville de Saint-Quentin



Cette histoire s'est déroulée à Saint-Quentin, ville de 60 000 habitants située dans l'Aisne. Une maison située dans le quartier de Rémicourt, rue des canonniers fut la source de nombreux problèmes pour ses habitants.


Un mois après leur emménagement, ils entendirent des bruits bizarres venant du rez de chaussée. Bruits de casseroles, d'autres comme une craie qui grince sur un tableau, gémissements semblables aux cris d'hommes agonisants. Evidemment, au début, ils ne s'inquiétèrent pas trop, pensant qu'il s'agissait des voisins...


Jusqu'au jour où, la femme trouva un liquide rouge sur le mur de la cuisine...


A ce moment la, la panique commença a venir, elle alerta son mari, qui lui ne s'inquiéta pas et répondit : "ça doit être un effet de peinture qui ressort " .


En effet en arrivant dans la maison , la peinture avait été mise sur les murs et il pouvait sembler que celle-ci commençait à transparaître.


Au fur et à mesure, des taches apparaissant un peu partout dans la maison, la femme n'osant plus dormir, le couple se décida d'appeler la gendarmerie afin de lever le doute sur une possible mauvaise plaisanterie.


Les gendarmes prirent un échantillon du liquide, et il s'est avéra qu'il s'agissait de sang humain.


La famille habitant avant le couple victime fut interrogé (cette famille avait fait construire la maison). Cette famille, les Pironet, affirma que jamais rien de tel ne s'était produit dans le passé.


Un an plus tard, cette maison passa sur la première chaîne française dans l'émission mystères et les Pironet décidèrent alors de révéler la vérité sur ce qui s'était passé.


En fait, il se produisait les mêmes choses et comme ils voulaient vendre la maison, ils décidèrent alors de tout repeindre et.... réussirent à la vendre au couple... et ne dirent rien sur le phénomène.


La gendarmerie interpellée par cette affaire se demanda s'il s'agissait d'une farce ou d'une supercherie. Donc ils ont mirent de la farine sur le sol de la maison et mirent sous scellés la maison pendant une semaine afin que personne ne puisse rentrer.


Après 7 jours, ils démirent les scellés et rentrèrent dans la maison. Rien n'avait bougé mais... les murs étaient pleins de sang. Dés lors le couple loua un appartement fit venir un prêtre qui dit qu'il s'agissait de l'oeuvre du diable et ... qu'il fallait la détruire.


Là un crâne humain fut découvert. Supposant que les lieux était hantés, le prêtre béni les lieux et le couple retourna vivre dans la maison.


Le phénomène se poursuivit. Finalement la maison fut mise en vente une nouvelle fois et ils partirent vivre à Amiens dans la Somme.


Apres une dernière tentative infructueuse de revendre la maison, cette dernière fut démolie afin de mettre fin a cet inexplicable cauchemar.


Lors de la construction de la nouvelle maison, une chose étonnante se produisit : une cinquantaine de corps de soldat allemand de la première guerre mondiale fut découvert.


Il est probable que cela ait un rapport mais cela restera à jamais inexpliqué...


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Mercredi 19 avril 2006 à 21:57

C'est l'Ile mystérieuse. On y cherche un trésor depuis deux siècles. On sait où chercher. Mais après plus de 200 ans de fouilles avec des techniques de plus en plus perfectionnées, plusieurs faillites et quelques morts, on ne sait toujours pas qui a caché quoi sur Oak Island, l'Ile-aux-Chênes.


C'est la plus bizarre des "îles au trésor" de la planète. D'ordinaire, les chercheurs savent ce qu'ils cherchent: un galion coulé avec telle cargaison. Tout ce qu'ils ignorent, c'est où chercher. Dans le cas de la petite Ile-aux-Chênes, au large de la Nouvelle-Ecosse, c'est le contraire: on sait où se trouve le "trésor". Mais on n'a pas l'ombre d'une idée de ce qu'il contient. Et surtout, on ignore qui a pu construire le système de pièges le plus ingénieux qu'une île au trésor ait jamais renfermé.


