slipkornt

Where Is The Truth?

Mercredi 11 juin 2014 à 21:57

Salut à tous, je viens de tomber sur un article fort intéressant ! Un petit génie de 19 ans aurait trouvé un moyen de nettoyer nos océans de toute cette merde, je parle, de nos déchets, la pollution humaine...

Saviez-vous qu'une grande quantité d'espèce d'oiseaux sont victimes de cette pollution ? 
Certaines sont même en voie d'extinction... Et c'est particulièrement le cas sur l'île de Midway, aussi surnommée "L'île au déchets"...
Sans parler du monde marin évidemment !


MIDWAY...L'île aux oiseaux ! par toff48


Ce que l'on peut voir dans la vidéo ci-dessus est juste consternant, je suis en colère, après vous, après moi, après l'homme.
Tous les monstres sont des hommes...

http://slipkornt.cowblog.fr/images/tumblrmh7ao9Kkm71s4sa3bo1500.jpg
Bref, revenons-en au sujet, voici l'article présenté par LeFigaro.fr

Pour intercepter et extraire les objets en plastique qui polluent les océans, ce jeune Hollandais propose la conception d’un «entonnoir géant». Son projet, qui a gagné plusieurs prix, nécessite de trouver 2 millions de dollars.
 
Certains s’en plaignent lorsqu’ils se baignent durant les vacances d’été, d’autres décident de prendre les choses en main. C’est le cas de ce jeune étudiant hollandais de 19 ans. Lors d’un dîner de famille dans les Açores, Boyan Slat fait germer cette volonté: nettoyer les océans. Depuis cette date, le Ernst Haeckel des temps modernes n’a plus jamais lâché cette envie. À l’âge de 16 ans, lors d’une plongée sous marine en Grèce, le jeune homme a été interpellé, le nombre de déchets présents était supérieur au nombre de poissons. C’est le début de deux années de recherche de longue haleine. Au fur et à mesure, le jeune homme prend conscience de l’importance écologique mais aussi des dangers que représentent la pollution marine. Des millions d’animaux aquatiques décèdent chaque année à cause de la pollution. De la même façon, des milliers de dollars sont dépensés pour nettoyer les plages et cette pollution engendre des dommages collatéraux sur la santé humaine.

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Un entonnoir en action grâce aux courants marins

Plusieurs outils ont d’abord été pensés, comme un râteau géant tracté par deux bateaux. Ce système s’est avéré onéreux et surtout très polluant, Boyan a donc abandonné cette idée. À l’aube de l’été 2012, le jeune garçon a l’idée de construire une machine à l’allure d’un entonnoir grand format. Cet outil agirait en corrélation avec les courants des fonds marins, ce qui permettrait donc d’éviter une dépense d’énergie coûteuse et polluante. «À la place de gaspiller de l’énergie en chassant les déchets, il suffit simplement d’attendre que les déchets en plastique viennent jusqu’à nous» explique le jeune homme sur le site de sa fondation.
 
Un entonnoir, oui, mais pourquoi faire? Le système est assez enfantin mais il fallait avoir l’idée. Un assemblage de plusieurs tuyaux en forme de bouées sur plus de 100 kilomètres en dessous duquel sont attachés des panneaux de trois mètres qui permettent de bloquer les déchets. Quels risques pour la faune et la flore marine? Aucun risque, le jeune homme a pensé à tout surtout au respect de l’environnement. Les écrans font trois mètres et sont donc suffisamment grands pour bloquer les déchets et assez petits pour ne pas gêner l’écosystème marin.
 
Après plus de six mois de tests et de réflexions, le jeune Boyan a présenté son projet «The Ocean Cleanup» devant l’organisation TedXDelft. Cette organisation américaine à but non lucratif soutient les projets et les initiatives qui agissent en faveur d’un monde nouveau et meilleur.
 
La même année, le concept a été récompensé par le prix «Meilleur Outil Design» remis par l’université de technologie de Delft (Pays-Bas). Parallèlement, le jeune Boyan a été reconnu par l’entreprise Intel comme l’un des vingt plus jeunes entrepreneurs prometteurs au monde. Mardi dernier, il a présenté son projet à New York, une réflexion résumée en 530 pages pour promouvoir sa nouvelle campagne de levée de fonds.
 
