slipkornt

Where Is The Truth?

Samedi 24 juin 2006 à 19:12

En 1885, Bérenger Saunière, jeune prêtre récemment ordonné, est nommé dans le petit village de Rennes-Le-Château dans l'Aude. Dix ans plus tard, il érige une tour néogothique, une superbe villa, il restaure à ses frais l'église Sainte-Marie-Madeleine alors en état de délabrement. Il dépense sans compter. Trésor légendaire, franc-maçonnerie, sociétés mystiques, voir géniale supercherie, à peu près toutes les explications possibles ont été avancées.



Selon la légende, le prêtre découvrit quelques parchemins dans la cavité d'un pilier de son église. Peu de temps après, l'abbé mit à jour une tombe au même endroit, remplie de pièces d'or si l'on veut bien croire la "rumeur". Pris par la folie des grandeurs, le prélat commença à réaliser des constructions d'envergure. Au point d'éveiller les soupçons de l'administration diocésaine qui après un procès retentissant priva l'Abbé Saunière de ses fonctions ecclésiastiques en 1909.


Mais un article paru dans la presse locale au milieu des années soixante allait redonner vie au mystère du prélat. Un savant mélange d'ésotérisme, de témoignages invérifiables et de mystérite aigüe se révéla suffisant pour créer un authentique engouement autour de l'affaire Saunière, également appelée le Mystère de Rennes-le-Château. La chasse au trésor dure toujours aujourd'hui: ils sont tous les ans des milliers à se rendre sur place, avec le rêve qu'il subsiste encore une partie du prétendu trésor !


Quelques esprits malins, à défaut d'apporter des explications rationnelles, ont déniché là un excellent moyen de se remplir les poches en publiant une kyrielle d'ouvrages soi-disant essentiels pour localiser le magot. A l'exception du livre de Jean-Jacques Bedu, intitulé "Rennes le Chateau, autopsie d'un mystère". Où l'on découvre avec stupeur que le prélat riche comme Crésus avait été condamné par la justice pour détournement de fonds du denier du culte. Le genre de détail capital qu'oublient bien volontiers les naïfs et les escrocs, qui vont souvent bien ensemble !


Source


Samedi 17 juin 2006 à 21:04

   Il existe de par le Monde, un nombre étonnant de faits anciens, qui dans l'état actuel des connaissances, ne s'expliquent pas, comme par exemple, les murs cyclopéens de Bimini, découverts en 1969 dans les Bahamas, les fabuleuses cartes du monde de Piri Reis de 1513 et 1528, découvertes lors d'un inventaire le 9 novembre 1929 au musée de Topkapi à Istambul en Turquie, les surprenants tracés de la plaine de Nazca dans les Andes péruviennes, dont certains font près de 15 km de long. Mais les boules parfaites de granit d'une moyenne de 12 tonnes, découvertes dans les forêts du Costa Rica, représentent aussi jusqu'à, nouvel ordre, une fantastique énigme dont la science officielle aura bien du mal à trouver la solution.


De par le monde, on découvre souvent disséminés au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières des objets de formes géométriques parfaites comme des oeufs, des cercles ou des sphères. On en a, par exemple, découvert des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio et le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre " Les fils du soleil " a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, un gigantesque œuf de pierre de 100 m de long et 30 m de haut , couvert de symboles solaires et qui n'est pas, a dit cet archéologue, un "caprice de la nature", mais qui a nécessité un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes. Mais la véritable sensation archéologique, qui nous interpelle maintenant, nous dit le célèbre l'explorateur suisse Erich von DÄNIKEN dans son remarquable ouvrage "Retour aux étoiles" publié chez R. Laffont en 1971 ou plus récemment chez J'ai Lu (numéro A 322) , attend toujours d'être déchiffrée, dans le petit État du Costa Rica, en Amérique Centrale.


    En effet au milieu de la jungle, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées çà et là, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée parait-il (nous aimerions bien en voir une photo) pèse environ 30 tonnes (Voir à ce sujet la page 303 du livre de Gérard DEMARCQ :Les PARATERRESTRES Editions RAMUEL Juin 1997.)