Au début, ça semblait facile: en 1795, Daniel McGinnis, un adolescent habitant sur le continent, qui s'amusait à chasser la perdrix dans cette île inhabitée, aperçoit une poulie de navire pendue à une branche de chêne. Juste au-dessous, il remarque une légère dépression du sol, comme si on avait rebouché un trou. Persuadé qu'il s'agit d'un trésor laissé par les pirates, il court prévenir deux copains.


À quelques pieds de profondeur, ils rencontrent une rangée de dalles (flagstones ); ils l'enlèvent et continuent à creuser. À trois mètres (dix pieds), c'est une deuxième plate-forme, faite de billes de chêne (oak ). Ils l'enlèvent et continuent à creuser.


Et ça continue ainsi pendant des jours. A six mètres (20 pieds), nouvelle plate-forme en chêne. À neuf mètres (30 pieds), une autre. Et sous elle, toujours cette terre tassée, avec de l'argile et des roches. Les garçons comprennent que ces plates-formes servent à se partager le poids des tonnes de terre. Sauf que neuf mètres de profondeur, c'est trop pour eux.


Ils abandonnent donc, et les choses en restent là pendant près de dix ans. Jusqu'en 1804...


En 1804, un nommé Simeon Lynds entend parler de la découverte des trois jeunes garçons. Il forme une compagnie et apporte sur l'île du matériel de mines.


Les ouvriers dépassent sans problème le niveau atteint dix ans plus tôt et, en continuant à creuser, découvrent à leur tour, tous les dix pieds, des plate-formes recouvertes tantôt de couches d'algues, tantôt de charbon... et même de fibres de cocotier!



Dans l'esprit des plus rêveurs, l'association cocotiers = Antilles = pirates = trésor, est rapidement faite...



À la 9e plate-forme (27 mètres ou 90 pieds), première découverte intéressante: une lourde dalle de pierre marquée, au verso, d'une inscription dans un langage indéchiffrable. Elle est mise de côté, et il faudra longtemps avant que quiconque ne la juge digne d'intérêt...


Les ouvriers atteignent 33 mètres (110 pieds) et s'arrêtent pour la nuit. Le lendemain matin, surprise: le puits est rempli aux trois quarts d'eau! D'où vient-elle? On ne sait pas. Mais surtout, pourquoi le puits ne s'est-il pas rempli plus tôt? Sur le coup, on n'a pas de réponse. Pendant des semaines, les hommes écopent avec des seaux et des pompes improvisées, sans parvenir à abaisser le niveau d'eau.


Au printemps suivant, ils creusent un deuxième puits, dans l'espoir de prendre le trésor par en-dessous. Ils descendent jusqu'à 37 mètres (123 pieds) puis se dirigent vers le puits au trésor. Alors qu'ils l'atteignent, l'eau commence à jaillir avec force. Les ouvriers n'échappent que de justesse à la noyade. Le deuxième puits est lui aussi inondé.


Certains s'interrogent: l'eau a, comme par hasard, commencé à jaillir lorsqu'on a enlevé la dalle gravée. Cette dalle aurait-elle agi comme un bouchon? Le puits aurait donc été conçu comme une paille à l'intérieur de laquelle l'eau ne montera pas si on en bouche l'extrémité avec le doigt?


L'hypothèse est séduisante. Mais n'apporte aucune solution au problème. La compagnie abandonne. Lynds est ruiné.



Les recherches ne reprendront qu'en 1849...


En 1849, les recherches reprennent avec la coopérative de Truro. Il ne s'agit plus cette fois de creuser mais de faire des forages, pour savoir une fois pour toutes ce qui se trouve au fond. Les premiers résultats confirment les espoirs les plus fous: après avoir dépassé les 110 pieds, la foreuse passe à travers 10 cm de bois (le sommet d'une caisse?) et pénètre dans du métal en vrac!


Lorsqu'on remonte la foreuse, on y trouve des échantillons de chêne et ce qui semble être trois maillons en or d'une chaîne de gousset. C'est la première fois qu'on a la preuve que quelque chose de payant se trouve au fond. Encouragé, on refait descendre la foreuse. Au-delà du métal, elle traverse 20 cm de bois; sans doute le fond du coffre suivi du sommet d'un autre. Puis, 56 cm de métal en vrac. Puis, 10 cm de chêne (le fond du 2e coffre?) et 15 cm d'épinette (le plancher?).


