slipkornt

Where Is The Truth?

Dimanche 4 décembre 2005 à 17:40

Les rochers vivants


Les pierres bougent. Et personne ne les voit bouger. Pourtant, des milliers de personnes ont pu voir les sillons qu'elles creusent en roulant dans les Lits des anciens lacs, dans les montagnes de la sierra Nevada, à l'Ouest des Etats-Unis.

Très haut dans les montagnes de la sierra Nevada, dans les régions reculées qui bordent d'un côté la Californie et de l'autre le Nevada, on s'est aperçu qu'à certains endroits les pierres se déplacent au cours de la nuit. Il est même arrivé qu'un groupe de pionniers se soit trouvé bloqué dans ces collines au terrain accidenté, creusé de sillons multiples et profonds, ou dans les lits de ces pas, puisqu'ils se dirigeaient vers des terres plus hospitalières pour prospecter ou s'y installer. Ces lieux font maintenant partie du Parc national de la où les pierres mouvantes milliers de touristes. Le plus célèbre de ces lacs asséchés, ou Playas est sans doute le Racetrack Playa : large d'environ 2 km et long de 5 km, le lac se trouve à 1200 m environ au-dessus du niveau de la mer L'œil du visiteur est immédiatement attiré par ces énormes cailloux et blocs de pierre qui jonchent cette plaine de boue sèche et craquelée. La qualité de la lumière et l'altitude ajoute à l'effet surréel produit. Ces roches aux sillons profonds qui serpentent loin derrière eux donnent l'impression d'être à la fois immobile et en mouvement. Jamais personne n'a vu ces pierres bouger, et pourtant elles bougent ! ... On a pu constater au cours des dernières années que ces rochers n'avaient pas roulés seuls mais avaient été poussés, laissant derrière eux un sillon de leur largeur. En 1955, un géologue, George M. Stanley, écrivit dans le bulletin de la société américaine de géologie (G.S.A.) qu'il croyait à une conjuration des effets mécaniques de la glace et du vent. Ce qui intrigua Stanley, c'est les rochers semblaient se déplacer souvent ensemble. Il conclut que des couches de glace s'étaient formées autour de ces blocs de pierre et que le vent soulevant une couche entière propulsait le rocher vers l'avant.

Cette thèse fut jugée plausible et resta longtemps la seule, d'autant que l'on avait pu voir des rochers pris dans des couches de glace se déplacer le long d'autres playas californiens. Cependant, les plaques de glace qui recouvrent les playas de la Vallée de la Mort sont extrêmement fines. Même si elles étaient capables de déplacer des roches plus petites, elles ne pourraient soulever des blocs de 155 à 170 kg laissant de tels sillons derrière eux. Stanley en convint. Le mystère du Racetrack Playa acquit une audience mondiale dans les années soixante. En 1969, il attira l'attention du docteur Robert P Sharp, appartenant au département de géologie de l'Institut californien de technologie. L'étude que ce chercheur entreprit sur le mouvement des pierres dura sept ans. Il choisit vingt-cinq roches de formes et poids différents (jusqu'à 455 kg), chaque rocher fut baptisé, et on planta des poteaux métalliques pour marquer leur position initiale. Le docteur Sharp ajouta plus tard cinq rochers à son étude. Chaque fois qu'il se rendait dans la Vallée de la Mort après une très difficile expédition (il lui fallait parcourir un chemin très dur et très accidenté de 50 km), le docteur Sharp recherchait les rochers marqués qui avaient pu bouger, marquait d'une borne leur nouvelle position et mesurait la distance parcourue. Durant sept années de travail, vingt-huit des trente pierres étudiées avaient bougé. La longueur totale de tous les déplacements couvre une distance de 262 m. Le plus grand mouvement "solitaire > est celui d'un galet de 250 g, appelé Nancy, qui parcourut une distance de 201 m. La direction générale de ces mouvements est le Nord-nord-est, avec quelques petites déviations vers l'Est et le sud-est, ce qui correspond à la direction des vents prédominant dans le playa. Sharp ne tarda pas à remarquer qu'une sorte de crête surmontait les côtés du sillon et que, dans son mouvement, la pierre poussait devant elle un petit tas de débris. C'était l'indication que les pierres devaient se déplacer sur un terrain souple et non durci par une forte sécheresse ou par la glace. Sharp remarqua aussi que la plupart des mouvements enregistrés s'étaient déroulés en trois périodes : les hivers particulièrement rudes et orageux de 1968-1969, 1972-1973 et 1973-1974. Il faut cependant remarquer qu'une partie seulement de ces pierres s'est déplacée tout au long de ces trois périodes. Sharp en conclut donc que la pluie est un agent aussi important que le vent. Les playas ne sont que peu arrosés - 0 à 8 cm par an, mais sont entourés de 180 km2 de collines qui constituent une sorte de zone réservoir. La plus légère pluie dans cette zone fait ainsi apparaître une fine couche d'eau sur presque tout le playa. La surface du playa étant argileuse, il se forme, sous l'action de la pluie, une sorte de feuille d'eau avec des particules d'argile suspension. En revanche, si l'eau détrempe le sol assez profondément ou assez longtemps les pierres s'enlisent dans une argile consistance douce et collante. A 0,6 cm d'eau, la surface est assez ferme pour soutenir les pierres. En 1976, Sharp écrit dans le Bulletin de la G.S.A. : " Le secret est de percevoir précisément au bon moment le jeu du vent et l'eau. Selon lui, le mouvement se produit probablement en l'espace de un à trois jours de temps humide et orageux, quand la surface est "lisse comme un sifflet >. Une puissante tornade suffit à amorcer le glissement du rocher et ensuite une légère brise continuera à le faire avancer. Sharp maintient que les collines des environs canalisent et conduisent les vents vers le playa à des vitesses suffisamment importantes pour déplacer les rochers. Plus la surface sur laquelle repose la pierre est lisse, plus rapide sera le mouvement. Il a aussi calculé la vitesse maximale d'un déplacement : 1 m par seconde. Le phénomène de mouvement des pierres n'est pas particulier au Racetrack Playa. On a pu observer ce phénomène dans au moins dix autres playas de Californie et du Nevada. Il arrive aussi que des traités de géologie mentionnent des anomalies similaires.

