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Where Is The Truth?

Lundi 25 septembre 2006 à 19:19

Marie Besnard, la damnée de Loudun

En 1949, elle est inculpée pour l'empoisonnement de douze de ses proches. Cette grande énigme judiciaire est l'objet d'une fiction avec dans le rôle de Mme Besnard, Muriel Robin. Téléfilm en deux parties, la suite lundi prochain (snifff!).

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Muriel Robin incarne Marie Besnard dans ce film

Ce soir sur http://slipkornt.cowblog.fr/images/tf11.gif (dite la chaine des moutons mais qui malgré tout propose parfois de bons programmes) à 20h50

La petite ville de Loudun, dans la Vienne, avait déjà eu son "sorcier", Urbain Grandier mort sur le bûcher en 1634. Trois siècles plus tard, elle a son "empoisonneuse" : Marie Besnard. Cette quinquagénaire décrite par les experts comme "anormalement normale" fut soupçonnée d'avoir tué douze personnes de sa famille.

L'affaire commence le 25 octobre en 1947, dans la France blessée de l'après-guerre. Léon Besnard, cordelier, décède après une longue agonie. "Crise de foie", conclut le médecin. Pour la rumeur publique, la même qui a conduit Urbain Grandier au bûcher, c'est l'œuvre de Marie Besnard qui a "mis quelque chose dans la soupe de son mari".

Les "bouillons de 11 heures"

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Le 21 juillet 1949, Marie Besnard est incarcérée. La rumeur enfle. Les on-dit et phrases chuchotées se répandent. Un seul sujet : les douze décès suspects dans son entourage depuis 1938. On écume les cimetières, on exhume les cercueils, on cherche tout ce qui peut concourir à établir que la veuve Besnard ne s'en est pas tenue à verser seulement une fois ses "bouillons de 11 heures" ou ses "poudres de succession", comme on appelait les mixtures propres à hâter la fin de ceux qui tardaient trop à satisfaire les "espérances" de leur descendance.

Les experts trouvent sur les cadavres ce qu'ils cherchent: de l'arsenic: 60 mg dans celui de son premier mari, 36 mg dans celui de son père, 48 mg dans celui de sa mère... Marie Besnard gagne son surnom d"empoisonneuse du siècle". Le fait divers devient affaire. Le feuilleton judicaire mobilisera la France entière pendant plus d'une décennie.

Elle a toujours nié

En 1952, son premier procès s'ouvre à Poitiers mais tourne rapidement à la polémique entre toxicologues. Les avocats de Marie Besnard parviennent à semer le doute sur le sérieux des examens. 1961. Après douze années d'instruction, cinq années de prison, trois procès, treize exhumations, de multiples interrogatoires et mains rapport de toxicologie, Marie Besnard est acquittée. Elle retournera dans sa ville natale y finir sa vie, passant du statut d'"empoisonneuse du siècle" à celui de "la bonne dame de Loudun".

Loudun où l'on a chanté pendant près d'une décennie, sur l'air de la Paimpolaise, une complainte en trente-quatre couplets, œuvre d'un rimailleur local qui se taillait un certain succès : "La bonne ville de Loudun/Célèbre par Urbain Grandier/Se réveilla un beau matin/Avec sa super Brinvilliers/Une femme assassin Pire que la Voisin..." Coupable ou innocente ? Marie Besnard a toujours nié. L'affaire restera l'une des plus grandes énigmes judiciaires françaises du XXe siècle.
 

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Dimanche 24 septembre 2006 à 0:05

Des piles électriques dans l'antiquité ? là vous allez me dire qu'il faudrait que je revois mon histoire car c'est Benjamin Franklin qui fit le premier des experiences incluant l'électricité et c'est Alessandro Volta qui inventa la première pile électrique en 1800. Alors voyons de quoi parle cet article si vous le voulez bien.

Le début de cette histoire commence en Irak (certaines sources avance la date de 1936 et d'autre 1938) ou un autrichien du nom de Wilhelm König (certaines sources le dise archéologue et d'autre ingénieur des travaux public) aurait découvert cet étrange objet ( là aussi deux versions : certaines sources prétendent que l'objet a été découvert au cours de fouilles et d'autres avancent l'hypothèse qu'il fût découvert au fond des caves du musée de Bagdad ). Il se peut également que cette jarre fut exhumée lors de fouilles et que les archéologues l'ayant classé comme « poterie » sans plus d'intérêt, fût placée dans une boite et rangée sur une etagère au fin fond des caves du musée et que part la suite, monsieur König l'ai redécouverte. Nous sommes donc, une fois de plus, en présence d'un objet entouré de mystère : on ne sait pas exactement comment ni où ni même par qui il fut découvert, nous avons donc tout les élements réunis pour discréditer cet objet, le classé comme faux et tourner la page n'est ce pas ? mais avant de tourner cette page, voyons les éléments que nous avons :