Persuadés d'avoir enfin atteint la chambre au trésor, les chercheurs ne sont pas pour autant au bout de leurs peines: personne n'est encore parvenu à abaisser l'eau du puits, même avec des pompes.


A l'été 1850, ils décident donc de forer un second puits pour faciliter le pompage. Ils creusent jusqu'à 36 mètres (120 pieds), un niveau jamais atteint jusque-là. Puis, ils se dirigent vers le premier puits, dans l'espoir d'atteindre le trésor par en-dessous. C'est la catastrophe: en moins de 20 minutes, le second puits se remplit au même niveau que le premier. Pire encore, à en juger par le bruit, les ouvriers en déduisent que le fond du puits au trésor s'est affaissé dans leur propre conduit. Lequel est maintenant tout aussi inondé que le premier puits. Chou blanc.


Ce n'est qu'à ce moment qu'un ouvrier a l'idée de goûter l'eau du puits: elle est salée. C'est donc de l'eau de mer, et non un lac souterrain. Le puits est relié à la mer: pas étonnant qu'on n'arrive pas à le pomper!


On finit par trouver dans une anse, à une centaine de mètres de là, un endroit d'où l'eau s'échappe, à marée basse, à travers le sable. Les ouvriers enlèvent aussitôt le sable et le gravier et s'aperçoivent que la plage a été recouverte d'une couche compacte de galets et de roches entre lesquels on a tassé des algues et des fibres de noix de coco. Autrement dit, quelqu'un a transformé 45 mètres de plage en éponge, puis recouvert le tout de sable. La plage au complet est artificielle!


Ce n'est pas tout: cinq conduits souterrains d'écoulement recouverts de gros galets et de roches plates conduisent à l'entrée d'un tunnel. À marée haute, l'eau s'infiltre par ces cinq conduits, et de là par le tunnel (no. 5, ci-contre), en direction du puits au trésor. Et l'hypothèse de la paille se révèle exacte: quiconque enlève les plate-formes de chêne du puits, enlève les "bouchons" qui empêchaient l'eau de la mer d'atteindre le puits (sur le dessin ci-contre, 2 représente le niveau de la mer). Comme une paille qui ne se remplira pas si on en bouche une extrémité avec le doigt!


De toute évidence, les mystérieux constructeurs de cet ingénieux système se sont donnés un mal fou pour empêcher des intrus d'accéder à leur trésor...



Qui a fait ça?



Mais qui sont ces constructeurs? Au fil des générations, toutes les hypothèses y sont passées. Sauf qu'on estime que la construction du puits et des conduits aurait exigé une centaine d'hommes pendant six mois. Or, la région n'a gardé aucun souvenir d'une quelconque activité -l'île est à quelques coups de rames de la côte, il aurait donc été difficile de cacher un séjour de six mois aux riverains.


Aucune légende dans aucun port. On n'a jamais retrouvé la moindre trace d'une habitation humaine sur l'île. Bref, le mystère avec un grand M.


Du milieu du XIXe siècle jusqu'à aujourd'hui, plus d'une dizaine de compagnies ont tenté de récupérer le trésor de la mystérieuse Ile-aux-Chênes, au large de la Nouvelle-Ecosse. Toutes se sont butées aux problèmes d'inondations souterraines. Quelques personnes ont même perdu la vie, dans ces efforts répétés pour surmonter des obstacles ingénieusement dressés par on ne sait qui, il y a très longtemps.


La compagnie Truro, celle qui avait découvert la plage artificielle en 1850 , a dû à son tour abandonner les travaux, ruinée, sans jamais être parvenue à pomper le puits principal. Après une autre vaine tentative pour atteindre le puits principal au moyen d'un autre tunnel, le fond du puits s'effondre en partie dans le tunnel, en partie on ne sait où, peut-être dans une grotte ou une cavité située dans les profondeurs de cette île.


En 1861, une nouvelle firme recommence le creusage. Le puits-au-trésor s'effondre encore une fois. On achète une pompe à moteur. La chaudière éclate, tuant un ouvrier. La compagnie est en faillite en 1867.


Une troisième reprend en 1897 avec une pompe à vapeur. On creuse le puits jusqu'à 111 pieds, mais la pompe tombe en panne et l'eau s'élève à nouveau.


