slipkornt

Where Is The Truth?

Vendredi 24 février 2006 à 14:15



Histoire d'une habitation "troublée" en Auvergne, non non, pas la mienne! J'habite dans un appartement! lol. Vous allez voir que c'est digne d'un Stephen King!


Bon désolée, par contre c'est assez long...


M. Georges de Dubor, l'érudit auteur des Mystères de l'Hypnose (1920), a publié la description suivante d'une maison hantée qu'il tient de personnes absolument honorables, intelligente, et dont la sincérité ne peut être suspectée. Le chef de la famille, M. Boussoulade, occupe au ministère des Finances une importante situation. C'est un homme posé, sérieux, estimé de tous. Voici les faits, d'après une déclaration écrite de Mme Boussoulade, certifiée exacte par les autres membres de la famille, témoins des phénomènes:


Le 1er juillet 1914, je quittais Paris pour le village de Vodable, en Auvergne, avec une de mes cousines, ses enfants et mes deux jeunes filles âgées de neuf et douze ans. Nous avions loué une propriété dans un site ravissant; nous dominions une riche vallée. La maison, bâtie sur les reste d'un château féodal, avait au rez-de chaussée des murs épais et de solides voûtes. Habitée de longue date par la même famille, elle était remplie de vieux meubles et de portraits. En voici la disposition : au rez-de chaussée, salon-bibliothèque, salle à manger; au premier étage, antichambre meublé et orné de portraits, trois chambres, les miennes, puis deux autres occupées par les domestiques.


- Le mois de juillet s'écoula dans le calme; août nous apporta les angoisses de la guerre, et le 1er septembre, ma soeur arriva, fuyant Paris menacé, accompagnée de son fils âgé de dix-neuf ans, garçon grand et robuste.


- Ils étaient à peine remis des fatigues de leur long et pénible voyage, que commencèrent à se produire les phénomènes qui font l'objet de cette lettre. Le 7 septembre, vers 8 heure et demi du soir, réunis dans la chambre rouge du premier étage, celle de ma soeur, nous entendons sonner la cloche, située dans l'antichambre. Personne n'avait tiré le cordon de cette sonnette, qui se trouvait sous nos yeux.


- Le 8 septembre, nouvelle sonnerie, à plusieurs reprises, à la même heure que la veille. Ensuite, dans l'antichambre, un portrait tombe sur la tête de mon neveu. Nous remettons à leur place clou et tableau.


- Le lendemain matin 9, un sabre provenant d'une panoplie fixée au mur de la bibliothèque, au rez-de chaussée, est trouvé sur le sol, sans sa gaine, les clous le retenant au mur étaient intacts. Le soir de ce jour, la sonnette du premier étage recommence son tintement; le tableau tombe à la même heure que la veille.


- Le 10, rien. Le 11, sonneries fréquentes, le soir, entre 9 heures et 9h30. Impatientés, nous mettons du papier dans la sonnette; ce papier tombe et le tintement recommence. Je prie alors mon neveu d'arracher ce battant insupportable; la chose est faite, non sans peine. Un instant après, un des portraits du vestibule s'agite violemment, allant de droite à gauche, dans un mouvement de balancier.


- Le 12, les tableaux de la salle à manger sont trouvés penchés. À 7 heures du soir, un cache-pot de cuivre, placé sur une fenêtre de l'escalier, à mi-étage, descend avec fracas, sur son fond, les marches de pierre et ne s'arrête qu'au rez-de-chaussée. Remis à sa place, il redescend à nouveau.


- Le 13, en voulant pénétrer dans ma chambre, au second étage, vers 7 heures du soir, je constate avec terreur que ma porte est fermé à double tour, la clef étant resté en dedans; il en est de même pour la porte du couloir, qui commande la seconde chambre; impossible donc de rentrer chez moi. On arrive à crocheter la serrure et à pénétrer dans les pièces.


- Le même soir, réunis tous dans la bibliothèque avec deux visiteurs, nous voyons un portrait se détacher du mur et tomber au milieu de la pièce; le clou est au mur, le cordon intact. Nous montons visiter nos chambres; derrière nous, une malle tombe du haut d'une armoire, une porte est fermé à clef; la clef cachée par ma soeur dans un tiroir connu d'elle seule, a disparu.