DESCRIPTION :
Il s'agit d'un petit vase en terre cuite de 15 centimètres de hauteur sur environ 7,5 centimètres de diamètre fermé par un bouchon bitumeux.
Emergeant du bouchon , une tige en fer est insérée à l'intérieur d'un cylindre en cuivre et isolée de celui-ci à sa base par un tampon en bitume ; le cylindre de cuivre étant soudé avec son capuchon par un alliage plomb/étain.

En voici un schéma pour plus de compréhension:


1 : Tige en fer.2 : Bouchon en asphalte.3 : Vase en terre cuite.4 : Electrolyte.5 : Cylindre de cuivre.6 : Tampon isolant en asphalte.7 : Capuchon en cuivre. 8 : Fil de masse


 Mais à quoi peut bien servir un tel montage ?


Pour ceux qui ont quelques connaissances en électricité la réponse est évidente, pour ceux qui ne voit pas, je vous met sur le chemin : un récipient non conducteur ( vase en terre cuite), une anode et une cathode ( fer et cuivre) le tout bien isolé ( bouchon d'asphalte) il ne reste plus qu'à remplir d'acide et nous obtenons ce que l'on nomme courramment « une batterie ».
D'ailleurs, différents spécialistes ont reproduit la pile et ont utilisés du jus de raisin comme électrolyte,ils ont ainsi obtenu un courant électrique, suivant les expérimentateurs, entre 0,5 et 1,5 volts. Les plus sceptiques diront alors « mais à quoi cela pouvait leur servir, ils n'avait pas d'ampoules électriques » la solution est peut être à chercher ailleurs, en effet il apparaît que le cylindre de cuivre porte une patine bleue, or cette patine est caractéristique de la galvanoplastie à l'argent. En d'autre terme il s'agit de réaliser un placage d'argent sur un autre métal. Ce qui fait penser à H.schiellman qui , lors de fouille,découvrit des bijoux dorés par catalyse. Ce qui implique la nécessité d'un courant électrique afin de réaliser cette opération. on a retrouvé également des vases en cuivre plaqués argent dans un site Sumérien vieux d'au moins 2500 ans av. J.C. d'autres objets furent découvert notamment en 1850 par M. Mariette près du sphinx, (vases et bijoux dorés à l'or) , font penser également à l'usage de la galvanoplastie car les couches sont parfaitement uniformes, sans trace de travail manuel. D'ailleurs cet objet est loin d'être unique, en effet plusieurs de ces piles ont été trouvées dans les ruines de Khujut Rabu, ville Parthe, aux alentours de Bagdad. Dix autres piles furent découvertes plus tard à Ctesiphon.




ALORS, CES PILES, VRAIES OU FAUSSES ?

voyons les différentes hypothèses qui s'offrent a nous:

cette pile est fausse:

1. Il s'agit de la géniale mise en scène d'un internaute farceur ou amateur de mystères qui a inventé cette histoire de toutes pièces en créant de belle photos des jarres et de faux articles de presse pour coroborrer son mensonge. le tout dans l'unique but de rendre son site plus attractif. Cet article ayant eu enormément de succès, d'autre internautes l'on reprit sur leur propre site sans en vérifier la nature.
2. Wilhelm König a mis au point ce stratagème pour avoir du succès, que l'on parle de lui ou pour obtenir ou justifier ses subventions. il aurait bricolé un petit vase lui même et l'aurait caché dans les caves du musée pour le redécouvrir miraculeusement.

cette pile est vrai:

1. Il s'agit de la découverte isolé d'un artisan de génie de cette époque qui, avec le peu de moyens dont il disposait, a réussi a construire la toute première pile electrique de l'histoire avec un vase en terre cuite rempli de vinaigre (acide) dans lequel plonge deux tiges metalliques (fer/cuivre) isolé l'une de l'autre.
2. il ne s'agit pas d'une découverte isolé, ce genre d'objet etait courant a cette époque dont le secret ce serait perdu pour être redécouverte plusieurs milliers d'années plus tard. cette pile représente t'elle les restes d'une technologie beaucoup plus ancienne qui a perdurée, transmise religieusement de père en fils, d'artisan en artisan tel un secret jamousement gardé et reservé aux initiés qui aurait finalement disparut faute de descendance ou suite à un guerre ?