    Voici donc des modèles de boules parfaitement sphériques déposées sur une place publique:






    Vous pouvez aussi en découvrir au Musée:





    Et elles sont surtout nombreuses en pleine forêt:





    Vous avez aussi bien sûr, celle de 12 tonnes, que montre notre page répertoire, et qui est analysée par le Dr Stirling et sa femme:





    Ces boules admirables sont-elles un caprice de la Nature ? Certaines d'entre elles sont-elles des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d'un volcan ? S'agit-ilde galets géants qui oraient roulé dans le lit d'une tivière durant des siècles et à qui la puissance de l'eau aurait donné cette forme sphérique parfaite ?


    Erich Von DÄniken nous avoue en avoir découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en groupes au sommet de diverses collines. Certaines boules étaient toujours placées au centre de l'axe de la colline. Il en a aussi trouvé des troupeaux groupés selon un ordre étrange, dans la vase d'un fleuve, et dans la plaine de Diquis, où règne une chaleur torride, il découvrit 45 de ces boules qui cuisent au soleil.
  


    Erich Von DÄniken nous précise surtout qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 km en Landrover, dans une jungle hostile, où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa, à un certain moment, d'aller plus loin. Et pendant encore une heure de marche, aidé d'un guide expérimenté qui courrait devant lui pour écarter les araignées géantes aux morsures mortelles, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement parce que ces boules de Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d'aller les filmer". En effet, il faudra bien se poser alors la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels et remontent à n'en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle.

      Trois possibilités s'offrent alors à nous :

  - Soit que ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste à définir), il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine ( puisse qu'il n'en existe aucune à moins de 100 km dans la région ), dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 m de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes, (une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait ), puis on doit alors penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les embûches de la forêt, et abandonnées là,  de plus pour une raison incompréhensible.

 - Soit que, et cela dépasse de loin les thèses officielles, que ces boules été placées là, avant l'arrivée de cette forêt ce qui nous place, dans des temps plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère.
- Soit encore plus fort, ce sont les dieux dont parlent tant de mythologies qui avec leur technologie supérieure ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l'existence réelle même de ces dieux est sujette à caution, dans notre enseignement universitaire.


   L'un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean Sendy auteur de l'ouvrage surprenant:"La Lune clé de La Bible" paru chez l'Éditeur Julliard en 1968 et en collection de poche J'ai lu 208 en 1974 et on peut dire ainsi qu'il a initialisé une nouvelle discipline (non encore officielle) que l'on appelle l'Astroarchéologie.   


     Il est vrai en effet, que l'on a aujourd'hui, aucune explication de la part des archéologues sur les habiles sculpteurs et sur les techniques qu'ils ont utilisées pour réaliser ces superbes boules du Costa Rica dont ont a constaté, que les irrégularités qu'elles présentaient était souvent infimes. La perfection de ces objets montre effectivement que les artisans qui les ont fabriqué, connaissaient bien la géométrie spatiale et avaient à leur disposition des instruments techniquement bien conçus. En effet, à notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 m de diamètre qui représente environ une aire de 5 m2 et un volume de 8 m3, dans une roche aussi dure que le granit, qu'en utilisant des machine-outils programmables très perfectionnées.
  


    Il nous reste donc qu' à découvrir vraiment comment ces extraordinaires artisans sont arrivés à réaliser ces objets avec une telle maîtrise et de plus comment certaines boules ont été transportées jusqu'au sommet d'une montagne ou encore, on l'a déjà évoqué en pleine forêt vierge et dans quel but. Une légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil. Mais les archéologues rejettent cette interprétation, car d'après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue, ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas, que chez les Mayas ou les Aztèques. D'ailleurs les indigènes eux mêmes répugnent à conduire les visiteurs sur les lieux où se situent ces boules parfaites car ils les considèrent comme des objets sacrés et dont les emplacements sont des sanctuaires tabous.

  


    Quelques rares boules ont été sculptées, mais l'interprétation des symboles gravés ne fait pas l'unanimité, on s'en doute :


  

Cette pierre brisée en deux morceaux possède un hémisphère sur lequel les chercheurs pensent
reconnaître la réprésentation d'une constellation.


