slipkornt

Where Is The Truth?

Mardi 27 juin 2006 à 11:14

Où l'on se penche d'une fenêtre d'avion pour apercevoir dans le ciel du Tibet le vol de deux créatures que l'on ne pensait jamais voir sauf dans les légendes et les contes...




Nous sommes le 22 juin 2004. Un photographe amateur rentre tranquillement du Tibet où il était partie assister à une cérémonie d'inauguration de la voie de chemin de fer qui va de Qinghai à Xizang. Il prit un avion pour rentrer et il photographia la région au dessus de l'Himalaya. Et là sans s'en rendre compte il captura en photo deux formes bien étrange...


C'est en développant les photos qu'il se rendit compte qu'en bas a gauche d'une de ses photos l'on pouvait apercevoir deux corps allongés, tout les deux semblant recouvert d'écailles, le corps semblant s'affiner pour se terminer en pointe. Le corps semble assez serpentiforme ressemblant assez à la représentation classique des dragons asiatiques tel que l'on peut en voir dans les gravures. Hélas il n'y a qu'une photo et on ne voit que l'extrémité arrière de ces créatures.


Pour les chinois les dragons sont des créatures célestes très rare, et les légendes racontent qu'ils ont le don de disparaître et d'apparaître. Les dragons en Chine sont des créatures très importante, et on voit souvent des représentations de ces créatures pendant les fêtes traditionnelles. De façon classique le dragon chinois à le corps d'un serpent, les écailles et la queue d'un poisson des bois de cerf, la face d'un quilin (sorte de créature mythique ressemblant à un Daim), des serres d'aigles et des yeux de démon. Il semble que ces créature volent généralement au milieu des nuages. Même si nous sommes dans une description de créature mythique, il semble bien que dans le cas de cette photo, la description semble en tout point correspondre...


Au cours des siècles en Chine il y a eut de nombreux témoignage de gens ayant vu des dragon, même assez récemment pendant le mois d'août 1944 des témoins ont affirmé avoir vu un dragon noir s'écraser sur le village de Weizi. La famille Chen qui possédait ce village affirmait que ce dragon sentait le poisson et qu'il possédait des écailles un peu comme ceux des photos.



Regardez en bas à gauche


Même si l'on ne peut pas affirmé que ce soit vraiment un dragon, cela peut être une particularité géologique, ou bien un bâtiment, on est en présence d'une bien étrange photo. Au cours des siècles des témoins en ont vu, et l'Himalaya est grand est pas encore totalement exploré. Peut être avons nous eut ce jour là, la preuve que des créatures mythiques reprise par presque toute les civilisations de la planète volent encore dans nos cieux...


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Samedi 24 juin 2006 à 19:12

En 1885, Bérenger Saunière, jeune prêtre récemment ordonné, est nommé dans le petit village de Rennes-Le-Château dans l'Aude. Dix ans plus tard, il érige une tour néogothique, une superbe villa, il restaure à ses frais l'église Sainte-Marie-Madeleine alors en état de délabrement. Il dépense sans compter. Trésor légendaire, franc-maçonnerie, sociétés mystiques, voir géniale supercherie, à peu près toutes les explications possibles ont été avancées.



Selon la légende, le prêtre découvrit quelques parchemins dans la cavité d'un pilier de son église. Peu de temps après, l'abbé mit à jour une tombe au même endroit, remplie de pièces d'or si l'on veut bien croire la "rumeur". Pris par la folie des grandeurs, le prélat commença à réaliser des constructions d'envergure. Au point d'éveiller les soupçons de l'administration diocésaine qui après un procès retentissant priva l'Abbé Saunière de ses fonctions ecclésiastiques en 1909.


Mais un article paru dans la presse locale au milieu des années soixante allait redonner vie au mystère du prélat. Un savant mélange d'ésotérisme, de témoignages invérifiables et de mystérite aigüe se révéla suffisant pour créer un authentique engouement autour de l'affaire Saunière, également appelée le Mystère de Rennes-le-Château. La chasse au trésor dure toujours aujourd'hui: ils sont tous les ans des milliers à se rendre sur place, avec le rêve qu'il subsiste encore une partie du prétendu trésor !