Dix ans pour nettoyer la moitié de l’Océan Pacifique

L’année 2013 signe pour le jeune homme, la naissance officielle de sa fondation «The Ocean Cleanup». 100 volontaires se mettent à œuvrer sur ce projet. Le but: développer des technologies pour extraire, prévenir et intercepter les objets en plastique qui polluent les océans. Afin de prouver le bon fonctionnement et la faisabilité de son projet, le jeune Boyan a mis en «pause» ses études d’ingénieur aérospatial. Pour mener à bien ses recherches, le jeune étudiant a lancé une première campagne de financement participatif réussie, puisque plus de 65 000 euros ont été récoltés. Selon les expérimentations menées par la suite, la méthode développée permettrait de débarrasser l’Océan Pacifique de la moitié des déchets et tout cela en moins de 10 ans.
 
Après avoir prouvé le bien fondé et l’intérêt de son projet, Boyan veut aller encore plus loin, en effet, selon lui, «cette méthode prouve que nettoyer les océans n’est pas une chose impossible». La fondation «The Ocean Cleanup» demande un soutien de deux millions de dollars. Sur le site de la campagne, les dons sont répertoriés par «kilos de déchets» retirés. Pour exemple, 6,21 dollars suffisent pour extraire un kilo de déchets de l’océan. 185 309 dollars ont été récoltés pour l’instant sur les deux millions attendus.
 
Cette vidéo présente le travail et l’accomplissement de deux années de recherches:

 


Source

J'espère sincèrement que ce projet aboutira ! Car je ne sais pas si vous l'avez remarquè, mais dès qu'un projet révolutionnaire voit le jour, il ne se concrétise que très rarement. Pourquoi ?

SlipKoRnT
Prenez soin de vous :)
 

Jeudi 8 mai 2008 à 15:17

L'aluminium favorise le développement de cette affreuse maladie.
Voici quelques conseils:

-     Pour l'eau : utiliser des carafes filtrantes qui retiennent le sulfate d'aluminium
-    A la place du film alu : choisir le papier sulfurisé ou le film transparent
-    A la place des poêles et cocottes en alu : utiliser de l'Inox
-    Eviter les emballages alu, privilégier les aliments emballés par du plastique, voire sans emballage, c'est encore mieux.
-    Ne pas congeler, ni chauffer les aliments avec le papier alu. Utiliser par exemple des feuilles de Brick
-    Utiliser du déodorant sans alu, comme le Weleda ou la pierre d'Alun


Heureusement, la Marmotte, elle ne met plus le chocolat dans le papier alu!

Source

Samedi 20 janvier 2007 à 13:26

Les Impressions de « déjà vu »

 

Le terme de « déjà vu », utilisé pour la première fois par Emile Boirac (1851-1917) dans son ouvrage « L'avenir des sciences psychiques », désigne l'impression d'avoir déjà vu un lieu ou déjà vécu une situation. Cette expérience est souvent accompagnée d'un sentiment particulier, mélange d'étrangeté et de familiarité, et d'une incapacité à retrouver un éventuel souvenir relatif à ce sentiment de déjà vu.

Quelles sont les causes du déjà vu ?

La multiplication des recherches
effectuées en sciences cognitives sur ce sujet ces dernières années, ne
permet pas pour autant d'expliquer clairement ce phénomène. Plusieurs
hypothèses tentent d'en rendre compte :

-  L'expérience de déjà vu proviendrait de la rencontre du contenu d'un rêve oublié, en
partie ou en totalité, et d'une situation vécue à l'état de veille. Les
éventuelles concordances entre les éléments provenant de la vie
onirique et le contexte réel rencontré donneraient lieu à l'impression
de déjà vu.

-  Le cerveau aurait la capacité de déterminer, inconsciemment et dans un
très court laps de temps, ce qui dans l'environnement du sujet,
concorde avec des expériences déjà rencontrées. Cette capacité aurait
pour fonction de permettre à l'individu de déterminer si la situation
rencontrée l'a déjà été ou non et aurait été utilisée par nos ancêtres
pour réagir au plus vite face à un éventuel danger.