 En 1940, l'United fruit Company défricha les marais et les bois au pied de la Cordillera Brunquera, dans le territoire du Rio Diquis et à cette occasion l'archéologue Doris Z. Stone découvrit de nombreuses boules parfaitement sphériques artificielles. Elle rédigea un rapport détaillé se terminant par cette constatation tout à fait résignée:

  "Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables."


    Voilà donc encore, un élément insolite qui ne peut que nous inviter une fois de plus, à nous interroger sur l'extraordinaire passé des civilisations disparues, dont les seules vestiges en pierre, découverts de nos jours, représentent déjà pour nous, un inconcevable mystère.


Source, + d'infos

Samedi 10 juin 2006 à 21:24


Le 20 juillet 1969, en étant les premiers hommes à marcher sur la Lune, Neil Armstrong et Buzz Aldrin participaient à l'événement le plus important de l'histoire du XXe siècle. Outre le fait que beaucoup  y ont vu un moment déterminant de la conquête de l'espace et l'apothéose de la révolution scientifique, la science l'emportait enfin sur les superstitions en prouvant que la Lune, ce corps céleste synonyme de mystère et de magie depuis des millénaires, n'était somme toute qu'un énorme caillou dépourvu de vie.


LES MYTHES ANCIENS


C'est dans la culture occidentale, où on associe depuis longtemps la Lune à certains comportements irrationnels, et surtout à la folie, que ces idées sont les plus fortes. Sans prétendre que le "coup de lune" serait une affection infiniment plus sournoise que le classique coup de soleil, l'astre nocturne est néanmoins suspecté d'affecter l'humeur au sens premier du terme. En témoignent, dans la terminologie, le mot anglais lunatic (fou) et son faux-ami français "lunatique" (d'humeur changeante), tous deux issus du latin. Cet aspect instable est renforcé par sa perpétuelle transformation au fil de son cycle mensuel.


Terrain de jeux du rêveur et chasse gardée du romantique, l'astre de Tanit si cher au poète est pourtant privé de lumière propre et n'existe, à nos yeux, que comme le reflet du Soleil. C'est probablement la raison pour laquelle la première expédition sur la Lune fut nommée Apollo, en référence au dieu grec du soleil Apollon. Peut-être aussi fut-ce pour conjurer l'opposition récurrente du rationalisme et de la logique solaire d'une part, à la folie et à l'intuition associées à la Lune d'autres part...


Il est en effet fréquent de mettre en lice ces deux corps célestes en un combat symbolique censés représenter les côtés rationnels et irrationnels de la nature humaine. Étymologiquement, les anciens dissociaient le Soleil et la Lune, attribuant au premier, des caractéristiques masculines et à la seconde, des caractéristiques féminines. Dans le mode de pensées occidentale, l'homme étant toujours dépeint comme rationnel, et la femme comme plus intuitive ou irrationnelle, beaucoup ont vu dans ce lien un prélude à l'association qui est faite aujourd'hui entre la Lune et l'irrationalité.


LA PORTE DE L'ENFER


Outre Lilith, la première femme d'Adam, représentée comme une Lune noire, symbole des territoires de l'occulte et du vide, la Lune est féminisée dans toutes les représentation.


Ainsi, dans la tradition grecque, plusieurs déesses avaient un aspect lunaire. Hécate, sans doute la divinité la plus sinistre du panthéon grec, symbole du côté sombre de la Lune, était associée au sang, à la sorcellerie et aux enfers. Une autre déesse grecque associée à la Lune, moins angoissante mais non moins meurtrière, était Artémis. Baptisée Diane chez les romains, cette déesse de la chasse et des animaux sauvages s'intéressait surtout au bien être des jeunes filles. Hécate et Artémis sont encore vénérées aujourd'hui en Occident comme des aspects de la "Grande déesse", surtout par ceux qui se font appeler les Wiccas. Ils affirment être les héritiers d'une ancienne religion primitive que les Chrétiens considéraient comme de la sorcellerie. Dans le calendrier et la cosmologie Wiccas, la Lune occupe toujours une place prépondérante.