- Le 14, un grand feu s'allume dans la cheminée du salon; un tableau de l'antichambre est projeté au-dessus de la tête de la femme de chambre, son clou est au mur, son cordon intact. En nous mettant à table le soir, nous voyons s'abaisser le cordon de la sonnette de la salle à manger et celle-ci se met à sonner. Dans la bibliothèque, sous nos yeux, un tableau tombe, violemment arraché du mur avec les clous qui le retenaient.


- Le matin du 15, ma cousine est enfermée dans sa chambre comme dans une prison; les clefs des portes ont disparu et nous les cherchons vainement. Le serrurier arrive et aussitôt les clefs tant cherchées sont retrouvées très en évidence. Depuis ce jour, nos clefs resteront toujours sur nous et nos chambres demeureront fermées en notre absence pour éviter toutes nouvelles plaisanteries, et pourtant chaque soir, ma cousine, ma soeur, mon neveu, trouveront dans leur lit en se couchant, des plants de navet, des pincettes, des assiettes, des chardons et jusqu'au buste de l'ancien propriétaire du logis.


- Le 16, le cache-pot de cuivre remonte au premier étage; le sabre tombe à terre, hors de son fourreau.


- Le 17, une assiette caché dans le lit de mon neveu, puis posée sur un autre meuble, est violemment projetée à terre; en face, sur un autre meuble, un chandelier est jeté aussi.


- Le 19, je pars avec mes enfants pour Bordeaux où se trouvait mon mari; heureuse de fuir cette maison inhospitalière, mais mon départ ne devait pas arrêter le cours de ces facéties, qui se continuèrent en mon absence. Le 20, mon neveu, près de s'endormir, se sentit soulevé par une force invisible avec son lit fort lourd en acajou presque verticalement. Ma soeur, ma cousine, accourues à ses cris, ont été témoins du fait.


- En présence de ces phénomènes, aussi étranges que troublants, le départ pour Paris est décidé; alors, les facéties, se multiplient. Le buste de l'ancien propriétaire est trouvé dans le lit de la chambre rouge, la tête sur l'oreiller, les couvertures remontées sous le menton et, plus tard, dans le lit de mon neveu. Un cache-pot de cuivre, placé dans l'antichambre, fait un bond prodigieux pour retomber au milieu de l'escalier; replacé sur la fenêtre, il descend les marches comme la première fois sous les yeux des assistants. Un pot de grès bondit à travers la cour de la remise où il se trouvait et vient se briser sur la table de la salle à manger, en passant par la fenêtre ouverte.


- Le 24, jour du départ, on replace les tableaux tombés précédemment; ils retombent à nouveau. Les meubles du salon - pièce où rien encore ne s'était passé - sont renversés; on les relève; ils tombent une seconde fois; il en est de même, aucun siège ne reste debout. Réunis pour le dernier repas autour de la table de la salle à manger, les convives voient cette table s'agiter, se soulever et se diriger du côté de ma soeur.


- Rentrés à Paris, ma soeur, ma cousine et mon neveu ont retrouvé le calme dont je jouissais moi-même à Bordeaux, oublieuse des événements fantastiques dont j'avais été témoin.


- Dans le courant de décembre, je reviens à Paris avec mon mari et mes enfants. Le 17 de ce mois, nous nous trouvons réunis chez ma cousine, pour un dîner de famille, à la veille du départ de mon neveu pour l'armée. A peine étions-nous assis autour de la table que celle-ci s'agite et se soulève. Le bois fait entendre des craquements ininterrompus. Nous questionnons la table - un coup, oui; deux coups, non - les réponses sont ridicules ou incohérentes. Nous achevons de dîner à grand-peine. Durant la soirée, trois sonnettes électriques tintent d'elles-mêmes.


- Le lendemain, nouvelle réunion chez moi pour déjeuner. La table fait de véritable bonds dès que nous sommes assis autour d'elle et s'agite plus fortement encore que la veille à tel point qu'il faut, pour la maintenir, toutes nos forces réunies. Dans le salon, après le repas, un cache-pot de bronze quitte son support sous nos yeux et bondit au milieu de la pièce à trois reprises; un fauteuil est jeté à terre par trois fois aussi. Au moment du départ, nos convives cherchent longtemps leurs chapeaux disparus et les retrouvent dans les lits ou derrière les meubles.