Dans un article écrit en 1879 pour la revue Nineteenth Century, Lord Dunraven raconte l'étrange vision d'un lac, en Nouvelle-Ecosse, qu'il a visité l'année précédente. ( Un jour, un serviteur indien raconta que dans un lac tout proche les rochers émergeaient de plus en plus, ce qui ne fut pas sans m'étonner. Je suis donc allé voir ce spectacle, sûr que l'on verrait les rochers sortir de l'eau et se diriger vers la terre sèche. Le lac est considérablement étendu, mais peu profond et regorge de grosses masses rocheuses. Beaucoup semblent être complètement sorties du lac et sont maintenant perchées au sec à 14 m environ de la rive. Vous pourrez en voir de toutes les tailles : des blocs de 1,8 à 2,4 m de diamètre jusqu'à des pierres qu'un homme pourrait soulever. On en trouve, de plus, à tous les stades de leur progression, certaines à 90 m ou plus de la rive et d'autres apparemment au début de leur progression, d'autres à mi-chemin et d'autres encore... perchées au sec. Dans tous les cas, elles ont creusé derrière elles un sillon plus ou moins important. Lord Dunraven remarqua aussi un énorme spécimen à quelque distance du bord de l'eau. Il était précédé d'un amalgame de pierres et de terre de 1 m de haut. Il avait creusé derrière lui, d'une largeur exactement égale à la sienne, un sillon qui courait jusqu'au rivage avant de se perdre dans l'eau. A la fin de l'année 1879, une lettre publiée dans le Scientifique American expliquait ce phénomène tout à fait étrange et ressemblant étonnamment à celui des playas.

L'auteur qui signait J.W.A. prétendait avoir observé des phénomènes identiques dans d'autres lacs canadiens. Selon son explication, l'effet est beaucoup plus spectaculaire dans des lacs peu profonds, en partie entourés de rives abruptes ou de collines. La glace, en se formant, s'étend et exerce une poussée dans toutes les directions. Les collines forment d'un côté un obstacle inébranlable, ce qui a pour effet de doubler la poussée sur le rivage ouvert. En eau plus profonde, la glace se répand jusqu'au fond du lac et y emprisonne les roches. Quand son volume augmente, elle emporte avec elle les rochers et tout autre débris ; Elle les dépose plus loin quand cesse sa dilatation, et à la fonte des neiges. Chaque hiver, la glace se dilate et fond : les mouvements cumulés seraient ainsi assez importants pour pousser les rochers sur la terre ferme. En 1884, dans le Scientific American, le professeur Charles A. White proposa une explication au mystère des "lacs emmurés" de l'Iowa c'est ainsi qu'on les appelle. On pensait à l'origine qu'ils étaient l'œuvre d'une race aujourd'hui disparue. Ce sont, selon le professeur, les poussées glaciaires successives qui ont déposé des blocs compacts de terre de graviers et de galets tout autour des lacs peu profonds. On peut donc donner une explication à ces mouvements. Mais l'aspect surréaliste de ces playas, ces rochers et les sillons qu'ils ont creusés derrière eux nous font encore une fois prendre conscience de tous les
mystères et de toutes les merveilles de la nature.


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Samedi 3 décembre 2005 à 18:57

      MU LA LEMURIE



Une civilisation supposée avoir existé avant et en même temps que l'Atlantide






La Lémurie est appelée aussi Mu, ou Terre de Mu. C'est une ancienne civilisation qui est supposée avoir existé avant et en même temps que l'Atlantide. On la situe dans le Pacifique Sud, entre l'Amérique du Nord, l'Asie et l'Australie.







A l'apogée de sa civilisation, les lémuriens étaient hautement évolués et d'une grande spiritualité.
Mu, aurait été englouti par une éruption volcanique. Les survivants auraient alors fondé la civilisation Maya.






A l'apogée de sa civilisation, les lémuriens étaient hautement évolués et d'une grande spiritualité. Ce continent légendaire aurait sombré dans l'Océan. Les survivants purent se réfugier dans les colonies de Mu. Malheureusement, il est très difficile de trouver une preuve concrète de son existence.