Certains penseurs Wiccas insistent sur le lien qu'il existe entre le cycle lunaire (la pleine Lune apparaît tous les 29,53 jours) et le cycle menstruel (environ 28 jours) pour justifier de la prédominance des déesses dans le culte de cette croyance païenne moderne, que certains qualifie de délibérément féministe.


De tendance New Age, le mouvement Wicca insiste sur les aspects positifs de la déesse Artémis, tout en glissant sur ces caractéristiques plus sinistres : toute féminine qu'elle ait été, Artémis n'en fut pas moins une chasseresse sanguinaire sas pitié pour ses proies. De la même façon, Hécate, personnification de la sagesse féminine, réclamait des sacrifices sanglants. Aussi, malgré les louables efforts des Wiccas, le côté enchanteur et mystérieux de la Lune reste indissociable de sa face ténébreuse.


La nuit de pleine Lune qui suit l'équinoxe d'automne est encore considérée dans de nombreuses traditions nordiques comme la nuit du chasseur.


A cette époque de l'année, la Lune irradie et éclaire la Terre d'une lumière particulière. C'était, pour nos ancêtres, le signal d'une nouvelle période de chasse. Certains auteurs s'étant efforcés d'imaginer le style de vie des premiers hommes, ont établi des liens intrinsèques entre la fécondité, la soif de sang et les cycles lunaire. Pourtant, quelques zoologues invitent à la prudence de jugement en rappelant que les femelles chimpanzés, grands mammifères qui partagent 99% de leurs gènes avec l'espèce humaine, ont un cycle de 32 jours...


Mais l'association la plus connue entre soif de sang et cycle lunaires parvenue jusqu'à nous est la légende du loup garou. Notons que, si la conception de la transformation de l'homme en loup sanguinaire remonte à la nuit des temps, l'idée que la métamorphose soit provoquée par la pleine Lune est une invention récente.


Répondant à l'attente du public américain pour des films d'angoisse, les Studios Universal sortirent avec succès Dracula en 1931, puis The Mummy (La Momie). Bien inspirée, c'est au même cinéaste, Tod Browing, que la production confia la réalisation du film The Wolf Man (Le Loup garou) qui, en 1941, a mondialement popularisé la mutation de l'homme en loup durant la pleine Lune.


C'est également grâce (ou à cause) de ce film que le loup-garou s'est vu affublé de la capacité à transmettre sa maladie par morsure et qu'il fut associé à la symbolique magique du pentagramme.


LÉGENDE DE LA LUNE


On peut s'interroger sur le fait que l'association entre loup-garou et la Lune (symbole de chasse et du mystère) ne soit pas plus ancienne. Mais, au XVIIe siècle, lorsque l'on prétendait que les loups-garous envahissaient l'Europe, on préféra certainement croire qu'ils étaient les signataires de pactes avec Satan et le fruit d'obscures incantations de magie noire plutôt que les victimes involontaires de cycle lunaire.


Aujourd'hui, les loups-garous ont bien entendu rejoint le peuple des lutins dans les contes et légendes mais il faut croire que le mythe est tenace dans l'inconscient collectif puisque l'on croit encore que la pleine Lune modifie le comportement humain.


Cette conviction s'est révélée suffisamment forte pour pousser certains chercheurs à tenter de trouver une corrélation entre les cycles lunaires et les suicides, les meurtres ou les dépressions nerveuses. Certains intellectuels fantastiques ont même été jusqu'à nommer ce phénomène "l'effet Transylvanie".


DU PSYCHOLOGIQUE AU PHYSIQUE


Mais les résultats de ces études, certes passionnantes, ont été jusqu'à présent peu convaincants. En 1978, un article paru dans The Journal of Clinical Psychiatry (Le Journal de la Psychiatrie clinique) intitulé Agressivité chez l'homme et cycle lunaire synodique a provoqué une volée de réactions en affirmant que "Statistiquement, il y a une augmentation des cas d'homicides et d'agressions au moment de la pleine Lune... On soupçonne l'existence d'un rythme biologique de l'agressivité humaine en résonance avec le cycle lunaire".


