slipkornt

Where Is The Truth?

Mardi 2 août 2016 à 23:54


Dans mes gestes, dans mes réactions, dans l'intonation de ma voix...

http://slipkornt.cowblog.fr/images/tumblrlfrpfp5Lgo1qbc4nro1.jpgTous me surprennent parfois.
J'ai cette impression de déjà vu qui n'en est pas une...
Car ce n'est pas une impression, c'est la réalité.
Je lui ressemble, Elle me ressemble, on se ressemble.
Nous étions UN et elle laisse en moi et sur moi, sa trace.
Je ne pourrai donc jamais m'en défaire...
Je cherche par tous les moyens de m'exorciser de son emprise.







Je me sens... Bloquée.



SlipKoЯnT

Vendredi 17 juin 2016 à 23:26

 Le 9 Juin 2016 (suite encore)

Depuis ce jour, nous avions continué à parler, Elle m'Aimait toujours, mais quand Elle a su pour G, Elle s'est dit que finalement ça ne valait peut-être pas la peine de reconstruire quelque chose, d'autant plus que j'étais toujours sur G, on peut dire que j'ai vécu une période où j'étais amoureuse de deux personnes à la fois, G et Clarisse mais ce à des degrés différents. Bref, Clarisse s'est mise à parler à un homme de 32 ans... A l'époque, Elle devait en avoir 21, je me suis dit qu'il se passait quelque chose de « pas net ». J'ai enfin entamé quelque chose que j'aurais dû entamer bien avant... LA reconquérir.

En Août, nous nous remettons ensemble, nous échangeons de nouvelles « alliances », je lui promets de l'Aimer pour TOUJOURS.
JE L'AIME TOUJOURS.

Les choses ne peuvent pas être comme la première fois, il y a eu E puis G et de son côté il y a eu K et peut-être plus... Des choses qu'on se reproche, les reproches... ce mot est terriblement laid.
Je lui promets d'avancer, on veut habiter ensemble. Pour cela il me faut le permis. Ayant raté mon BAC, je me lance dans un DAEU B qui en est une équivalence. Le permis passe donc en second plan, et comme je n'ai pas non plus la force de faire deux choses à la fois, je me concentre sur le DAEU.

En Janvier 2014, Clarisse est chez moi, dans mon studio, je tombe malade, on se demande ce qu'il m'arrive. Je souffre tellement, je souffre surtout de la faire souffrir. Je tiens bon. Le jour de son départ, j'entre à l'hôpital, c'est un zona généralisé, une saloperie qui va gâcher beaucoup de choses. Je ne l'avais jamais vue aussi triste, je l'ai littéralement traumatisée... Ce zona m'a mise K.O, c'était il y a deux ans et demi et il me fatigue toujours et me fait encore mal.

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J'ai raté le DAEU, je n'ai pas pu finir de passer les épreuves à cause de mon état de fatigue et de mes douleurs. Je me sens tellement nulle, je n'ai pas rempli l'accord qui était fait entre Clarisse et moi. Je crois qu'à cet instant, je commence à me replier sur moi-même, je me doute de ce qu'Elle pense, je me doute de ce que ses parents pensent. Il y a pourtant une photo d'Elle et moi sur le frigo familial, je me rappelle avoir ressenti une joie immense en la voyant. Et pourtant... Je me trompe peut-être mais je crois qu'ils me dénigrent et me traitent d'incapable. J'ai mal. Je l'Aime. Elle se lasse de moi, je pense que j'ai perdu tout intérêt à ses yeux. Elle qui me disait avant que j'étais intelligente et faisait une sorte de complexe d'infériorité vis-à-vis de moi, à présent, elle est plutôt dans le complexe de supériorité. Pour moi, Elle a toujours été mon égale, Elle l'est encore.
Elle ne supporte plus ce que je suis : la douleur, la maladie, la noirceur.

Le « vrai » dernier souvenir de nous fût nos vacances en Normandie, avant que ma santé ne vienne tout gâcher encore une fois... Hypothermie, je ai à nouveau fait peur, Elle avait la peur que je meurs avant Elle, maintenant Elle en a la certitude. PUTAIN DE E.COLI, PUTAIN de santé de MERDE !

INCAPABLE, DEPRESSIVE, NON-QUALIFIEE, FAINEANTE, HANDICAPEE.


Je crois que je donnerais tout pour revenir en arrière et revivre ces quelques jours.