En 1926, le colonel James Churchward, américain d'origine anglaise, fit sensation en publiant son 1er livre : "Le continent perdu de Mu." Il affirmait que des tablettes découvertes en Inde et au Mexique, rédigées dans le langage de Mu qu'un vieux prêtre d'Asie lui avait appris à déchiffrer, confirmaient que ce continent avait été la source de toute civilisation, avant même l'Atlantide. Après avoir quitté l'Inde, Churchward chercha d'autres preuves concrètes de l'existence de Mu, au Tibet, en Égypte, en Nouvelle Zélande et à l'île de Pâques. Il raconta avoir trouvé de nombreux textes gravés dans la langue sacrée de Mu. Malheureusement, personne d'autre n'a jamais vu ces plaquettes et le doute subsiste toujours sur les découvertes et les dires de Churchward.

De toutes les contrées mythiques qui ont enflammé l'imagination de générations de curieux, l'Atlantide demeure sans aucun doute la plus célèbre. Successivement placée à hauteur des Açores, au cœur de la mer Egée ou sur les rivages de la mer du Nord, l'île fabuleuse décrite par Platon dans le Critias et le Timée correspond certainement à une réalité historique, qui demeure difficile à cerner mais n’en apparaît pas moins indiscutable. Cette patrie originelle de la civilisation dont les auteurs les plus divers ont fait la mère de toutes les cultures supérieures qui se sont développées sur la planète, de l'ancienne Egypte à l'Inde aryenne et à 1'Amérique précolombienne, fut cependant précédée, affirment certains, par un autre monde dont ne subsistent plus aujourd'hui que quelques vestiges épars, compréhensibles seulement par les spécialistes de l'espace océanien.

Douze mille ans avant l'ère chrétienne ( -12000 ), un gigantesque continent se serait englouti dans les profondeurs du Pacifique : c'est sur cette terre que prospérait l'empire de Mu dont les habitants, essaimant vers la Birmanie, l'Inde, le Mexique, la Mésopotamie et l'Egypte, devaient ensuite jeter les fondements de toutes les grandes civilisations historiques, 1'Atlantide ne jouant qu'un rôle de relais dans cette gigantesque aventure. Quels sont les éléments ou les informations qui permettent à certains savants de considérer aujourd'hui l'existence de Mu comme une probabilité qu’il est impossible d'écarter a priori? Peut-on espérer que de nouvelles découvertes vont venir confirmer les fantastiques intuitions de James Churchward et de Louis Claude Vincent, les deux pionniers de l'histoire muenne? Comment expliquer la disparition catastrophique de ce monde fabuleux qui fut sans doute, de nombreux faits permettent de l’affirmer, la terre où se constituèrent les plus hautes traditions spirituelles de l'humanité?

De nombreux vestiges restent encore à mettre au jour et l'archéologie des îles océaniennes n'en est qu'à ses balbutiements ; certains textes précolombiens ou indiens doivent être complètement réinterprétés pour faire avancer davantage notre connaissance de Mu, mais il est d'ores et déjà possible d'établir une synthèse de tous les faits qui montrent à l'évidence que cette terre paradisiaque, vouée au culte du dieu Soleil, eut une existence historique bien réelle, dont le souvenir s'est conservé dans de nombreux documents et dont les archéologues commencent a redécouvrir les vestiges.

A défaut d'un continent dont l'existence pouvait être vérifiée quelque part dans les latitudes moyennes de l'hémisphère Sud, certains esprits imaginèrent alors qu'il avait été englouti à la suite d'une catastrophe naturelle. Dès 1778, un compagnon de Cook, le théologien Johann Reinhold Forster, affirmait dans ses Observations que les îles hautes de la Polynésie sont les restes d'un continent submergé, qui anciennement aurait communiqué avec 1'Asie et en aurait alors tiré sa population; ce continent aurait disparu en s'affaissant.

Dans son Mémoire sur les îles du Grand Océan de 1834, Dumont d'Urville suppose “ qu'un continent ou une grande île comme1'Australie dut jadis occuper une partie de l'Océanie habitée par un peuple dont les tribus polynésiennes ne sont que des débris échappés à quelque grande convulsion du globe ”. A partir de la seconde moitié du XIXè siècle, de nombreux auteurs évoquent l'Océanide, soeur lointaine de l'Atlantide de Platon, engloutie comme elle sous les eaux marines. Cette hypothèse est cependant loin de faire l'unanimité et de nombreux savants, notamment des géologues, affirment qu'il n'existe aucune preuve permettant d'imaginer un tel cataclysme. En 1934, l'un des compagnons d'Alfred Métraux, lors d'une expédition à l'île de Pâques, peut écrire que rien ne permet d'avancer “ que l'île de Pâques ait été jadis beaucoup plus grande qu'elle n'est aujourd'hui, ou qu'un archipel situé dans ses environs ait disparu. L'hypothèse d'un continent Pacifique, d'une Lémurie, soeur de l'Atlantide, doit être définitivement écartée ”...

Cette vue des choses est peut-être excessive et certains géophysiciens sont aujourd’hui plus nuancés. Le Pacifique a connu, c'est incontestable, d'importants bouleversements géologiques : la ceinture de feu qui l'entoure en demeure le témoignage le plus évident. Mais ceux-ci remontent à l'ère tertiaire, à plusieurs dizaines de millions d'années, c'est-à-dire à des époques beaucoup trop reculées pour avoir connu la présence humaine.