-  Une zone du cerveau, le parahippocampe, serait à la source des sentiments
éprouvés lors d'une impression de déjà vu. Le parahippocampe fonctionne
habituellement en complémentarité avec l'hypocampe, le siège de la
mémoire, qui permet de déterminer s'il y a effectivement concordance
entre des expériences déjà rencontrées et une situation actuelle. Lors
de sentiments de déjà vu, le parahippocampe fonctionnerait seul, sans
l'hypocampe. Il ne subsisterait donc que le sentiment étrange
caractéristique du déjà vu.

Outre ces différentes explications, les
chercheurs ont observé que les personnes souffrant d'épilepsie ont plus
souvent des impressions de déjà vu. Le stress et la fatigue sont
également des facteurs favorisant cette impression, qui tend à diminuer
avec le vieillissement. Il paraît donc très probable que l'origine du
sentiment de déjà vu est pluri-factoriel, ce qui explique en partie les
difficultés rencontrées pour l'expliquer.

Déjà vu et vies antérieures

Les phénomènes courants et mal compris
sont souvent à l'origine de diverses « théorisations » interprétées
comme « paranormales » par une partie de la population. L'expérience de
déjà vu ne fait pas exception et il est fréquent qu'elle soit
interprétée en tant que « réminiscence » de vies antérieures. Etant
donné l'ensemble des éléments allant dans le sens d'une origine
cognitive de ce trouble, l'hypothèse réincarnationiste, quelque soit sa
validité dans l'absolu, paraît inadaptée pour rendre compte du déjà vu.

Déjà vu et perceptions extra sensorielles

L'impression de déjà vu est également
fréquemment associée à la précognition, c'est-à-dire la capacité d'obtenir des informations sur un évènement futur selon des modalités perceptives inexpliquées à l'heure actuelle sur le plan scientifique. Comment distinguer une précognition d'une impression de déjà vu ? Il s'agit d'une question à laquelle il est difficile de répondre étant donné que la précognition n'est pas un phénomène dont l'existence est reconnue par l'ensemble de la communauté scientifique. On peut
cependant noter certaines différences si l'on se réfère à la
littérature parapsychologique portant sur la précognition. On
remarquera en particulier que :

-  La précognition ne donne pas lieu à l'impression d'étrangeté caractéristique du déjà vu.

-  La précognition est censée se produire avant les évènements qui vont se
dérouler. Le déjà vu est en revanche simultané à l'expérience
rencontrée.

-  La précognition porte le plus souvent sur des évènements affectifs (décès
d'un proche, accident, etc.). L'impression de déjà vu est revanche
associée le plus souvent à des situation banales de la vie quotidienne.

Il est donc généralement facile de
distinguer une précognition d'une impression de déjà vu : le déjà vu
donne le sentiment d'être en mesure de décrire ce qui va se passer
alors qu'en réalité ce n'est pas le cas... la précognition en revanche
est censée permettre de déterminer au préalable et de façon précise un
événement à venir. Très concrètement, un moyen efficace de les
différencier consiste à noter par écrit ce qui est censé se produire
dans le futur...

Le déjà vu reste donc encore mal connu,
en particulier du grand public pour qui il demeure source
d'incompréhension et d'interprétations variées. Les recherches
actuelles ont permis de mieux le comprendre et aideront certainement à
mieux décrire certains processus du fonctionnement cérébral.

Source

Samedi 7 octobre 2006 à 0:06

http://slipkornt.cowblog.fr/images/Chienintello9.jpg

Amaurose congénitale de Leber : Des chiens recouvrent la vue grâce à une thérapie génique a annoncé l'Inserm. Une équipe française de chercheurs à réussi à rendre la vue à des chiens qui avaient une maladie génétique de la rétine, grâce à des travaus de recherche en partie financés par l'AFM grâce aux dons du Téléthon. Des essais cliniques sur chez l'homme devraient être rapidement mis en place.
 
Une équipe de chercheurs français a réussi à rendre la vue à des chiens touchés par une maladie génétique de la rétine, l'amaurose congénitale de Leber. L'équipe coordonnée, à Nantes, par Fabienne Rolling, chargée de recherche au sein de l'Unité Inserm 649 « vecteurs viraux et transfert de gènes in vivo » a utilisé une technique de thérapie génique innovante, plus précise et plus sûre que celles utilisées jusqu'à ce jour. Elle a recouru à une catégorie de vecteurs de type AAV (adeno-associated virus), qui ciblent précisément les cellules de la rétine à l'origine du dysfonctionnement visuel et limitent les risques de complications. Ces travaux ouvrent la voie à la mise en place d'essais cliniques chez l'homme.
 