Nous nous sommes mises ensemble, Elle avait 19 ans. Était-ce trop tôt ?
Était-ce trop dur pour Elle de ne connaître qu'une seule relation ?
En tous cas je suis sûre qu'Elle m'a Aimée d'une façon qu'Elle pensait elle-même impossible, l'Amour corps et âme, le Grand Amour.

p.s.: JE L'AIME.
SlipKoЯnT

Mercredi 15 juin 2016 à 14:58

Le 9 Juin 2016 (suite)

Cette fois tu y es, au fond du gouffre, cassée en mille morceaux, le cœur couvert de balafres. Tellement endommagée qu'il est probable que tu ne guérisses jamais, du moins pas dans la totalité.
Des fois je me demande si j'ai vraiment envie d'aller mieux et j'ai tout simplement envie de me dissocier de Clarisse et concrètement, la seule chose qui me relie encore à Elle, c'est ma douleur. Je ne comprends pas pourquoi cette épreuve est aussi difficile à surmonter sachant tout ce que j'ai vécu auparavant, elle demeure tout de même la douleur la plus vive que j'ai jamais ressentie. Je sais que ça peut paraître dingue mais c'est plus dur à vivre que mon cancer. Surtout lorsqu'on sait qu'un cancer c'est énormément de douleurs physiques et un moral d'acier si on veut triompher. J'ai triomphé. Mais la dépression c'est une douleur morale qui prend au corps... Cette douleur morale créé une douleur physique qui lui est proportionnelle, elle fait si mal et pourtant elle n'est pas toujours palpable. Sans oublier les vagues d'angoisses en « bonus »... SALOPERIE !

J'en ai tellement marre, j'ai l'impression que toutes mes tentatives d'essayer de m'en sortir sont vaines car se soldent toujours pas un échec. Je n'ai en fait ni l'envie, ni la force de retenter.

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Il faudrait que je passe mon permis mais j'ai on genou en vrac, n'empêche, cette luxation de la rotule aura été une des douleurs les plus fortes que j'ai ressentie. Encore une entrave dans ma vie. Je saurai à la fin du mois ce qu'ils vont décider de faire de ce genou... Reconstruction ligamentaire ? Prothèse ? Ca ferait la troisième avec les hanches, je vais finir replie de metal.
Bref, verdict le 23 Juin. Mais ça, j'ai envie de dire que je m'en fous. Ce n'est pas le poids le plus important.

Tout me ramène à Elle... Une chanson, une film, une expression, une période, un lieu, une odeur, un mot, Elle est partout et j'ai beau lutter, je ne peux l'éviter. J'ai abandonné la lutte, j'ai arrêté de lui parler, je lui ai reparlé mais je finis toujours par tout gâcher, je me dégoûte. Je suis perdue en fait, je ne sais pas quoi faire. Je suis tellement nostalgique de tout ces moments passés, tout ces moments où je pouvais enfin respirer l'Amour d'une autre et l'Aimer comme j'aurais voulu être Aimée.
Ai-je Aimé trop fort ? Est-ce seulement possible ? C'est peut-être un problème de compatibilité...
J'aurais pourtant juré qu'Elle était l'Amour de ma vie.
Quelqu'un « supporterait » et demanderait même à être aimé comme je l'ai Aimée. Et une autre personne, comme Elle, se sentirait oppressée. Je n'y ai pas pensé, je ne pensais qu'à donner. Avant que je rompe avec Elle (après un an de relation), Elle semblait Aimer ça, mais quand nous nous sommes remises ensemble, Elle n'était plus réceptive comme avant...Des fois je me dis qu'on aurait pas dû se remettre ensemble, mais le passé est le passé et j'ai l'impression d'être restée gelée fin juillet/mi août (période où elle m'a quittée). Je ne peux plus avancer. Je ne veux pas devenir aigrie, ennemie de l'Amour. Je ne suis pas comme ça ! Mais la savoir dans les bras d'un autre...

Je regrette de l'avoir quittée la première fois, les choses n'étaient pas faciles entre nous et elle me criait beaucoup dessus mais j'aurais dû me montrer plus forte que ça. J'ai choisi la facilité, j'ai quitté le navire, tout ça pour aller me réfugier dans les bras d'une tarée bipolaire qui m'a causé des bleus, de gros bleus. C'est bien la première fois que je choisissais la facilité et voici le résultat. Je ne savais pas à cet instant que j'Aimais toujours Clarisse, j'étais aveuglée par la tristesse et la colère.