- Ma cousine part, et le calme se rétablit; elle revient une heure après et, de nouveau, la table s'agite, les objets sont lancés à travers la pièce, tout cesse après son départ.


- Sur ces entrefaites, mon neveu est parti pour l'armée (il a été tué au mois de mai 1915) et, depuis lors, nous n'avons plus eu aucun fait de ce genre à enregistrer.


Source

Mercredi 22 février 2006 à 21:26


Les mystérieux chats d'Angleterre


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Au début de l'année 1983, South Molton, une petite ville d'Angleterre, était sur le pied de guerre.
Un mystérieux prédateur s'attaquait aux moutons et aux agneaux. Au mois de juin, on comptabilisait déjà 200 animaux tués.
A chaque fois, les victimes avaient été égorgées puis éventrées et dévorées.
On déploya des moyens considérables pour traquer la bête mais en vain.
Fait étrange, le prédateur ne commettait ses forfaits que tous les trois jours. Il dévora même une brebis adulte en une seule nuit. Il s'agissait donc d'un animal de grande taille.
Les descriptions de cet animal varièrent du puma couleur ardoise à l'énorme chat noir de la taille d'un doberman, doté d'une queue aussi longue que son corps.
La bête d'Exmoor, comme on l'appela, pouvait courir à près de 50 km/h, sauter des haies ou cinq barrières alignées.
Le « grand chat britannique » n'est pas un inconnu.
En 1962, un « puma » avait été signalé dans le Surrey. Malgré les battues, il était resté introuvable.
En février 1965, un animal à l'aspect de panthère avait été signalé dans le Hampshire et à la fin des années 1970, c'était dans le Devon.
Déjà en 1930, un archéologue avait observé un animal à l'aspect de puma.
En 1927, en Ecosse, un cultivateur avait tué un animal étrange.
Au début du siècle, on parlait surtout de chiens noirs. La notion de félin ou de chat est beaucoup plus récente.
S'agit-il des mêmes animaux ?
Des observations semblables ont été faites en Irlande, au Danemark, en Allemagne, en Italie, en France, aux USA et au Canada.
S'agit-il d'une espèce de félin inconnue ou de spécimens dits préhistoriques ayant survécu comme cela semble être le cas en Australie et en Afrique ?
Les traces retrouvées ont révélé des empreintes de griffes. Or, mis à part le guépard, tous les félins marchent avec les griffes rétractées.
La découverte en 1983, en Ecosse, de plusieurs chats noirs de la taille d'un chien, aux griffes non rétractées, ne simplifie pas l'affaire.
On a également découvert le crâne d'un chat de la taille d'un lion, à Dartmoor, en 1988.

Ces animaux ne sont absolument pas répertoriés et restent pour l'instant une énigme.


Source : L'Inexpliqué p.117-120.


http://www.diablus.com

Vendredi 3 février 2006 à 18:18


Apparitions prémonitoires


Des milliers de témoignages de visions ont été rassemblés et analysés par des parapsychologues. inexplique


En 1850, à Clapham ( Angleterre)

Phénomène d'apparition survenu vers le milieu du XIXeme siècle, une jeune fille rencontre un jour sa soeur dans d'étranges circonstances et voulut la saluer. Et horreur, sa main rencontra le vide. Quand elle apprit, que sa soeur avait mis fin à ses jours à plusieurs centaines de kilomêtres de là, elle en conclut qu'elle avait été témoin d'une apparition. Quelles vérités se dissimulent-elles derrière ce type d'aventure ?



« Maman, c'est Ellen ! ».