Quelques esprits malins, à défaut d'apporter des explications rationnelles, ont déniché là un excellent moyen de se remplir les poches en publiant une kyrielle d'ouvrages soi-disant essentiels pour localiser le magot. A l'exception du livre de Jean-Jacques Bedu, intitulé "Rennes le Chateau, autopsie d'un mystère". Où l'on découvre avec stupeur que le prélat riche comme Crésus avait été condamné par la justice pour détournement de fonds du denier du culte. Le genre de détail capital qu'oublient bien volontiers les naïfs et les escrocs, qui vont souvent bien ensemble !


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Jeudi 22 juin 2006 à 21:41

Aujourd'hui la plupart des gens ont oublié Thelma Todd. Et pourtant cette ravissante actrice que l'on surnommait la « Ice Cream Blonde » a fait coulé beaucoup d'encre en son temps. Sa mort à l'âge de 30 ans dans des circonstances plus que mystérieuses demeure une énigme, et si cela fait plus de 60 ans que le drame s'est produit, il procurerait encore bien des sueurs froides puisque apparitions et évènements surnaturels se produiraient là où vivait l'actrice. La rumeur court à Hollywood, le fantôme de Thelma Todd hante la ville et il veut nous faire comprendre ce qui s'est passé cette terrible nuit du mois de décembre 1935. Flashback...


Lundi 16 décembre 1935. La police de Los Angeles pénètre dans la villa du réalisateur Roland West, perchée sur une colline qui surplombe la fameuse « Pacific Coast Highway », entre Santa Monica et Malibu. Dans le garage, à l'intérieur d'une Packard, les policiers découvrent le corps inanimé d'une jolie blonde de 30 ans, l'actrice Thelma Todd, surnommée la « Ice Cream Blonde ». Thelma Todd était née en 1905 dans le Massachusetts. Après de brillantes études, elle devint institutrice tout en arrondissant ses fins de mois en se présentant à des concours de beauté. C'est ainsi qu'elle fut repérée par un agent de la Paramount qui la fit engager en 1925. Thelma s'imposa rapidement dans le rôle de la belle femme espiègle et rusée dans les comédies. On la vit ainsi dans deux classiques des Marx Brothers : PLUMES DE CHEVAL et MONNAIE DE SINGE, dans NEVADA, un western avec Gary Cooper puis dans CORSAIR, un film de gangsters assez violent dirigé par son futur mari Roland West. Au moment de sa mort, elle venait de débuter le tournage de LA BOHEMIENNE, aux côtés de Laurel et Hardy.

Cause probable du décès : inhalation de monoxyde de carbone. A première vue, pas de doute, il s'agit d'un suicide classique, elle s'est enfermée dans sa voiture et a laissé tourner le moteur pour inhaler le gaz mortel. Certes la suicidée était une actrice riche et célèbre à qui tout réussissait mais personne n'est à l'abri d'une dépression. Et puis la réussite sociale cache parfois une vie privée désastreuse. Et n'était-ce justement pas le cas de Thelma Todd qui ne filait plus le parfait amour avec son mari Roland West, et qui s'était disputé avec son ex-mari, à une réception hollywoodienne, quelques heures à peine avant sa mort ? Seulement voilà, Thelma Todd n'a laissé aucun mot pour expliquer son acte. De plus, on a retrouvé des tâches de sang sur les vêtements de l'actrice. Plutôt surprenant pour un suicide « propre ». Et puis le médecin légiste, chargé d'examiner le cadavre, fit des découvertes encore plus troublantes. Le corps de Thelma Todd était couvert de bleus, plusieurs côtes étaient cassées, et son visage n'avait pas été épargné : son nez et l'une de ses dents avaient été brisés. Difficile de croire à un suicide après de telles révélations. Alors s'il y a eu meurtre, qui est le coupable ? C'est ce que les enquêteurs ont tenté de déterminer, en vain.

e mari arrivait en tête sur la liste des suspects car il était le dernier à avoir vu Thelma vivante. Il avait également reconnu avoir eu une violente querelle avec sa femme lors de la nuit fatidique. Enfin, lors de son interrogatoire, il semblait se contredire. Bref, il avait tout du coupable idéal mais un bon alibi lui permit d'être acquitté lors du procès. Qu'à cela ne tienne, le procureur tenait un autre suspect en la personne du célèbre gangster Lucky Luciano. Luciano s'intéressait de près au « Roadside Rest Café », le bar de Thelma Todd. En effet, le Roadside était fréquenté par les stars de cinéma et Luciano, qui souhaitait s'attaquer au marché californien, avait le projet d'y installer un tripot clandestin de luxe à l'étage. Mais lorsqu'il était venu faire sa proposition à Thelma Todd, l'actrice l'avait envoyé promener avec causticité. Le gangster était reparti furieux. Etait-il le coupable ? C'est fort possible mais l'enquête du procureur fut stoppée nette par son supérieur. Affaire classée. Faute de preuve, la justice décida que Thelma Todd s'était suicidée.