Jugez par vous même...


quelques liens vers le même sujet :

http://www.ping.be/at_home/pile.htm ( technique des piles )
http://unmuseum.mus.pa.us/bbattery.htm ( en anglais)
http://www.smith.edu/hsc/museum/ancient_inventions/battery2.html ( en anglais)
http://www.tmeg.com/artifacts/elect/a_elect.htm ( en anglais)

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Mardi 19 septembre 2006 à 23:04

Connue sur les cartes sous le nom de Foret de Paimpont, la foret de Brocéliande renferme quelques mystères. Elle est située en Bretagne armoricaine à environ 30 minutes de Rennes, direction Vannes. Donc l'opportunité s'offre à vous si vous voulez vous y rendre.
Terre venue du fond des temps, terre qui a gardé son identité, ses racines, ses couleurs et ses mystères, Brocéliande est un site naturel de 7000 hectares, site préservé, traversé par la Légende de Merlin et les prouesses des Chevaliers de la Table Ronde réunis autour du Roi Arthur en quête du Graal...


Cette forêt cache Lutins, Elfes, Korrigans et autres êtres mythiques.
Voici une présentation des Korrigans :
Race de nains dont l'origine dans nos contrées reste mystérieuse, ils sont, selon certains, progéniture de fées ou, selon d'autres, issus de la décomposition du "géant primordial"...
Quoi qu'il en soit, sous ce vocable de Korrigan, se cachait une nuée de petits êtres aux apparences multiples. Vivants en bonne intelligence avec les hommes qui les respectaient et les craignaient, ils étaient les génies du terroirs, protecteurs de la nature et de ceux qui la servaient. Avec l'apparition du christianisme les korrigans sont de moins en moins considérés voir plus du tout. Parfois maussades, toujours espiègles, souvent cruels, ils n'ont maintenant de cesse, pour la plupart d'entres eux, de faire payer aux hommes la désaffection dont ils ont fait l'objet.
Donc s'il vous arrive de croiser un Korrigan lors de votre visite à Brocéliande méfiez-vous de lui. Munissez vous donc de protections telles qu'amulettes, talismans ou autres…(voir partie Occulte)
Passons maintenant à une brève visite des principaux lieux de la forêt…

Le Val sans retour : La sœur du roi Arthur, la fée Morgane, qui de dépit amoureux (le chevalier qu'elle aime lui préfère une vieille sorcière méchante), retient prisonniers les deux amants dans une prison d'air. Cette prison est le Val Sans Retour. Tout homme qui y pénètre n'en ressort pas s'il a été infidèle à sa femme, ne serait-ce qu'en pensée.
Un jour, Lancelot, amoureux de Guenièvre la femme d'Arthur, y entre pour délivrer un damoiseau. Il remporte un succès. Morgane libère tous ses prisonniers. Sa vengeance est terrible : elle envoûte Lancelot et le retient enfermé dans un manoir, d'où il arrive à s'échapper...

Le Château de Comper : Lieu de maints combats, particulièrement aux XIVe et XVIe siècles, Comper a appartenu aux barons de Gaël, aux comtes de Laval, aux Coligny, à la famille de Charette. Pourtant l'histoire n'est pas seule à régner en ces lieux. La légende de la fée Viviane et de ses amours avec Merlin habite Comper, et sous les eaux du grand étang il arrive que l'on aperçoive le palais de Cristal que l'enchanteur construisit un jour pour sa dame du Lac où elle y éleva Lancelot du Lac. Il est situé au nord de la forêt de Brocéliande.

Le tombeau de Merlin : Il est vrai qu'à la première impression le tombeau de Merlin peut nous laisser perplexe…
Aujourd'hui, le Tombeau de Merlin ne se compose plus que de deux dalles de schiste rouge, perpendiculaires, adossées à un vieux houx.
L'ensemble des pierres qui forment un cercle ajoute une certaine magie
De nombreuses personnes font des offrandes à Merlin via sont tombeau.
Les arbres croisent leurs branches pour former un M ou un E, Merlin l'Enchanteur? Merlin est à jamais retenu dans une prison d'air que sa belle fée Viviane a tracé de 9 cercles magique autour de lui.
Merlin n'est pas mort son esprit erre toujours en Brocéliande mais son corps reste prisonnier des charmes de Viviane.