Écoeuré, on prend alors les grands moyens: on fore cinq trous dans le sol, dans lesquels on insère des charges de dynamite, le long de la direction présumée du tunnel d'irrigation, qui amène l'eau de mer jusqu'au puits. On fait sauter. L'eau est pompée, avec succès, pour la première fois en 90 ans.


Le forage reprend, et dépasse les niveaux de toutes les explorations précédentes. À 50 mètres (163 pieds), la pointe de la foreuse rencontre un obstacle: 17,5 cm de ce qui semble être du ciment. Sous le ciment, il y a dix centimètres de bois, puis un mètre de métal, puis de nouveau du bois et du ciment. Touche-t-on enfin au but? Il semble y avoir là une voûte de deux mètres. Les coffres placés 20 mètres plus haut, qu'un forage avait localisé 50 ans plus tôt -et dont on a perdu la trace lorsque le plancher qui les soutenait s'est effondré- ne l'auraient-ils été que pour satisfaire la curiosité, alors que le vrai trésor se trouverait plus bas?


Avant d'aller plus loin, en mai 1898, par mesure de prudence, on répand de la teinture rouge dans le fond du puits afin de s'assurer que le tunnel d'irrigation a bel et bien été détruit. On ne voit rien sur la plage: victoire!... jusqu'à ce que, plus tard dans la journée, des ouvriers aperçoivent une immense tache rouge qui recouvre une autre partie de la plage. Il existe donc un deuxième tunnel d'irrigation!


On cherche son entrée, en vain. Les forages continuent, se multiplient. Après des semaines de travail, dans un amoncellement de boue, les hommes ne peuvent même plus localiser le puits original. Après avoir investi plus de 115 000$, les nouveaux actionnaires décident d'abandonner.


Leurs successeurs n'auront pas plus de succès. En fait, le travail est devenu aujourd'hui considérablement plus difficile: l'île a tant et si bien été creusée qu'elle s'est transformée en une éponge. Les chênes ont disparu. Plus personne ne sait où se trouve le puits original. Et on n'a toujours pas l'ombre d'un indice sur ses constructeurs.


Mais on continue à creuser. Les actuels rêveurs sont ceux de la compagnie Triton Alliance, qui creusait toujours, à l'été 1997. Mais c'est là tout ce qu'il était possible d'arracher à son président, M. Tobias. Pour le reste, comme d'habitude, le mutisme. On ne sait donc pas si Triton a trouvé quelque chose... ou si elle connaîtra le sort de ses prédécesseurs...


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Lundi 17 avril 2006 à 23:00

Il serait vraiment étrange que nous soyons seuls dans cet Univers


La recherche d'une forme de vie intelligente dans l'Univers n'est pas une mince affaire. Elle passe par l'écoute de signaux radio et la recherche d'exoTerres, des planètes telluriques similaires à la Terre orbitant dans la zone d'habitabilité d'autres étoiles de la Galaxie. Bien que plus de 170 planètes extrasolaires ont été découvertes depuis 1995 La découverte de planète tellurique se fait attendre. Il faudra vraisemblablement attendre l'envoi dans le ciel de télescopes spatiaux dédiés dans la prochaine décennie.

L'Univers est tellement vaste qu'il est vraisemblable qu'il existe d'autres endroits où la vie a pu apparaître, se développer, perdurer et donner naissance à une civilisation suffisamment avancée et capable de communiquer à travers l'Univers. Reste que nous sommes bien incapables de les découvrir à moins d'une chance inouïe.


17129 systèmes stellaires potentiellement habitables

Une astronome de l'Institution Carnegie à Washington s'est intéressée aux étoiles les plus à même d'abriter une zone d'habitabilité où la vie, du moins comme nous la concevons, a pu apparaître et perdure depuis. Il faut savoir que depuis 2003, des astronomes ont édité un catalogue qui rassemble quelque 17129 systèmes stellaires potentiellement habitables.

Il est inutile de rechercher une vie intelligente autour de toutes les étoiles. Certaines ne sont pas prédisposées à favoriser sa perduration. Ainsi, les étoiles variables émettant régulièrement des flashes lumineux ou autres effets pyrotechniques sont trop jeunes pour répondre à ce critère, tandis que les étoiles 1,5 fois plus massives que le Soleil ne vivent pas suffisamment longtemps pour favoriser une zone habitable pérenne.