LES DOCUMENTS DE MU

Tablettes naacales - Codex troano - Tablettes du Mexique - Papyrus







Les tenants de l'existence du continent Pacifique entreprirent une approche toute différente du problème et préférèrent fonder leurs théories sur l'interprétation de certains documents et de certaines traditions, négligeant un peu, il faut le reconnaître, les réalités géologiques. Celui que l'on considère a juste titre comme le pionnier de toutes les recherches relatives à Mu, puisque c'est ce nom qui aurait désigné la terre australe originelle, est le colonel James Churchward, auteur de cinq ouvrages consacrés a cette question : The lost continent of Mu (1926), The children of Mu (1931), The sacred symbols of Mu (1933), The Cosmic Forces of Mu (1934) et The Second Book of the Cosmic Forces of Mu (1935). En 1874 il rencontra un grand prêtre indigène qui lui fit découvrir, à travers certaines tablettes anciennes, l'existence passée du continent de Mu. I1 participa ensuite à une expédition au Tibet et, un peu plus tard, a une autre entreprise de cet ordre en Mongolie et en Sibérie.

Après avoir passé trente ans dans l'armée des Indes, il continua à parcourir le continent asiatique et voyagea également en Amérique centrale et dans le Pacifique, avant de se retirer aux États-Unis, où il mourut a l'âge de quatre-vingt-six ans. Selon Churchward, c'est à l'occasion d'une famine qui ravagea 1'Inde, en 1874, qu'il fit la connaissance de celui qui allait l'amener à s'intéresser à Mu. Il nous rapporte qu' “ il s'intéressait beaucoup a l'archéologie et aux anciens écrits et qu'il était plus savant en ce domaine qu'aucun autre homme vivant. Quand il vit un jour que j'essayais de déchiffrer un curieux bas-relief, il s'intéressa à moi, et ce fut une des plus sincères amitiés que j'eus le bonheur de connaître. I1 me montra comment résoudre le mystère de ce bas-relief et proposa de me donner des leçons qui me permettraient de m'attaquer à un travail plus ardu ”.







Les tablettes naacales
Le grand prêtre en question allait apprendre au jeune officier, dont l'intérêt pour l'archéologie avait attiré son attention, la langue “ originelle ” de l'humanité, comprise seulement par lui-même et deux autres grands initiés, derniers représentants d'une secte, les Naacals, dont l'origine aurait été contemporaine de l'engloutissement de Mu.








Après deux années de travail qui lui permirent de déchiffrer un certain nombre d'inscriptions mystérieuses retrouvées sur les parois de certains temples, le jeune Churchward eut l'extrême privilège d'être amené à contempler des tablettes sacrées qui, selon son maître, avaient été apportées de Birmanie, où elles auraient été écrites par les Naacals, héritiers des anciennes connaissances muennes.

Ces documents exceptionnels racontaient la création de la Terre et de l'Homme et évoquaient le continent originel où était apparu ce dernier : ce vaste monde, situé en plein cœur de l'océan Pacifique, avait été englouti douze mille ans plus tôt, a la suite d'un gigantesque cataclysme marqué par des séismes, des raz de marée et des éruptions volcaniques.

Cette révélation devait désormais orienter de manière définitive la vie et les recherches de Churchward, qui s'efforça de retrouver sur toute la surface du globe les documents ou les vestiges permettant de confirmer ce que rapportaient les tablettes qui lui avaient été ainsi présentées. Churchward avait-il vraiment renoué avec une civilisation oubliée? Après lui, d'autres chercheurs allaient tenter d'étayer ses hypothèses sur l'existence de Mu.

Ci-contre : L' alphabet de Mu, comparé aux alphabets utilisés par les Mayas et par les Egyptiens.Certaines ressemblances sont troublantes. Si les fameuses tablettes retrouvées par le colonel Churchward sont authentiques.








Codex Troano
Avant les révélations sur Mu faites au colonel Churchward par le grand prêtre naacal, un autre chercheur, l'abbé Charles Étienne Brasseur de Bourbourg, éminent spécialiste de l'Amérique centrale, avait eu connaissance de l'existence de Mu et avait même été le premier qui en ait repéré le nom. cet auteur s'est attaqué a la traduction d'un document maya appelé le Codex Troano, dans lequel se trouvait également évoqué le cataclysme qui avait englouti le continent de Mu, dont le nom apparaissait pour la première fois sans que l'on puisse affirmer si c'était bien celui que lui donnaient ses habitants.







Les 2500 tablettes en pierre du Mexique
L'américaniste Le Plongeon traduisit de nouveau ce texte et confirma les données apportées par Brasseur en précisant que 64 millions d'habitants avaient péri lors de la grande catastrophe.











De nouvelles découvertes permirent de compléter bientôt ces premières données, ainsi que nous l'explique Churchward : “ Toutes mes affirmations sont fondées sur la traduction de deux séries de tablettes anciennes. Il y a les tablettes naacales, découvertes par moi il y a de nombreuses années aux Indes, et une importante collection de tablettes en pierre, plus de deux mille cinq cents, découvertes récemment au Mexique par William Niven. Ces deux séries de tablettes ont la même origine. Car chaque série est composée d'extraits des écritures inspirées et sacrées de Mu.”.