Pour les scientifiques américains James Rotton, Roger Culver et Ivan Kelly, une simple "méta-analyse" de la littérature parue sur le sujet les a amené à démentire cette idée toute faite. En 1996, ils ont publié un article dans la revue canadienne Skeptical Inquirer, titré The Moon Was Full and Nothing Happened (La Lune était pleine et il ne s'est rien passé). Selon les auteurs : "Les phases de la Lune ne représenteraient pas plus de trois centièmes de 1 % de la variabilité des comportements qualifiés de "folie", un chiffre trop minime pour être d'une valeur ou d'une signification réelles."


Une réserve confirmée par le spécialiste français en chronobiologie (science de l'étude des rythmes biologiques touchant les processus vitaux d'un organisme vivant), Marc Schwob. Pour l'auteur de l'ouvrage Être au top à chaque heure (Éditions Hachette, 1998), aucune enquête n'a pu   clairement confirmer un effet de la Lune et les recherches les plus sérieuses rendent des résultats contradictoires. Il rapporte ainsi les résultats d'une étude américaine paris en 1967 : le suivi des maternités de New York entre 1948 et 1957 a démontré une recrudescence des naissances dans les jours précédents et suivants la pleine Lune. Uns seconde étude menée par le même auteur sur autant de nouveau-nées entre 1961 et 1963 montra une diminution des naissances durant la période de pleine Lune ! Bref, rien de bien concluant.


Concernant le nombre de crimes et le taux de suicides imputables à la pleine Lune, "il y a, selon Marc Schwob, une évidente contradiction entre les statistiques et ce qui est constaté chaque mois à cette période par les professionnels, notamment les policiers et les infirmières d'asiles psychiatriques".



Mais si les nuits de pleines Lune sont redoutées dans les urgences et chez les personnels en charge de psychotiques, comment peut-on expliquer un décalage entre l'observation empirique et les données statistiques officielles ?


Pour la plupart des médecins, les statistiques sont menées sur des périodes trop courtes et sur des éventails de populations insuffisants. Ils assurent qu'il est inconcevable qu'un astre si proche ayant une incidence directe sur les marées ne puisse pas avoir d'influence sur la physiologie de l'être humain.


Quoi qu'il en soit, depuis des temps immémoriaux, en admirant cette splendeur d'argent par une nuit sans nuages, le cartésien même le plus ardent devra reconnaître que la Lune semble nourrir de sombres mystères qui ne se dissiperont peut-être pas au grand jour.


Profitons d'elle car la Lune réclame son indépendance. Des mesures effectuées au laser sur la distance Terre-Lune révèlent que le satellite s'éloigne progressivement de notre planète à raison de 3,8cm par an (soit un éloignement de 10 % de sa distance actuelle au bout d'un milliard d'années). Se sentirait-elle mal-aimée de la Terre ? Certainement pas puisque des milliers d'yeux se sont tournés vers elle lorsque, le 11 août 1999, elle s'est placée dans l'alignement du Soleil pour l'éclipser. La lumière était lunaire et il faisait froid. Effrayante Lune, non ? lol!


Source


Samedi 3 juin 2006 à 13:57

Les électrons-éons, quasi immortels


Des physiciens comme J. Charon, fortement contesté par ses pairs mais aussi fortement soutenu par des personnalités ouvertes à une autre vision des choses, s'attachent à établir une certaine corrélation entre l'affirmation d'une vie après la mort et les plus récentes avancées de la physique.


Les électrons-éons, quasi immortels, constitueraient les éléments de notre propre survie après la mort, mais sous une forme très différente de celle de notre corps. J. Charon pense que ces électrons seraient le support de notre spiritualité capables d'acquérir des informations,et donc des consciences. Ces particules subatomiques, vecteurs de l'Esprit, seraient aussi vecteurs de l'évolution, des particules élémentaires aux atomes, puis aux molécules, aux cellules, aux tissus, aux organes, aux êtres, aux sociétés...
Les atomes qui constituent notre être ne meurent pas, ils passent d'une vie à une autre vie, d'un être à un autre être. Il en est de même de toutes les particules élémentaires.