5 étoiles cibles pour SETI

La scientifique a édité une très courte liste pour les astronomes du
SETI, projet qui vise à intercepter des signaux radio émis par des extraterrestres. 5 étoiles apparaissent comme des cibles prioritaires. Il s'agit d'étoiles similaires au Soleil, c'est-à-dire de type G, la famille d'étoiles la plus courante dans la Galaxie. Ces étoiles sont jaunes et leur température de surface est de l'ordre de 5000 à 6000 degrés. La signature du Calcium est dominante et on y observe la signature de nombreux métaux d'où un taux de métallicité élevé.

Pour déterminer cette short liste, l'astronome américaine s'est basé sur plusieurs critères liés à l'âge à son type et son taux de métallicité. L'étoile doit avoir au moins 3 milliards d'années d'existence. Cette période apparaît suffisamment longue pour que l'astre soit stable et que la vie a pu apparaître et se développer sur des planètes de son système planétaire si tant est bien l'étoile en possède !

Autre critère pris en compte par la scientifique, la métallicité de l'étoile. Les étoiles et les planètes se forment à l'intérieur de la même nébuleuse, c'est-à-dire un nuage de gaz et de poussière. Si l'étoile ne possède pas assez de fer dans son atmosphère, il est probable que la nébuleuse son système planétaire ne sera guère enrichi en métaux lourds et pas assez pour que les planètes se forment. Selon l'astronome le étoiles les intéressantes devraient tendre vers au moins 50 pourcent de teneur en fer, par rapport au Soleil. Les étoiles avec un fort taux en métaux tendent à évoluer vers une orbite stable orientée dans le plan de la galaxie.


Des cibles pour le Allen Telescope Array

La recherche de vie avancée dans l'Univers sera un des principaux objectifs du
Allen Telescope Array. Il s'agit d'un radio télescope composé de 350 antennes de 6,1 m, répartis sur une surface d'environ 1 km de diamètre et fonctionnera en réseau. Aujourd'hui, 32 antennes ont d'ores et déjà été construites et mises en service et 42 le seront d'ici la fin 2006. La livraison des autres antennes doit se faire progressivement avant la fin de la décennie.

La scientifique a déterminé une première cible pour ATA. Il s'agit de Beta CVn, une étoile de type solaire située à près de 26 années-lumière dans la constellation des Chiens de chasse (une AL = 5,9 trillons de km). D'après les observations les plus récentes, cette étoile est entourée d'aucune planète.

Les autres étoiles sont HD 10307, une étoile similaire au Soleil et située à près de 42 années-lumière. Cette étoile possède des caractéristiques très similaires au Soleil. Sa masse, sa température et son taux de métallicité sont pour ainsi dire identiques. Notez que HD 10307 est un système double (une étoile bien moins massive). HD 211415 se situe légèrement plus loin que HD 10307. Bien que de type solaire elle est légèrement plus froide et son taux de métallicité est moitié moins important que celui du Soleil. Quant à 18 Sco, il s'agit d'une étoile très populaire dans la communauté des astronomes. Située dans la constellation du Scorpion cet astre est pour ainsi dire une étoile jumelle du Soleil. Enfin, dernière étoile sélectionnée, la célèbre 51 Pegasus. Célèbre parce que c'est autour de cette étoile qu'a été découverte la première exoplanète en 1995 par une équipe suisse. Bien que la planète découverte soit de type Jupiter chaud, l'astronome n'exclut pas l'existence de la présence d'autres planètes, dont des exoTerres.


Des cibles pour la mission TPF

La mission
Terrestrial Planet Finder de la NASA est un projet ambitieux qui consiste à placer sur orbite deux engins spatiaux distincts. Un coronographe de recherche planétaire (TPF-C) et un Interféromètre de recherche planétaire (TPF-I). Reste que son lancement n'est pas prévu avant au moins 2022.

TPF sera capable de 'voir' les couleurs d'exoplanètes de façon à déterminer si la planète est potentiellement habitable. Si ces planètes découvertes évoluent dans la zone d'habitabilité de leur étoile, TPF essayera d'identifier les signatures chimiques de la vie ou de toute autre activité biologique.