Ces travaux, financés en partie par l'AFM grâce aux dons du Téléthon, sont publiés ce jour sur le site Internet de la revue Gene therapy. L'amaurose congénitale de Leber est une forme particulière de rétinite pigmentaire entraînant précocement une quasi-cécité chez l'enfant.
Les enfants atteints présentent des difficultés à fixer et à suivre du regard. L'aspect de leur fond d'œil est souvent normal les premiers mois mais évolue vers une atrophie irréversible de la rétine. Les mesures de l'activité électrique au niveau de la rétine se révèlent nulles. D'un point de vue physiologique, la maladie s'explique par une mauvaise communication entre les cellules réceptrices de la lumière (les photorécepteurs) et l'épithélium pigmentaire rétinien (EPR).

L'épithélium pigmentaire rétinien est la couche la plus profonde de la rétine, qui se trouve en contact étroit avec les photorécepteurs. L'EPR accomplit des tâches essentielles pour la vie et le fonctionnement des photorécepteurs. Il recycle et transforme notamment les molécules impliquées dans la conversion du signal lumineux en signal électrique, seul signal interprétable par le cerveau.
Plusieurs mutations touchant des gènes différents peuvent être responsables de l'amaurose congénitale de Leber. A ce jour, les chercheurs ont identifié huit gènes. Parmi eux, le gène RPE65 qui code pour une protéine spécifiquement exprimée dans l'épithélium rétinien. Cette protéine a récemment été identifiée comme étant une enzyme qui recycle une protéine permettant la synthèse du pigment indispensable à la vision : le chromophore 11-cis retinal.
 
De précédentes publications ont déjà fait état de thérapies géniques chez des chiens atteints par cette maladie. Cependant le vecteur utilisé pour ces travaux ciblait non seulement l'épithélium rétinien mais également les photorécepteurs.
Grâce à un vecteur AAV de type 4, équipé d'un promoteur du gène RPE65 humain, l'équipe nantaise a pu diriger l'expression du transgène uniquement dans l'épithélium rétinien, siège du dysfonctionnement, tout en épargnant les photorécepteurs. De plus en utilisant un promoteur spécifique du gène RPE65, et non pas un promoteur viral, les chercheurs se sont prémunis des risques de complications éventuelles. Deux éléments qui assurent la biosécurité de la thérapie et permettent d'envisager un essai clinique chez l'homme.

Techniquement le traitement a été appliqué à un seul oeil pour chaque chien. Chez tous les animaux traités entre 8 et 11 mois, les chercheurs ont pu observer le retour d'une activité électrique au niveau de la rétine, ce qui témoigne de la restauration de la fonction des photorécepteurs. Les chercheurs ont également soumis les chiens à un parcours d'obstacles, pour évaluer leur capacité à les éviter (Les images de ce test d'obstacles sont disponibles en Bêta sur demande auprès du service de presse de l'AFM).

Seul un animal, traité après l'âge de 30 mois, n'a pas recouvré la vue, ce qui laisse penser qu'un nombre suffisant de photorécepteurs doit être encore présent dans la rétine pour que le traitement soit efficace et donc que la maladie n'ait pas trop évolué.
Avec une prévalence de l'ordre de 10 à 20 % des enfants aveugles, on estime que l'amaurose congénitale de Leber touche 1000 à 2000 enfants en France. Environ 100 à 200 patients sont porteurs d'une mutation dans le gène RPE65.

Ces travaux représentent une étape primordiale dans la mise au point de la thérapie génique pour cette maladie génétique qui ne bénéficie à l'heure actuelle d'aucun traitement. L'équipe nantaise s'attelle désormais à la mise en place d'un essai clinique chez l'homme.
 
Cette étude a reçu un soutien financier de la part de l'association Retina France, du Lions Club International, de la fondation thérapie génique en pays de Loire, de l'Etablissement français du sang (EFS), du CHU de Nantes, de l'Inserm et de l'AFM.

Source

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