Churchward rencontra en effet Niven, qui avait découvert en 1924 cet ensemble impressionnant de tablettes, dont l'écriture rappelait celle des documents naacals consultés aux Indes. Il put traduire ces textes, très différents de tout ce qui avait été trouvé jusque là en Amérique centrale, et obtint ainsi de nouveaux renseignements relatifs à l'histoire et a la disparition de Mu.

Ci-contre: Symbole commun aux tablettes découvertes par Churchward et à certaines tablettes des civilisations précolombiennes.







Les affirmations de Churchward ont fait l'objet de très vives réserves, principalement dues au fait qu'il demeure très évasif quant à l'origine de ses sources. Nul ne sait de quel temple il a tiré les fameuses tablettes naacales et il reste très imprécis quand il évoque son voyage au Tibet occidental, au cours duquel des lamas lui auraient présenté une carte de l'ancien continent de Mu, dont il évalue l'âge à vingt mille ans.







Des rouleaux de papyrus remontant a près de vingt mille ans
Ces critiques ne doivent pas remettre automatiquement en question l'ensemble de son travail; la découverte, en 1959, de rouleaux de papyrus remontant a près de vingt mille ans sur le site fouillé jadis par Niven vint confirmer, vingt-trois ans après la mort du pionnier, les intuitions qu'il avait eues à propos de Mu, baptisé Muror sur ces nouveaux documents; la traduction de ces rouleaux ne fut terminée qu'en 1964. Due au professeur R. Hurdlop, cette découverte exceptionnelle peut être comparée, pour son importance, à celle des manuscrits de la mer Morte, dans la mesure où elle va permettre de jeter un regard complètement nouveau sur les origines de l'ancien Mexique et sur ses rapports avec les “ Terres de l'Ouest ”, dont il est très clairement question dans ces nouveaux documents. L'étude des diverses sources auxquelles il avait pu avoir accès avait amené Churchward à un certain nombre de conclusions très précises quant a ce qu'avait été Mu.







DESCRIPTION DE MU






Ce continent s'étendait sur 5 000 km du nord au sud, depuis les Hawaii, qui marquent encore aujourd'hui son extrémité septentrionale, jusqu'à une ligne joignant l'île de Pâques aux îles Fidji. D'est en ouest, il s'étendait sur 8 000 km : il était formé de trois terres séparées par d'étroits chenaux, selon la carte étudiée au Tibet. tout au moins. Ce vaste ensemble se présentait comme une immense plaine vallonnée au climat tropical et a la végétation luxuriante. Ce paradis originel était fertile et propice à toutes les cultures. Des villes importantes regroupaient une population nombreuse, évaluée à plus de 60 millions d'habitants au moment de la catastrophe. Mu était véritablement le centre de toute civilisation et les autres foyers de culture n'étaient que ses colonies. Ce vaste ensemble se présentait comme une immense plaine vallonnée au climat tropical et a la végétation luxuriante. Ce paradis originel était fertile et propice à toutes les cultures. Des villes importantes regroupaient une population nombreuse, évaluée à plus de 60 millions d'habitants au moment de la catastrophe. Mu était véritablement le centre de toute civilisation et les autres foyers de culture n'étaient que ses colonies.

Les habitants étaient divisés en dix tribus et se consacraient à l'agriculture, à la navigation et au commerce. Tous adoraient le Soleil et croyaient a l'immortalité de l'âme. Le peuple dominant était de race blanche, avec des yeux sombres et des cheveux noirs. L'hégémonie qu'il exerçait sur les autres peuples noirs ou jaunes était des plus bienveillantes, sauvagerie et violence étant bien sûr absentes de cet éden enchanteur. C'est ce magnifique ensemble, porteur de la civilisation la plus ancienne qu'ait connue notre planète, qui fut rayé de la carte du monde par une série d'éruptions volcaniques et de raz de marée gigantesques, lesquels firent de ce vaste continent la poussière d'archipels que l'on rencontre aujourd'hui au cœur de l'immensité du Pacifique.

Routes, cités et temples furent engloutis dans les profondeurs, et les rares rescapés, incapables de survivre dans un état de sauvagerie à peu prés total, réduits au cannibalisme, disparurent rapidement, sans pouvoir s'adapter a de nouvelles conditions de vie, par trop différentes de celles que leur avait garanties pendant des millénaires une civilisation supérieure.

Le souvenir du continent disparu se perdit ainsi progressivement, et seules quelques populations qui avaient été en contact avec lui purent transmettre, par l'intermédiaire de sectes d'initiés telles que celle des Naacals, les traditions et le langage de la civilisation muenne. De nombreux textes, surtout dans l'aire de la civilisation mexicaine précolombienne, semblent confirmer ce scénario effrayant, et Churchward ainsi que Louis-Claude Vincent, son continuateur actuel, les ont soigneusement recensés, mais il est toujours possible de donner une interprétation purement symbolique de telle ou telle description d'une catastrophe. Il va de soi que la découverte de vestiges archéologiques présente plus de crédibilité et peut conforter solidement les assertions des tenants de l'existence passée de Mu.