Thelma Todd fut enterrée au « Forest Lawn Cemetery ». La foule vint en nombre, ce jour-là, glisser un œil dans le cercueil ouvert où le corps de l'actrice reposait, couvert de roses jaunes. Roland West, le mari de Thelma Todd, ne tourna plus jamais de film après cette affaire. Il mourut en 1952. Lucky Luciano est mort d'une crise cardiaque en 1962. La mort de Thelma Todd demeure un mystère. Et c'est peut-être pour cette raison, que les employés de la société de production qui se trouve dans les locaux où était autrefois le Roadside Rest Café auraient aperçu le spectre de la « Ice Cream Blonde ». Peut-être doit-on aussi voir dans ce meurtre insoluble la raison pour laquelle, sur les lieux du crime, on pourrait parfois entendre, sans explication, le son d'un moteur de voiture qui tourne, ou sentir l'odeur entêtante du monoxyde de carbone…


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Mardi 20 juin 2006 à 20:05


Ca y est! j'ai le new DVD de KoRn!! Il est super et le must c'est les sous-titres en français! (pour une fois, je comprends ce qu'ils racontent Mdr!)


PROGAMME:


Intro (Jolie intro! tout en douceur!)
Here To Stay
Twist
Got The Life
Liar
A.D.I.D.A.S.
Coming Undone
Dirty
Falling Away From Me
Twisted Transistor
Did My Time
Shoots And Ladders
One
Another Brick In The Wall / Goodbye Cruel World
Blind
Somebody Someone
Hypocrites
Y'all Want A Single


BONUS:


See You On The Other Side (les gagnants du concours Mtv Europe avec le concert dans l'avion...)
See Who's On The Other Side (KoRn raconte le "création" du dernier album)
Coming Undone (ben Coming Undone lol!)
Juke Box (ben tu choisis le titre que tu veux voir mdr)

Samedi 17 juin 2006 à 21:04

   Il existe de par le Monde, un nombre étonnant de faits anciens, qui dans l'état actuel des connaissances, ne s'expliquent pas, comme par exemple, les murs cyclopéens de Bimini, découverts en 1969 dans les Bahamas, les fabuleuses cartes du monde de Piri Reis de 1513 et 1528, découvertes lors d'un inventaire le 9 novembre 1929 au musée de Topkapi à Istambul en Turquie, les surprenants tracés de la plaine de Nazca dans les Andes péruviennes, dont certains font près de 15 km de long. Mais les boules parfaites de granit d'une moyenne de 12 tonnes, découvertes dans les forêts du Costa Rica, représentent aussi jusqu'à, nouvel ordre, une fantastique énigme dont la science officielle aura bien du mal à trouver la solution.


De par le monde, on découvre souvent disséminés au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières des objets de formes géométriques parfaites comme des oeufs, des cercles ou des sphères. On en a, par exemple, découvert des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio et le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre " Les fils du soleil " a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, un gigantesque œuf de pierre de 100 m de long et 30 m de haut , couvert de symboles solaires et qui n'est pas, a dit cet archéologue, un "caprice de la nature", mais qui a nécessité un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes. Mais la véritable sensation archéologique, qui nous interpelle maintenant, nous dit le célèbre l'explorateur suisse Erich von DÄNIKEN dans son remarquable ouvrage "Retour aux étoiles" publié chez R. Laffont en 1971 ou plus récemment chez J'ai Lu (numéro A 322) , attend toujours d'être déchiffrée, dans le petit État du Costa Rica, en Amérique Centrale.


    En effet au milieu de la jungle, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées çà et là, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée parait-il (nous aimerions bien en voir une photo) pèse environ 30 tonnes (Voir à ce sujet la page 303 du livre de Gérard DEMARCQ :Les PARATERRESTRES Editions RAMUEL Juin 1997.)


    Voici donc des modèles de boules parfaitement sphériques déposées sur une place publique:






    Vous pouvez aussi en découvrir au Musée:





    Et elles sont surtout nombreuses en pleine forêt:





    Vous avez aussi bien sûr, celle de 12 tonnes, que montre notre page répertoire, et qui est analysée par le Dr Stirling et sa femme:





    Ces boules admirables sont-elles un caprice de la Nature ? Certaines d'entre elles sont-elles des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d'un volcan ? S'agit-ilde galets géants qui oraient roulé dans le lit d'une tivière durant des siècles et à qui la puissance de l'eau aurait donné cette forme sphérique parfaite ?