Une femme et son fils étaient paresseusement assis dans le jardin de leur maison de Chapam, en Grande-Bretagne. Le calme et la quiétude régnaient tout autour d'eux, et absolument rien ne laissait présager ce qui se produirait sous peu et qui transformerait à jamais leur existence. Le fils se leva brusquement en s'exclamant : « Maman, c'est Ellen ! ». Ils éprouvèrent une surprise aussi immense que compréhensible, car la jeune fille avait été envoyée pour quelque temps chez son oncle et sa tante, à Brighton, afin d'oublier une histoire d'amour que ses parents désapprouvaient. Bien que l'éloignement forcé de sa famille et de l'être aimé la fît beaucoup souffrir, la nostalgie ne justifiait pas un tel acte de désobéissance qui préoccupa énormément la mère.
Elle pria par conséquent son fils de conduire immédiatement sa sœur à la maison et de ne rien dire à leur père. Le jeune homme s'était cependant, juste ce jour-là, foulé la cheville à la suite d'une chute de cheval, si bien qu'il ne parvenait pas à marcher. La mère se mit donc en quête de son autre fille et lui ordonna de rejoindre sa sœur.
La jeune Mary s'élança sur le sentier, vola littéralement jusqu 'à la grille et appela sa sœur à grands cris en l'invitant à rentrer tout de suite chez elle. Non seulement Ellen ne répondit pas, mais elle fit volte-face et s'engagea sur un chemin qui s'éloignait de la maison. Mary courut derrière elle, la rattrapa, la saisit par un bras en lui demandant, d'un ton inquiet, où elle comptait ainsi se rendre. Les mots expirèrent néanmoins sur ses lèvres quand elle s'aperçut qu 'elle n 'arrivait pas à serrer le bras de sa sœur : sa main sembla traverser directement la chair et les os sans rencontrer la moindre résistance. En proie à la plus vive terreur, Mary retourna près de sa mère et lui raconta tout. Lady Jane en parla immédiatement à son mari, en lui faisant également part de son pressentiment que quelque chose de grave était arrivé à leur fille aînée. Ces sombres pensées furent malheureusement confirmées le lendemain. La veille au soir, au moment précis où sa famille l'avait vue dans le jardin, Ellen s'était jetée dans la mer et s'était noyée.


http://www.outre-vie.com

Vendredi 27 janvier 2006 à 23:12

Expérience de mort imminente



L'ascension vers l'empyrée (Jérôme Bosch)


L'expérience de mort imminente ou EMI (Near Death Experience ou NDE en anglais) est un ensemble de sensations décrites par certains individus qui ont pu être réanimés après un coma avancé. Les individus disent posséder des souvenirs détaillés du vécu d'une existence autre que celle qu'elles connaissent de leur vivant.


Aspect général

Ces expériences ont été identifiées et décrites par le psychiatre Raymond Moody en 1975 sous le nom de « Near Death Experience » (NDE), reprenant une expression qui avait déjà été proposée par Victor Egger en 1895. Elle est cependant loin d'être constante : d'après un article de Pim van Lommel publié dans le Lancet le 15 décembre 2001, sur 344 patients réanimés d'un coma secondaire à un arrêt cardio-circulatoire, 12% décrivaient une réelle EMI. D'autres études semblent indiquer que ce chiffre pourrait être légèrement surévalué et que la fréquence réelle serait d'environ 10%.



Après avoir repris conscience, les patients font un récit qui présente souvent de nombreuses similitudes : impression de décorporation, conviction d'être mort mais conscient dans un corps immateriel, déplacement dans un tunnel, lumière intense, rencontre avec des personnes décédées ou des "êtres de lumieres", remémoration en acceléré de sa propre biographie,prises de consciences etc. Dans l'immense majorité des cas il s'agit d'une expérience agréable et lumineuse,voire clairement mystique,souvent si forte que la personne a du mal se faire l'idée de retourner dans la realité matérielle du monde tel que nous le connaissons. Environ 4% des personnes rapportent par contre un aspect effrayant ou désespérant.



L'étude scientifique


Ces EMI ont motivé de nombreuses études poussées effectuées par des biologistes, physiciens, anthropologues, médecins et théologiens visant à bien comprendre les différents stades d'après-vie qu'un mécanisme neuro-chimique ne permet pas d'expliquer en totalité.