SITES ARCHEOLOGIQUES






De nombreuses ruines viennent confirmer, à travers les îles du Pacifique, la floraison passée d'une haute civilisation. L'île de Pâques et ses statues constituent sans conteste les vestiges les plus connus et les plus spectaculaires : elles sont au nombre de cinq cent cinquante, constructions cyclopéennes dont l'origine demeure aujourd'hui inexpliquée malgré les tentatives faites en ce sens par les savants officiels depuis plusieurs décennies. Ces constructions colossales ne sont pas les seules qui aient été reconnues sur ce modeste îlot de 118 km2 : un grand temple et des terrasses de pierre imposantes traduisent l'importance d'une activité que l'on ne peut sérieusement attribuer aux Pascuans, découverts par Roggeveen au XVIIIè siècle. Plusieurs tablettes qui ont été déchiffrées révèlent que “ quand cette île a été créée et a été connue de nos ancêtres, la terre était traversée de belles routes pavées de pierres plates. Ces pierres étaient si parfaitement jointes et posées qu'on ne voyait pas les bords... ” et, par ailleurs, que “ cette petite île faisait partie jadis d'un vaste continent traversé par des routes merveilleusement pavées de belles pierres plates ”.

Dans l'archipel Cook, on trouve sur les îles Rarotonga et Mangaia des vestiges de routes, sur des terres où ne se trouve aucune carrière de pierre, ce qui implique que les matériaux utilisés sont venus d'ailleurs. Un autre vestige étonnant est le portique de pierre de Tongatabu, simple atoll corallien, où la pierre est naturellement absente et où nous trouvons un monument formé de trois monolithes imposants, pesant respectivement 70 t pour les deux premiers et 25 t pour celui qui est posé dessus. Ces pierres ne peuvent venir que d'un point se trouvant à plus de 200 milles, et ce que nous savons des navigations polynésiennes exclut que l'on puisse imaginer un transport de ce type sur de pareilles distances...

Les îles Carolines sont particulièrement riches sur le plan archéologique et il est troublant que les tablettes naacales aient justement situé dans leurs parages les premières approches du territoire muen. Le temple de Panape constitue I'ensemble le plus remarquable par ses dimensions et par l'importance des infrastructures telles que routes ou canaux, dont les vestiges sont visibles autour. Par leurs dimensions, les ruines de Panape apparaissent comme celles de l'une des sept capitales auxquelles font allusion les textes relatifs à Mu.

Les ruines de Kusai sont de dimensions comparables, et les traditions indigènes évoquent très clairement le passé du “ peuple très puissant ” qui vivait là jadis.

Les ruines cyclopéennes de l'île de Lélé ne sont pas moins impressionnantes. De nombreuses pyramides de pierre, dont l'usage demeure un mystère, ont été découvertes dans les îles Gilbert et Marshall. De hautes colonnes sont les monuments les plus fréquemment répandus dans Ies Mariannes, à Guam et Tinian notamment.

D'autres ruines sont visibles dans l'archipel des Hawaii et dans celui des Marquises, alors que diverses traditions orales montrent que le souvenir du continent perdu persistait également chez les Maoris de Nouvelle- Zélande; de la même manière, Churchward pense que certaines peintures rupestres d'australie, qui traduisent un degré d'évolution culturelle déjà élevé, ne peuvent être attribuées aux aborigènes très primitifs qui peuplaient la grande île lors de l'arrivée des Européens. Tous ces éléments ont amené Churchward, mais aussi de nombreux ethnologues qui sont loin de le suivre dans toutes ses conclusions, a penser qu'il avait existé une civilisation océanienne unique dont tous ces vestiges témoignent encore aujourd'hui.

Si l'on admet l'existence de 'ancien continent qui occupait le centre de l'océan Pacifique, il convient d'apporter une réponse à la question que pose sa brutale disparition. L'un des spécialistes de l'Atlantide, le colonel A. Braghine, a formulé l'hypothèse selon laquelle un corps céleste vint frapper la Terre dans le Pacifique il y a environ douze mille ans, ce qui aurait entraîné des bouleversements géologiques considérables et déplacé l'axe de notre planète. On sait l'importance des chutes de météorites survenues a l'époque historique : le cratère de Coon Butte, en Arizona, à 1200 m de diamètre, la météorite qui s'est abattue en 1908 dans la taïga de la Toungouska a tout calciné dans un rayon de 20 km autour de son point d'impact et, dans la mesure où de nombreuses sources antiques, notamment égyptiennes et précolombiennes, évoquent un cataclysme de ce type, on peut imaginer qu'il a pu se produire et entraîner la disparition de Mu, la patrie originelle de l'Humanité.

La ceinture de feu qui entoure le Pacifique ne serait que la gigantesque cicatrice marquant les limites d'une formidable collision remontant à douze mille ans. Le débat demeure ouvert quant à la réalité historique de Mu : si celle-ci est admise, on imagine le nombre de questions auxquelles il faudra alors répondre ! Les éléments disponibles sont moins nombreux que ceux qui militent en faveur de la réalité de l'Atlantide. Mais il reste sans doute beaucoup a découvrir dans les archipels des mers du Sud...