Puis il y a eu G, une histoire platonique mais pas sans sentiments, encore une relation impossible, G étant instable et agoraphobe. Nous nous réellement vues deux fois et ces deux fois, je ne les oublierai pas.

Un soir de février, proche de la Saint Valentin, j'ai cru que j'allais mourir, que j'allais mettre fin à mes jours, car l'Amour que je ressentais pour Clarisse m'est revenu en pleine tronche... Une affliction surpassant tout...
J'ai alors contacté Clarisse, avec la complicité de G qui était plus consciente que moi de ce que je ressentais, G a toujours su. J'ai donc envoyé un sms à Clarisse, jusqu'à ce que je reçoive une réponse de sa part je ne respirais plus, je frissonnais...
Mais Elle a répondu, après coup, Elle m'a dit qu'en lisant mon message elle avait vraiment cru que j'allais LE faire.

p.s.: JE L'AIME
SlipKoЯnT

Jeudi 9 juin 2016 à 22:41

Le 5 Juin 2016

Je suis tellement mal, tout cela commence à devenir invivable.

A chaque réveil je suis à la limite de la catatonie, asthénique, et ce, que j’ai fait ou non des cauchemars. Peut-être que les cauchemars ne sont pas à l’origine de cet état (même s’ils y participent). Peut-être que je me sens si mal car je me réveille… Je suis toujours vivante et ça me pèse, une vie constituée d’intenses douleurs qui ne s’arrêteront pas de si tôt. Je pense sincèrement que ce sont toutes ces drogues qui me tiennent en vie, qui gardent mon esprit un minimum, sans eux je m’envolerais.

Mais je ne veux pas souffrir d’avantage, j’ai déjà dépassé le seuil limite et je commence doucement à glisser et perdre le contrôle.

Ma plus grande peine, la douleur qui est au-dessus des autres, c’est Clarisse. Elle m’a quittée fin juillet, nous sommes aujourd’hui le 5 juin, presque un an s’est écoulé sans Elle à mes côtés et la douleur reste la même, aussi vive. Elle ne reviendra pas, Elle m’a laissée, je ne peux toujours pas le concevoir et encore moins l’accepter, je l’Aime toujours, plus que tout. Mon cerveau n’a toujours pas percuté que je n’étais plus avec Elle, il continue à me faire rêver d’Elle, à construire des souvenirs de notre vie à deux, de Notre Amour…

Insupportable.

 

Le 9 Juin 2016

Quitte à choisir, vaut-il mieux être hypersensible ou vaut-il mieux ne rien ressentir ? Vaut-il mieux penser ou ne pas pouvoir penser ?

C’est cela même qui nous différencie de la machine… du moins à l’heure actuelle.

Je me réveille toujours habitée par ce mal-être qui met des heures à quitter mon corps. Je rêve toujours d’Elle, d’hôpital, de lycée… Rares sont les rêves qui n’incluent pas ces trois sujets. Quoiqu’il arrive, je sens toujours sa présence à Elle, même si je ne la vois pas dans mes songes.

Vaut-il mieux se rappeler de ses rêves ou être dans l’incapacité de la faire ? Si je meurs, vais-je continuer à penser à Elle ? Serais-je toujours amoureuse d’Elle ? Existe-t-il seulement une issue à ce cauchemar ? J’en tremble… J’ai peur, j’ai peur que ça ne finisse jamais. C’est semblable à être prisonnier d’un labyrinthe. Cela fait tellement longtemps que j’y suis coincée, depuis l’issue a dû se reboucher… Pourquoi je continue à l’Aimer ? Elle me fait tant de mal. Il n’y a plus rien à attendre d’Elle… Elle est partie.

Je me demande si je ne devrais pas essayer les rêves lucides pour tenter de la combattre, ou plutôt combattre son souvenir dans le Royaume des Songes. Je vais me renseigner là-dessus. Je dois aussi revoir la psychologue, j’avais mis tellement d’espoirs en elle, mais je ne sais pas si elle peut m’aider…

Ma mère continue de perdre la vue, c’est terrifiant, je peux voir la peur dans son regard lorsqu’elle en parle. Elle aussi a du mal à oublier Clarisse, elle n’arrête pas de me dire qu’elle ne s’y attendait pas et que cela s’est produit au moment où elle lui faisait le plus confiance. Je sais que ma mère aussi se sent trahie. D’ailleurs je vois bien qu’elle aussi est dépressive… Qui ne le serait pas ? Voyant son enfant souffrir depuis 15 ans et sachant qu’on ne pourra bientôt plus voir son visage.