Les étoiles cibles choisies pour cette mission ont une luminosité intrinsèque suffisante pour favoriser l'existence d'une zone d'habitabilité pérenne mais pas trop lumineuse pour empêcher de prendre des clichés de planètes tournant autour. Les étoiles les plus indiquées sont des étoiles de type K. ces astres sont plus froids que le Soleil. De couleur orange, elles ont une température effective de 3500 à 5000 K.

L'étoile la plus intéressante est Epsilon Indi A. Il s'agit d'une étoile dont la luminosité est d'un dixième de celle du Soleil. Proche de la Terre, elle se situe à 11,8 années-lumière dans la constellation des Indiens. Cette étoile fait parti des 100 cibles prioritaires de la mission TPF. Les autres candidats sont Eridani epsilon. Cette étoile est légèrement plus petite et froide que le Soleil. Elle se situe à 10,5 années lumière dans la constellation du fleuve. Autre étoile de cette même constellation, Omicron2 Eridani. Il s'agit d'un astre de couleur jaune orangée aussi âgé que le Soleil et situé à 16,5 années lumière. Quant à Alpha B. Part Centauri, cette étoile à, ceci d'intéressant qu'il s'agit d'une des étoiles les plus proches du Soleil, à moins de 4,35 années-lumière. Longtemps considéré comme une des régions de la Voie Lactée les plus propices à offrir des conditions de type terrestre. Reste que cette étoile fait partie d'un système triple.

Seule étoile de type G, c'est-à-dire de la même famille que le Soleil, Tau Ceti. Cette étoile se différencie toutefois du Soleil par son taux de métallicité très faible par rapport au Soleil mais, sur la longueur, elle apparaît capable de soutenir l'apparition et la perduration d'une forme de vie complexe sur une des planètes de son système planétaire si tant est bien sûr qu'elle en possède un.


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Vendredi 14 avril 2006 à 0:05

L'histoire du village remonte à 400 av.J.C. pendant la civilisation Celto-Ligure des Salyens. Vers 123 av.J.C. les Romains occupent le village et s'installent. En 574, La région est assiégeé par les Lombards et du VIIIème au Xème siècle, les Sarrasins dévastent à leur tour la région.

Mais à partir de 970, le calme et la prospérité reviennent. Au XIème siècle, 2 églises cohabitent ; "Velenna-Nova" au domaine St Hyppolyte et "Velenna-Vetula". Sa situation géographique (sur la route entre Aix-en-Provence et le Lubéron) encourage son expansion (traffic de transport de bois). Mais c'est au XVème siècle que les terres exploitées en vignes commencent à se peupler. Au XVIème, les agriculteurs s'installent et plantent sur les pentes du village,
des vignes, du blé, des oliviers et des amandiers. En 1540, Venelles compte 7 maisons. En 1820, le nombre se monte à 211 habitations et 833 villageois. Le village, bati sur une colline s'étend vers le bas.

En 1865, Venelles connait un essor économique et démographique sans précédent grâce au Maire Felix Chabaud (création d'une brigade de gendarmerie, travaux d'adduction des eaux, construction de la gare sur la ligne "Marseille-Grenoble", etc...).
Le 11 Juin 1909, un très violent tremblement de terre secoue le village. L'église et plusieurs maisons sont détruites. La nouvelle église sera construite à Venelles-le-bas comme, par la suite, tous les édifices importants.
Aujourd'hui, le village compte plus de 8000 habitants. La plupart d'entre eux ne connaissent pas la partie sombre de l'histoire du village que je vais vous dévoiler. Elle a été oubliée et enfouie intentionnellement...


Aller sur le site!

Mercredi 12 avril 2006 à 19:11

Ame sensible, si tu commence à lire cet artcicle: STOP!!!



Une vieille femme possédant un dentier avait énormément mal. Elle décida donc d'aller chez le dentiste. Arrivé chez le dentiste, il lui retire le dentier et découvre... des vers. En effet, cette vieille dame ne savais pas qu'il fallait retirer son dentier tous les soirs!


La pauvre vieille! mdr!! p.s: j'ai évité la photo bien dégueulasse, je pense que le petit texte suffit pour illustrer l'histoire, laissez aller votre imagination lol!


source