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Samedi 3 décembre 2005 à 15:26

Une femme de 96 ans met en déroute son agresseur en le mordant



CHIPPEWA FALLS, Wisconsin (AP) -- Malgré son grand âge, elle aura gardé tout son mordant. Une Américaine de 96 ans affirme avoir fait fuir un agresseur qui tentait de l'étrangler en le mordant très fort. L'homme, un voisin, est poursuivi pour tentative de meurtre.
Clara Hurt a été entendue comme témoin devant le tribunal de Chippewa Falls dans le Wisconsin, vendredi, pour raconter sa mésaventure avec John McCabe, un ancien enseignant de 42 ans qui habite le même immeuble qu'elle.
Elle a expliqué qu'elle se trouvait dans la salle commune dimanche dernier où elle lisait son bulletin paroissial lorsque le suspect est entré. Ils ont d'abord échangé des paroles sans importance, avant que la conversation ne prenne un tour étrange.
"Il m'a demandé si je connaissais Jésus Christ. J'ai dit oui", a raconté Mme Hurt. "Il m'a ensuite demandé si je connaissais Dieu. J'ai dit oui. Il m'a ensuite dit 'aimeriez-vous mourir tout de suite?"'. L'homme a alors expliqué que dans ce cas il la tuerait volontiers. "Oh, non. Je ne veux pas encore mourir", a répondu Mme Hurt. "Ne me tuez pas".
Elle a alors jugé préférable de se lever et de sortir mais l'illuminé l'a entouré de ses bras et a tenté de l'étrangler. "J'ai repoussé un de ses bras et saisi l'autre. Je l'ai mordu le plus fort que j'ai pu. Quand je l'ai mordu, il a tout laissé tomber et est parti".
Mme Hurt a couru en hurlant jusqu'à l'appartement d'une connaissance. La police a arrêté l'étrangleur présumé une heure plus tard. Il venait d'emboutir tout seul sa voiture. Il encourt une peine de 66 ans de réclusion. Il plaide non coupable.



 


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Vendredi 2 décembre 2005 à 14:28

Boules de feu dans le ciel allemand: des OVNI?

De nombreux cas d’observations de boules de feu gigantesques dans le ciel d’Allemagne la semaine dernière ont donné naissance à des rumeurs d’OVNI. Les scientifiques répliquent qu’il pourrait s’agir d’une pluie de météores.

Selon le site web de la NASA, de telles boules de feu ont été aperçues ailleurs dans le monde et pourraient aussi signifier que la Terre orbite actuellement à travers une nuée de débris de l’espace.

«Plusieurs personnes ont pu observer ces boules de feu en Allemagne», a déclaré Werner Walter, un astronome amateur de Mannheim qui tient un site web sur les phénomènes astronomiques inexpliqués et gère une ligne téléphonique dédiée aux rapports d’observations d’OVNI.

«La dernière observation du genre est survenue jeudi à 19:30 (1830 GMT) dans un corridor près de la frontière de la Hollande», a-t-il expliqué à Reuters dans une entrevue téléphonique.

«Nous avons reçu cette semaine au moins une quinzaine de courriels et téléphones de personnes ayant aperçu ces boules de feu.»

En plus d’une pluie de météores, Walter a évoqué la possibilité que ce blitz d’objets lumineux puisse être le résultat de l’entrée dans l'atmosphère d’un satellite et sa désintégration subséquente.

«Il pourrait aussi s’agir d’OVNI, qui sont après tout, des choses que nous ne pouvons expliquer.»

Le site web scientifique de la NASA (http://science.nasa.gov) mentionne des rapports d’observations de boules de feu au-dessus des États-Unis, du Canada, de l’Irlande du Nord et du Japon. On peut même trouver sur le site des images de ces boules de feu.

Walter décrit le phénomène ainsi: «Se sont d’énormes boules de feu de couleur qui traversent le ciel à la vitesse de l’éclair.»

Le site web de la NASA cite cependant un expert en météorites, David Asher, de l’observatoire d’Armagh en Irlande du Nord, selon qui «les gens voient probablement la pluie de météores des Taurides.»

Les Taurides sont des météorites qui traversent le ciel à partir de la constellation du Taureau, phénomène qui connaît son apogée à la fin d’octobre et au début de novembre.


http://www2.canoe.com

Vendredi 2 décembre 2005 à 14:10

Visiteurs extra-terrestre: les scientifiques voient une grande probabilité


Il y a des décennies, c'est le physicien Enrico Fermi qui considérant la question de civilisations extra-terrestre avec des amis théoriciens, lors d’un dîner, a lâché le fameux quolibet: « Où sont-ils? » cette question est plus tard devenue centrale pour débattre du compte de recensement cosmologique de gens d’autres planètes et de possibles visiteurs extraterrestres (ET)venus de loin


Plus tard, on a appelé la rumination de Fermi sur le sujet « le paradoxe de Fermi »c'est une histoire qui circulait dans les années 1950 lorsque le scientifique a entamé le sujet dans les discussions avec des collègues à Los Alamos, Nouveau Mexique. Les réflexions concernant la probabilité de planètes semblables la terre, l’ascension de civilisations hautement avancées « en dehors d'ici », et les voyages interstellaires—Il demeure difficile de répondre au paradoxe de Fermi aujourd'hui encore.