De ce fait, quelque chose de nous est immortel.


Alors, que faut-il en penser?...


Source

Mercredi 24 mai 2006 à 13:37

Un fromage, un rêve ?

Selon une étude britannique peu banale, manger un morceau de fromage avant de se coucher aiderait à mieux dormir la nuit. Et curieusement, selon le type de fromage consommé, les rêves peuvent prendre des apparences idylliques ou réellement bizarres…


L'influence de l'assiette sur l'appel de la couette est établie depuis longtemps. De manière simpliste, un repas riche en glucides induit une élévation des taux de sérotonine au niveau du cerveau. Ce petit messager chimique est « antistress » et à la base de la somnolence qui suit le repas. Il constitue donc un signal de déclenchement pour le sommeil.

Plus concrètement, un repas riche en glucides facilite en fait, via la sécrétion d'insuline, le passage du niveau cérébral d'un petit acide aminé, le tryptophane. Celui-ci est le précurseur de la sérotonine et se retrouve en abondance dans le fromage




Le mythe de Charles Dickens


La relation entre fromage et sommeil a cependant longtemps reposé sur un mythe, stipulant que l'aliment provoquait des cauchemars chez les enfants. Ce mythe, qui aurait pour origine les paroles de Scrooge, dans un roman de Charles Dickens, vient d'être détruit par une étude du British Cheese Board.

Pendant une semaine, 200 volontaires ont mangé une portion de 20 g de fromage différent chaque soir, 30 minutes avant d'aller au lit. Le lendemain, chacun devait raconter avec le plus de détails possible sa nuit de sommeil.

Plus de 70 % des volontaires ont avoué avoir passé une très bonne nuit grâce au fromage et près de 60 % arrivaient même à se souvenir de leurs rêves. En revanche, aucun n'aurait, semble-t-il, fait de cauchemars durant l'expérience.


Du cheddar pour rêver de Johnny Depp


Mais la véritable surprise vient du type de rêve vécu, en fonction du type de fromage consommé.

Avec le Stilton, un bleu anglais apparenté au Roquefort, les rêves sont assurément les plus fous et les plus agités, chez 85% des femmes et 75 % des hommes ! A titre d'exemple, certains volontaires ont révélé avoir rêvé d'un crocodile végétarien qui ne pouvait pas manger des enfants ou encore de soldats qui se livraient bataille avec des chatons plutôt que des armes à feu…

Pour les rêves de stars, rien de mieux que le Cheddar ! Deux tiers des volontaires auraient rêvé de célébrités comme Michael Jordan ou Johnny Depp sous son influence… Avec le Red Leicester, un fromage à pâte dure de type mimolette, six personnes sur 10 ont des rêves nostalgiques du passé, comme les jours d'école ou les copains de jeunesse.

Le Brie anglais donnerait des rêves agréables aux femmes, comme celui de Jamie Olivier (un cuistot jeune, beau et trendy Outre-Manche) préparant le repas en cuisine. Chez les hommes, par contre, les rêves sont plus bizarres et du type conversation de bar à bâtons rompus avec un chien.

Enfin, le Cheshire, un fromage qui rappelle un peu la feta, lui, ferait simplement passer une bonne nuit, sans rêve en particulier.


Qui dîne bien, dort bien


Au-delà du côté fun de l'expérience, dont la valeur scientifique est discutable et les résultats à confirmer, c'est un argument de plus pour les insomniaques et les mauvais dormeurs pour rappeler l'importance de privilégier aussi une bonne hygiène alimentaire avant d'aller dormir.

Un repas léger, peu épicé et alcoolisé, pauvre en caféine, riche en laitages et en glucides est, en effet, un bon réflexe à cultiver pour gagner plus rapidement les bras de Morphée ou de Johnny Depp…



Merci à ma cousine qui vient de me parler de ça au téléphone, en effet, elle a eu un texte sur ce sujet aux partiels d'anglais!!