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Mardi 16 septembre 2008 à 0:10

 

Antoine - L'enquête piètine!
envoyé par SlipKoRnT


La disparition du petit Antoine
Le petit Antoine Brugerolle de Freysinette, 6 ans, habitant 1 rue des fours à Issoire (centre-ville), a disparu. Toute personne qui aurait aperçu Antoine est priée de contacter la gendarmerie d'Issoire au 04.73.89.80.80, de composer le 17 ou le 112!

FAITES TOURNER =)


Partie 1:
http://www.dailymotion.com/video/x6rbgb_antoine-a-disparu_news

Dimanche 14 septembre 2008 à 23:48

 

Dimanche 14 septembre 2008 à 21:03

 

 


 

La disparition du petit Antoine

 

Le petit Antoine Brugerolle de Freysinette, 6 ans, habitant 1 rue des fours à Issoire (centre-ville), a disparu de son domicile depuis jeudi soir. Toute personne qui aurait aperçu Antoine jeudi soir ou ce vendredi est priée de contacter la gendarmerie d'Issoire au 04.73.89.80.80 ou de composer le 17.

Le 14/09/08

Un hélicoptère équipé d'une caméra thermique a été utilisé dimanche à Issoire afin de retrouver Antoine. Le volet judiciaire passe toutefois au premier plan. Le parquet a ouvert une information judiciaire, samedi, pour enlèvement et séquestration

Ce soir, le petit Antoine, âgé de 6 ans, disparu depuis jeudi soir à Issoire n'avait toujours pas été retrouvé. Au troisième jour de recherches infructueuses de nombreuses questions se posent.

Où en sont les recherches sur le terrain ? Hier, environ 30 gendarmes étaient toujours déployés autour d'Issoire afin de fouiller à nouveau des endroits déjà passés au peigne fin, vendredi et samedi. Il s'agit notamment de vérifier que le petit Antoine n'a pas trouvé refuge, après le premier passage des gendarmes, dans les zones industrielles des Listes et Lavaur La Béchade et dans les hangars qui y sont implantés.

Un hélicoptère équipé d'une caméra thermique est venu d'Hyères (Var), samedi. Les mauvaises conditions météorologiques de la nuit de samedi à dimanche et de la matinée de dimanche ne lui ont pas permis de décoller avant 12 h 30 hier. Il a survolé Issoire et un large périmètre alentour. Une dizaine de pompiers de l'équipe cynophile étaient également mobilisés afin de ratisser les zones qui ne peuvent pas être vues du ciel.

Dimanche soir ces recherches étaient toujours vaines.

Quelles sont les avancées de l'enquête judiciaire ? Depuis samedi, l'enquête judiciaire a supplanté celle de terrain. « Plus le temps passe, moins la fugue est crédible », a indiqué le procureur de la République, Jean-Yves Coquillat, dimanche matin. D'ailleurs, samedi, une information judiciaire pour enlèvement et séquestration de mineur de moins de 15 ans a été ouverte par le parquet de Clermont-Ferrand dans le bureau du doyen des juges d'instruction, Jean-Christophe Riboulet.

La section de recherches de la région Auvergne est saisie des investigations. « Personne n'a été placée en garde à vue jusqu'alors, a affirmé le procureur de la République. Nous ne cherchons personne en particulier ».

Alors que le procureur de la République tenait une conférence de presse, les gendarmes ont bouclé la rue des Fours et inspecté, de nouveau, le domicile d'Alexandrine Brugerolle de Fraissinette, la mère d'Antoine. En fin d'après-midi, c'est le domicile de Sébastien Ribière, le nouveau compagnon de la mère d'Antoine qui a été passé au peigne fin.

Les enquêteurs s'attachent notamment à déterminer ce qui a poussé Antoine à quitter le domicile familial. « Dans ce milieu, l'école n'est pas la préoccupation première », a expliqué Jean-Yves Coquillat. Il semble qu'une vive explication entre la mère et son fils ait eu lieu quelques minutes avant qu'Alexandrine et son compagnon ne laisse Antoine seul, pour aller au restaurant. Une thèse vérifiée et confirmée par les gendarmes.

« Aucun témoignage crédible ne permet de dire que l'enfant a été vu depuis le 3 septembre », explique le procureur pourtant largement interrogé sur la date exacte de la dispariton lors de la conférence de presse. Il a été malade, atteint d'une gastro-entérite mais sa mère affirme l'avoir soigné seule. Mais on part peut-être avec un peu de retard... ». (...)