Aujourd'hui un groupe de scientifiques américains a noté que les récentes découvertes astrophysiques suggèrent que nous pourrions nous trouver nous-même au milieu d'une ou plusieurs civilisations extra-terrestres. De plus ils argumentent que cela est une erreur de rejeter tous les rapports sur les ovnis puisque des preuves de visiteurs extra-terrestres théoriquement prédites pourraient juste être trouvées ici.


Les chercheurs font leur suggestion dans le sujet du Journal of the British Interplanetary Society (JBIS).de janvier/ février 2005.


Prenez n'importe quel bon magazine de science et vous êtes sûr de voir la dernière idée casse tête à propos de la théorie des super cordes ......, de trous de ver, ou de l'extension de l'espace-temps lui-même. En attendant, la détection planétaire extra solaire est à deux doigts de devenir ordinaire.


« Nous sommes dans une situation curieuse aujourd’hui, là ou nos meilleurs théories physiques et astrophysiques prédisent que nous devrions faire l'expérience d’une visite extra terrestre, toute preuve possible d’une telle menace dans le phénomène des OVNIS est l’objet de risée à l'intérieur de notre communauté scientifique. » conteste l'astrophysicien Bernard Haisch.


Haisch,avec les physiciens James Deardorff, Bruce Maccabee et Harold Puthoff, donnent leurs arguments dans l'article JBIS " Théorie-Inflation-Implications pour la visite Extraterrestre."


Les scientifiques désignent deux découvertes clés faites par les astronomes australiens et rapportées l'année dernière qu’il y aurait « une zone galactique habitable » dans notre voie lactée-- et d'une manière plus importante que la propre étoile de la terre, le soleil, est relativement jeune comparée à l’étoile moyenne dans cette zone-- d'autant qu'un milliard d'année.


Par conséquent, les chercheurs expliquent dans leur article JBIS que la civilisation extra terrestre moyenne devrait être beaucoup plus avancée et devrait avoir découvert la terre depuis longtemps. De plus, d'autres travaux de recherche sur la supposition à l'origine du Big Bang—connue comme la Théorie de l'inflation-- étaye la perspective, qu'ils ont proposée, que notre monde est immergé dans une civilisation extra-terrestre beaucoup plus grande.


Distances point pour point


Etant donné la physique avancée de milliards d'année, un bourdonnement autour de la galaxie n’est-il pas possible ?


Encore aujourd'hui la théorie des super cordes fait l’hypothèse d'autres dimensions, qui peuvent être des univers habitables adjacents au nôtre, spéculent les chercheurs. Il pourrait aussi être possible d’approcher la vitesse de la lumière en se déplaçant en dedans et en dehors de ces dimensions


« Ce que nous avons fait est en quelque sorte une percée, » a dit Haisch à SPACE.com. » Nous avons fait la synthèse de diverses découvertes récentes et des questions théoriques qui indiquent collectivement la forte probabilité que nous devrions êtres au milieu de l'une des plus immense civilisations extra-terrestre, » a-t-il dit.


Haisch a dit que les possibilités de dimensions des super cordes et de trou de ver et d’extension d'espace temps abordent l'objection « on ne peut pas arriver ici de là » souvent mise en avant en vue des distances interstellaires, point pour point impliquées. Aussi, des modèles de diffusion prédisent que même une seule civilisation pourrait s’étendre à travers la Galaxie dans une toute petite fraction de l’age de la Galaxie – même à des vitesses en deçà de la lumière, a-t-il dit.


La signature des extra-terrestres dans les données


Est-ce que la communauté scientifique peut elle-même en arriver à considérer toute preuve venant de mystérieux aperçus de choses étranges par le public?


Dans une large mesure, la communauté scientifique a apparemment considéré la visite d'extra-terrestre comme une baliverne loin d’être sérieuse pour qu’on y réfléchisse. Pourquoi?


« La révocation a plusieurs causes, chacune renforçant l'autre », a répondu Haisch. « la plupart des observations sont probablement de fausses interprétations, des illusions et des canular. J'ai vu des personnes devenir confuses devant Vénus ou encore Sirius lorsqu'elles étincellent de couleurs bas dans le ciel dans les bonnes conditions. Ayant été rebutés par cela, beaucoup de scientifiques ne se sont jamais souciés de chercher plus loin et sont joyeusement ignorants qu’il peut y avoir là quelque chose » a-t-il dit.


Deardorff, l'auteur principal de l'article du JBIS, fait remarquer dans une déclaration de presse: « cela demanderait un peu d’humilité à la communauté scientifique pour suspendre son jugement et prendre au moins certains des témoignages de haute qualité et investiguer … mais j’espère que nous pouvons nous-même arriver à faire cela. »


Selon Haisch, il y a une motivation pas seulement pour la tolérance scientifique sur la question des extra-terrestres, mais une forte prédiction scientifique qu'il doit y avoir quelque signature véritable d'extra- terrestre dans la donnée.


« Cela change potentiellement la relation du phénomène des OVNI à la science de façon significative. Cela enlève le préjudice « pas inventé ici » indiquant qu'un « oui » à la visite ET est exactement la tendance sur laquelle nos théories physique et astrophysiques devraient s’entendre comme la situation la plus probable » a conclu Haisch.


Source: http://www.space.com/searchforlife/et_betterodds_050114.html