Il est extrêmement difficile d'appliquer la méthode scientifique à ce type d'expérience subjective. On ne peut se baser que sur le témoignage des personnes qui rapportent avoir vécu cette expérience et seule l'accumulation, la concordance et surtout la réalité des effets secondaires permettent d'envisager que ces témoignages se rapportent à quelque chose de réel. En faire un réel sujet d'étude scientifique nécessiterait cependant que l'on soit capable de quantifier ce phénomène de manière plus objective. Kenneth Ring a notamment construit l'indice WCEI (« Weighted Core Experience Index ») pour mesurer la « qualité » de l'EMI (Life at death. A scientific investigation of the near-death experience, 1980) et Bruce Greyson une échelle de qualification des témoignages (The NDE Scale. Construction, Reliability and Validity, 1983). Il existe aujourd'hui de nombreuses théories, dont certaines sont tout à fait sérieuses, mais aucune ne parvient à expliquer rationellement l'ensemble des observations. Une vision spiritualiste du monde, qui depuis toujours et dans toutes les traditions sous-tend en son sein l'existence d'autres plans de conscience, est évidemment plus à l'aise avec ce type de phenomènes que la pensée plus exclusivement matérialiste qui régit le monde où nous vivons.



Conséquences et effets secondaires


Il est extrêmement rare de sortir indemne d'une expérience de ce type. Le retour à la conscience s'accompagne souvent d'une certaine confusion entre l'EMI et la réalité et à une peur d'être considéré comme victime de maladie mentale. À plus long terme, on note un développement de l'empathie, la remise en cause des priorités et la modification du mode de vie. On assiste également souvent à une perte d'intérêt pour les dogmes religieux, au développement de la croyance en la vie après la mort et à un intérêt accru pour les questions spirituelles et la transcendance.


Sur un plan plus négatif, ce genre d'experience peut aussi conduire a une certaine souffrance ,parfois à un développement de l'ego et au sentiment d'être au-dessus de la mêlée, ou encore une impression de ne pas être compris qui peut entraîner une rupture avec le milieu familial et les amis.



Approche biologique


Si à peu près toutes les religions véhiculent un discours sur la mort qui ne peut sans doute qu'influer sur le sens que les gens donnent à une expérience de mort imminente, il en va exactement de même du matérialisme qui pousse forcément à interpréter ces expériences à la lumière de la conviction que tout a une explication causale. Sur un sujet comme celui-ci, où la science est encore balbutiante mais où les enjeux spirituels sont importants, il est difficile pour ceux qui n'ont pas vecu d'EMI de faire la part des choses entre ce qui est du domaine de la connaissance et celui de la conviction.


La proximité de ces expériences avec "la mort" fait partie du questionnement de la science autour des EMI. Par définition,pour notre "sens commun" si le patient a pu être réanimé, c'est qu'il était toujours vivant. Rien ne permet donc d'affirmer formellement que l'EMI est une preuve de la survie de l'âme après la mort. Des expériences "similaires" auraient été rapportées par des personnes suite à un accouchement, un malaise ou pendant une anesthésie à la kétamine, alors que leurs pronostiques vitaux n'étaient pas en jeu. La prise d'hallucinogènes ou même certaines techniques de méditation pourraient également provoquer des sensations que certains rapprochent de l'EMI.


Sur un plan physiologique, l'EMI peut être sommairement apparentée aux états modifiés de conscience, au rêve, aux hallucinations, et à certains cas d'épilepsie. Ces dernières sont mieux scientifiquement connues et peuvent par exemple être dues à l'anoxie qui provoquerait un dysfonctionnement de l'hippocampe. Sur un plan psychologique les EMI seraient pour certains un mécanisme de protection de la conscience. Celle-ci se mettrait au repos face à une expérience traumatisante comme l'approche de la mort, mais cela semble assez loin d'expliquer la force des ressentis des personnes ayant vecu une EMI.


En 2002, Olaf Blanke, Stephanie Ortigue, Theodor Landis et Margitta Seeck, du département de neurologie de l'hôpital universitaire de Genève ont publié dans la revue Nature un article décrivant une expérience autoscopique provoquée par la stimulation électrique d'une région spécifique du cerveau chez une patiente épileptique. La décorporation (appelée aussi voyage astral ou OBE "Out of Body Experience") est un autre phénomène ancien aux marges de la science ,ce n'est cependant qu'un des aspects rapportés dans une EMI.