    Erich Von DÄniken nous avoue en avoir découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en groupes au sommet de diverses collines. Certaines boules étaient toujours placées au centre de l'axe de la colline. Il en a aussi trouvé des troupeaux groupés selon un ordre étrange, dans la vase d'un fleuve, et dans la plaine de Diquis, où règne une chaleur torride, il découvrit 45 de ces boules qui cuisent au soleil.
  


    Erich Von DÄniken nous précise surtout qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 km en Landrover, dans une jungle hostile, où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa, à un certain moment, d'aller plus loin. Et pendant encore une heure de marche, aidé d'un guide expérimenté qui courrait devant lui pour écarter les araignées géantes aux morsures mortelles, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement parce que ces boules de Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d'aller les filmer". En effet, il faudra bien se poser alors la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels et remontent à n'en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle.

      Trois possibilités s'offrent alors à nous :

  - Soit que ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste à définir), il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine ( puisse qu'il n'en existe aucune à moins de 100 km dans la région ), dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 m de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes, (une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait ), puis on doit alors penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les embûches de la forêt, et abandonnées là,  de plus pour une raison incompréhensible.

 - Soit que, et cela dépasse de loin les thèses officielles, que ces boules été placées là, avant l'arrivée de cette forêt ce qui nous place, dans des temps plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère.
- Soit encore plus fort, ce sont les dieux dont parlent tant de mythologies qui avec leur technologie supérieure ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l'existence réelle même de ces dieux est sujette à caution, dans notre enseignement universitaire.


   L'un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean Sendy auteur de l'ouvrage surprenant:"La Lune clé de La Bible" paru chez l'Éditeur Julliard en 1968 et en collection de poche J'ai lu 208 en 1974 et on peut dire ainsi qu'il a initialisé une nouvelle discipline (non encore officielle) que l'on appelle l'Astroarchéologie.   


     Il est vrai en effet, que l'on a aujourd'hui, aucune explication de la part des archéologues sur les habiles sculpteurs et sur les techniques qu'ils ont utilisées pour réaliser ces superbes boules du Costa Rica dont ont a constaté, que les irrégularités qu'elles présentaient était souvent infimes. La perfection de ces objets montre effectivement que les artisans qui les ont fabriqué, connaissaient bien la géométrie spatiale et avaient à leur disposition des instruments techniquement bien conçus. En effet, à notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 m de diamètre qui représente environ une aire de 5 m2 et un volume de 8 m3, dans une roche aussi dure que le granit, qu'en utilisant des machine-outils programmables très perfectionnées.
  


    Il nous reste donc qu' à découvrir vraiment comment ces extraordinaires artisans sont arrivés à réaliser ces objets avec une telle maîtrise et de plus comment certaines boules ont été transportées jusqu'au sommet d'une montagne ou encore, on l'a déjà évoqué en pleine forêt vierge et dans quel but. Une légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil. Mais les archéologues rejettent cette interprétation, car d'après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue, ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas, que chez les Mayas ou les Aztèques. D'ailleurs les indigènes eux mêmes répugnent à conduire les visiteurs sur les lieux où se situent ces boules parfaites car ils les considèrent comme des objets sacrés et dont les emplacements sont des sanctuaires tabous.

  


    Quelques rares boules ont été sculptées, mais l'interprétation des symboles gravés ne fait pas l'unanimité, on s'en doute :


  

Cette pierre brisée en deux morceaux possède un hémisphère sur lequel les chercheurs pensent
reconnaître la réprésentation d'une constellation.


 En 1940, l'United fruit Company défricha les marais et les bois au pied de la Cordillera Brunquera, dans le territoire du Rio Diquis et à cette occasion l'archéologue Doris Z. Stone découvrit de nombreuses boules parfaitement sphériques artificielles. Elle rédigea un rapport détaillé se terminant par cette constatation tout à fait résignée:

  "Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables."


    Voilà donc encore, un élément insolite qui ne peut que nous inviter une fois de plus, à nous interroger sur l'extraordinaire passé des civilisations disparues, dont les seules vestiges en pierre, découverts de nos jours, représentent déjà pour nous, un inconcevable mystère.


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