La fontaine de Jouvence : Cette fontaine servait de baptême et l'eau permettait de faire le passage vers l'ailleurs vers le pays magique de Brocéliande. Elle permettait de faire la jonction entre le corps et l'esprit, de prendre conscience de notre âme. Elle permettait d'aller chercher des informations dans notre corps mental faisant parti de notre immortalité. Cette fontaine permettrait de nous souvenir de nos incarnations précédentes et de notre évolution.
Aujourd'hui elle ne présente qu'un modeste trou d'eau de forme irrégulièrement arrondie.
Le mythe de La fontaine de jouvence vient sûrement du fait qu'autrefois les fontaine servait de lieu de recensement des enfants nés pendant l'année mais si des enfants n'était pas recensé ils le seraient l'année d'après et seraient rajeunis d'un an vu qu'il n'était pas noté sur le « Marith » (registre).
Après cette brève description, passons aux phénomènes dont fait l'objet Brocéliande…

Selon certains la forêt de Brocéliande renfermerai une puissante énergie.
En effet, beaucoup de druides s'y rendre pour pratiquer leurs rituels, ainsi que des sectes sataniques…
En bref même si cette forêt ne présente rien de magique à vu d'œil beaucoup de groupes de personnes y ressentent une certaine présence. Peut-être que l'âme de Merlin qui y ère toujours serait responsable de cette puissance magique…

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Dimanche 17 septembre 2006 à 16:25

Je vous propose donc de suivre une série de nouvelles consacrées aux comportements, émotions... de serial killers. Après avoir lu livres et articles, regardé documentaires et films sur les SK je pense être apte à entamer ma période d'écriture. Sans perdre de temps et vous faire patienter plus longtemps, voici la première nouvelle intitulée Les frissons qui m'enchaînent (p.s: c'est écrit à la première personne uniquement dans le but de sentir les sensations d'un SK, ceci n'est en aucune façon autobiographique! JE PRECISE!! lol)

    Ce jour là, je m'apprêtais à sortir, lorsque le téléphone se mit à sonner. C'était mon père, il m'appelait pour me rappeler que ce samedi nous devions nous rendre à Plaindfield dans la banlieue Nord de Chicago. Mon père et moi avions pour habitude de faire les brocantes et autres marchés ensemble de façon à trouver de vieux meubles ou objets à retaper afin de les revendre par la suite. Nous avons toujours vécu dans la misère et tous les moyens étaient bons pour se faire un peu d'argent… Ma mère, elle n'était jamais à la maison, c'est tout juste si je me souviens de son visage. Je la haïssais, les seules fois où je la voyais elle était toujours au même endroit, sur la 25 ème rue près de la boutique de prêteur sur gage à attendre des clients. Parfois je rêvais même de la tuer, elle me répugnait. Malheureusement c'est un cancer qui l'a emportée, en tous cas, c'est ce que mon père m'a dit… A chaque voyage avec mon père les souvenirs de cette enfance pitoyable me rappellent ma mère et je ne peux m'empêcher de sentir monter en moi cette haine.
    En raccrochant le combiné je me sens étouffer comme à chaque fois que cette pute envahie mes pensées. Je prends alors ma veste et je pars pour la 25 ème rue. Durant le trajet dans la voiture je dégouline de sueur malgré les 5°C en cet hiver, je suis oppressé et je frissonne, je ne cesse de répéter « je vais la tuer cette pute », je sais que si je ne fais rien je vais finir par exploser.
    J'arrive enfin devant la rue, je vois une fille qui semble attendre sur le trottoir, je m'approche avec la voiture, je baisse la vitre de la voiture puis j'ouvre la portière, elle entre dans le véhicule. Nous roulons jusqu'au pont Michigan, tout le long du chemin il me semble qu'elle me parle mais je n'entends rien, je commence à avoir mal à la poitrine, l'anhélation semble prendre possession de mon corps. Nous arrivons enfin, j'arrête le moteur puis je m'empresse de saisir le couteau situé sous mon siège, je sens que si je ne la tue pas immédiatement c'est moi qui vais mourir. Je l'empoigne par les cheveux et son regard se met subitement à changer, elle m'implore de la laisser en vie et quelle ne parlera de moi à personne mais je ne peux pas accepter, je suis obligé de le faire, je suis obligé de la tuer. Je tranche sa gorge et puis je lèche la lame, je ne sais pas pourquoi je fais ça, c'est comme ça. Ensuite je la viole et je jette son corps dans le lac. Je me sens tellement bien, tellement apaisé, comme à chaque fois. Je repars du lieu du crime soulagé, libéré de tout ces frissons qui m'enchaînent…

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I'm not a Serial Killer