Influence socio-culturelle


Les témoignages sont très rares avant la seconde moitié du XXe siècle, on en connaît cependant depuis l'antiquité comme le mythe d'Er dans La République de Platon. Selon les études, entre 8 et 35% des personnes confrontées à un risque vital rapportent une EMI. On en trouve dans le monde entier, les récits sont donc indépendants de la religion et de la culture mais il y a tout de même une forte prévalence des États-Unis d'Amérique par rapport au reste du monde, y compris par rapport à l'Europe qui a pourtant un niveau de soins équivalent pour les techniques de réanimation. Dans un sondage de 1982, huit millions d'Américains affirmaient avoir vécu une EMI.



Mystique de l'EMI


L'incapacité actuelle de la connaissance scientifique à fournir une explication rationnelle satisfaisante, et la proximité de ces expériences avec l'« au-delà » sont evidemment un enjeu pour les traditionelles interprétations mythologiques et du religieux ou plus simplement pour une vision spiritualiste de la condition humaine. De nombreux aspects des récits d'expériences de mort imminente font etat de phenomènes qu'on retrouve dans des textes sacrés, dans le mouvement spirite, le theme hindouiste du karma, de la réincarnation ou des phénomènes paranormaux.


Les témoignages rejoignent une certaine thematique du mouvement New Age,les sujets font en EMI l'experience d'une transcendance dans la connaissance de soi. Le new age influencerait donc chez les personnes sensibles à ses idées, le vocabulaire utilisé pour décrire les EMI.


Il est difficile de savoir si le scénario des EMI est une création du cerveau pour construire, à partir d'un ensemble de sensations, un récit cohérent avec les références culturelles du sujet, ou si ce sont des expériences de ce type qui ont par exemple influencé la rédaction de textes religieux. Quoi qu'il en soit, pour de nombreuses personnes ayant vécu une EMI, le plus important reste l'impression d'avoir été confronté à quelque chose de sacré, à un amour transcendant. Cet aspect est malheureusement encore plus difficile à étudier objectivement que le reste du phénomène et ne peut que renvoyer chacun à ses propres convictions et/ou interrogations.


http://fr.wikipedia.org

Mercredi 18 janvier 2006 à 22:57

UNE PEINTURE HANTEE


Nous sommes en février 2000, et on trouve un bien étrange objet en vente sur ebay, il s'agit d'un tableau appelé "The Hands Resist Him" le tableau représente un jeune garçon devant une porte avec à coté de lui une poupée derrière cette porte vitrée on peut voir des mains... L'annonce nous indique que ce tableau est hanté...


(JPEG)


La petite annonce précise que la fille de l'ancien propriétaire aurait vu le petit garçon se battre et sortir du tableau. Les parents a la fois amusé et inquiet car leur fille semblait très apeurée placèrent un appareil photo couplé a un détecteur de mouvement dans la pièce où se trouvait le tableau. Après trois nuit, ils obtinrent deux photos, qui montraient l'enfant était "éjecter" du tableau... Après cela ils mirent en ventes ce tableau...


Pendant les enchères environ 13000 personnes visitèrent cette page, et de nombreuses personnes envoyèrent des mails au propriétaire. Il semble que 7 personnes auraient eut autour d'eux d'étrange événement après avoir observé cette image.


La personne qui obtint l'objet a fait des recherches dessus, il semble que ce tableau ai été commencer dans les années 20 ou 30, et aurait été fini entre 1965-1975. Pour lui les gens qui ont eut des phénomènes étrange après avoir visualisé la photo de se tableau serait simplement victime d'auto suggestion.


Les seules phénomènes étrange que le propriétaire eut ce sont le nombre incroyable de mail de gens voulant soit voir la toile, soit exorciser sa maison soit acheter des reproduction de son tableau... Il ne se passa rien...


Finalement un an après son achat, il se mit a vendre des reproductions de ce tableau, peut être que ceux qui possèdent ces reproduction on eut des expériences similaires à leurs premier propriétaire... En tout cas depuis sur ebay on ne compte pas le nombre de tableau et objets hantés peut être qu'avec un peu de chance on peut vraiment en trouver un...


http://dark-ride.org/