J’ai envie de voir l’océan, d’entendre les vagues s’échouer sur le rivage, sentir l’iode me pénétrer, j’en rêve même la nuit… Évidemment, j’y suis avec Elle. J’espère y aller bientôt. J’aimerais retrouver mon étincelle de vie, je me sens vide, inutile. Je recommence à dessiner et à écrire, cela me fait du bien. J’ai fait beaucoup de progrès en dessin. J’ai commencé à me tatouer le majeur gauche mais j’ai dû arrêter, c’était trop douloureux, je continuerai plus tard, demain ou ce week-end.

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Je continue à me demander si Clarisse s’est persuadée qu’Elle ne m’Aimait plus ou si Elle ne m’Aime réellement plus.

Je pouvais comprendre qu’on cesse de m’Aimer mais pas qu’Elle cesse de m’Aimer. En revanche, je peux concevoir le fait qu’elle se soit lassée de moi. Récemment, Elle m’a dit que j’étais folle, que je la dégoûtais… Elle me dit que je m’enfonce et qu’elle me hait…

C’est tellement douloureux… Elle a une si faible estime d’elle-même que je crois qu’Elle ne pense pas possible le fait que je m’accroche à ce point à Elle, que je l’Aime toujours. Si ça se trouve, elle croit que c’est du cinéma et que je fais tout ça pour qu’Elle revienne, ce qui qui évidemment aurait pour conséquence qu’elle s’éloigne d’avantage de moi. Mais mon cœur est formel, mon cerveau vient confirmer ses dires, je l’Aime, malheureusement… Malheureusement.

Elle est tellement agressive avec moi, j’ai dû faire quelque chose d’horrible.

Je sais que les fortes crises d’angoisse que j’ai eu à la webcam, au téléphone et chez Elle l’ont traumatisée. Est-ce suffisant pour rejeter si fortement une personne qu’on a Aimée à en crever ? Qui ? Qui accepterait de se laisser faire, de se laisser retirer son Grand Amour, perdre tout élan vital ?

Mon Avenir n’était pas tout tracé, mais néanmoins, une chose était sûre, son Amour. C’est du moins ce que je pensais.

Je suis sûre qu’on aurait pu arriver à quelque chose ensemble, mais trop de mal a été fait, un mot subsiste alors : impossible.

Je ne suis pas dans la recherche de quelqu’un, mais je crois que la seule chose qui pourrait m’aider serait d’avoir quelqu’un. Une relation « pansement » comme on dit, mais là encore, serais-je capable d’amorcer une guérison ? Ou serais-je encore bloquée dans la mélancolie ? Après tout je crois que ça a marché pour Elle.

Plusieurs garçons veulent me revoir, mais je ne suis pas sûre de vouloir les revoir… Je n’ai pas l’impression d’aimer « ça » avec un homme. Peut-être parce que j’ai fait d’une chose importante une chose insignifiante.

Pourquoi me suis-je punie ? A quoi sert cette autoflagellation ? Automutilation. Soigner le mal par la mal ? Essayer de se dissocier peut-être. Avoir mal jusqu’à sortir de son corps et ne plus souffrir. Je me sens capable de tout excepté du meurtre et du suicide. Qui dit que derrière le voile de vie il n’existe pas de souffrance ? Y a-t-il quelque chose ? Le néant ? L’Enfer ? Je me poserai la question jusqu’à la fin… L’Enfer, les Enfers existent-ils ? Qu’est-ce qu’on y trouve ? Qui y va et pour quelles raisons ? Dois-je croire en les Saintes écritures ?

En fait, quand je me suis éprise de Clarisse, j’étais presque au fond du gouffre, mais son Amour a été comme une corde lancée vers moi, non pas pour me pendre (rires), mais pour me sortir de ce gouffre. Je pensais être presque arrivée à sortir de ce « gouffre de l'Amour », jusqu'à imaginer enfant et mariage, et c'est là, à cet instant, lorsque tu penses que cet Amour est acquis, qu'Elle lâche la corde et que tu tombes, tu tombes de très haut, et là tu en traverses le fond. Ne prends plus jamais rien comme acquis, ne fais plus jamais confiance à personne ou à quoi que ce soit...

TRUST NO BITCH !!!


p.s.: JE L'AIME.
SlipKoЯnT

Mercredi 12 juin 2013 à 5:57

http://slipkornt.cowblog.fr/images/LovehurtsbyAlephunky.jpgCeci est une réponse à l'article de 
morte-elle-ment sur l'Amour et ses souffrances.

Quelque soit la configuration dans laquelle on se trouve l'Amour fait mal.
Tu sais, je suis éperdument amoureuse de ma copine (tu t'en doutais peut-être d'ailleurs^^), et j'en souffre. J'ai mal de l'Aimer, je l'Aime si fort, de toute mon âme, de tout mon corps, j'ai l'impression qu'à chaque instant je risque l'implosion tellement ce que je ressens est puissant.
C'est réellement douloureux de l'Aimer mais elle comble un vide en moi et quand je suis avec elle je retrouve toute mon intégrité. 
Chaque seconde loin d'elle est une torture, je la voudrais avec moi en permanence. Et comme nous vivons une relation à distance, imagine...
Néanmoins je suis heureuse qu'elle m'Aime (rires). 
 
Lorsque je n'étais pas amoureuse, j'avais tout cet Amour accumulé en moi, emprisonné, comme un cri étouffé. Je souffrais beaucoup d'être remplie de tant d'Amour sans pouvoir le faire partager, c'était horrible, je le vivais très mal d'ailleurs. La solitude et les larmes qui en découlent...
Seulement j'attendais la bonne personne, je ne voulais pas donner ce que j'ai de plus précieux à n'importe qui. A force d'attendre, je perdais espoir, j'ai cessé de chercher et je l'ai enfin trouvée... Quand je pense qu'elle était juste là, sous mes yeux.
 
Autre possibilité, l'Amour à sens unique. D'ailleurs, contrairement à ce que l'on pourrait penser ce n'est pas toujours celui ou celle qui aime qui souffre le plus.
Voir, sentir quelqu'un nous aimer sans pouvoir lui retourner ce qu'il nous offre, ce peut être très frustrant, très culpabilisant.
 
Il existe évidemment des cas particuliers mais je crois que je vais m'abstenir cela pourrait prendre des siècles.
L'Amour me fascine, me passionne, je l'Aime malgré toute cette douleur (mais je suis un peu maso il faut dire).
 
Bon après je t'ai un peu fait le compte rendu de ce que j'ai pu ressentir, et je ne sais donc pas s'il est vraiment fidèle à la réalité étant donné que je suis plutôt hyper méga super sensible (faut aussi dire que je suis quelqu'un de très torturé, souvent déprimé, à croire que j'aime ça...).
 
Je voulais juste dire que quoi qu'il arrive l'Amour nous fera toujours mal, et pourtant quel cadeau... Quel paradoxe... Nous voilà tous baisés.

Ensuite, sommes-nous ou pas faits pour l'Amour ? 
Ma réponse serait que nous n'avons pas le choix quoi qu'il arrive alors inutile de se poser cette question.
Nous ressentons l'Amour, sous différentes formes. Il nous tombe dessus, il n'y a pas d'avertissement, pas de panneau "attention à la chute", et voilà, on tombe amoureux.
Après les circonstances et un paquet d'éléments font qu'on le vit plus ou moins bien, les ruptures plus ou moins douloureuses, ces Amours impossibles qui nous traînent vers le fond. 
Mais il y a aussi des aspects positifs, bien heureusement et ce qui fait toute sa beauté. Nous vivons des tas de choses magnifiques qu'on conserve précieusement dans notre coeur et dans notre mémoire.
On se dit que c'est si beau que le pire serait de tout perdre... Ca, c'est ce qui crée une sorte de stress, d'inquiétude parfois incompréhensible car on n'en connait pas la cause. Je parle du "je ne comprends pas pourquoi je ne me sens pas bien, j'ai tout pour être heureuse mais quelque chose cloche" (ce peut être dû à autre chose évidemment, mais il s'avère que c'est fréquent). On sait très bien au fond de nous que l'Amour est imprévisible et qu'il aime jouer des tours, il donne mais il lui arrive aussi de reprendre.

Quoi qu'il en soit, l'Amour n'est pas contrôlable, alors profitons-en, accrochons-nous, il ne faut pas avoir peur de le vivre à fond, il faut tout faire, il faut l'entretenir, ne le laissons pas faner, ne nous laissons pas distraire. Au moins s'il nous échappe, on ne pourra pas dire que nous n'avons rien fait.

Euh, je m'excuse, je suis un peu partie dans tous les sens, les idées me viennent spontanément, je pourrais écrire des heures sur l'Amour.
Néanmoins j'espère que cet article t'auras été utile, si tu souhaites en parler etc, n'hésite pas :)

SlipKoЯnT

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