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Vendredi 1er juin 2007 à 21:46

Un bébé mammouth dans un état de conservation exceptionnel a été découvert dans la péninsule de Iamal, dans le nord de la Russie, a annoncé lundi à l'AFP la directrice adjointe du musée Chemanovski à Salekhard.

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«Il a été trouvé sur le fleuve Iouribeï, dans la péninsule de Iamal. Il était couché sur la rive. Son état de conservation est absolument unique. Il n'y en a pas un autre comme ça dans le monde», a affirmé Natalia Fedorova, la directrice adjoint du musée, contactée par téléphone.

C'est un éleveur de rênes du peuple Nenets du nord de la Russie, Iouri Khoudi, qui a découvert l'animal à la mi-mai encore congelé par le permafrost quelque 10 000 ans après sa mort, a expliqué Mme Fedorova.

Une commission de paléontologues, «peut-être internationale», va être constituée pour l'étudier, a-t-elle précisé.

«Il est entièrement conservé. Il a les yeux fermés parce qu'il est mort depuis 10 000 ans mais ses petites oreilles, sa trompe, tout est là», a raconté Mme Fedorova.

«Il a dû rouler de la rive haute cet automne et être emporté par les eaux. Il est gelé et nous le gardons au frigo, dans un congélateur spécial», a-t-elle expliqué. Le mammouth a été amené à Salekhard par hélicoptère.

Le petit animal a une hauteur au garrot de 1,75 mètre et l'on ne peut pas pour le moment savoir s'il s'agit d'une femelle ou d'un mâle, a précisé la responsable.

Il s'agit du troisième jeune mammouth ainsi retrouvé en Russie. Un bébé de trois à quatre mois avait été découvert dans cette même péninsule de Iamal dans le Grand nord russe il y a une vingtaine d'années et un autre avait été trouvé en Iakoutie, en Sibérie, tous deux moins bien conservés que ce dernier, a rappelé Mme Fedorova.

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Lundi 25 septembre 2006 à 19:19

Marie Besnard, la damnée de Loudun

En 1949, elle est inculpée pour l'empoisonnement de douze de ses proches. Cette grande énigme judiciaire est l'objet d'une fiction avec dans le rôle de Mme Besnard, Muriel Robin. Téléfilm en deux parties, la suite lundi prochain (snifff!).

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Muriel Robin incarne Marie Besnard dans ce film

Ce soir sur http://slipkornt.cowblog.fr/images/tf11.gif (dite la chaine des moutons mais qui malgré tout propose parfois de bons programmes) à 20h50

La petite ville de Loudun, dans la Vienne, avait déjà eu son "sorcier", Urbain Grandier mort sur le bûcher en 1634. Trois siècles plus tard, elle a son "empoisonneuse" : Marie Besnard. Cette quinquagénaire décrite par les experts comme "anormalement normale" fut soupçonnée d'avoir tué douze personnes de sa famille.

L'affaire commence le 25 octobre en 1947, dans la France blessée de l'après-guerre. Léon Besnard, cordelier, décède après une longue agonie. "Crise de foie", conclut le médecin. Pour la rumeur publique, la même qui a conduit Urbain Grandier au bûcher, c'est l'œuvre de Marie Besnard qui a "mis quelque chose dans la soupe de son mari".

Les "bouillons de 11 heures"

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Le 21 juillet 1949, Marie Besnard est incarcérée. La rumeur enfle. Les on-dit et phrases chuchotées se répandent. Un seul sujet : les douze décès suspects dans son entourage depuis 1938. On écume les cimetières, on exhume les cercueils, on cherche tout ce qui peut concourir à établir que la veuve Besnard ne s'en est pas tenue à verser seulement une fois ses "bouillons de 11 heures" ou ses "poudres de succession", comme on appelait les mixtures propres à hâter la fin de ceux qui tardaient trop à satisfaire les "espérances" de leur descendance.

Les experts trouvent sur les cadavres ce qu'ils cherchent: de l'arsenic: 60 mg dans celui de son premier mari, 36 mg dans celui de son père, 48 mg dans celui de sa mère... Marie Besnard gagne son surnom d"empoisonneuse du siècle". Le fait divers devient affaire. Le feuilleton judicaire mobilisera la France entière pendant plus d'une décennie.

Elle a toujours nié

En 1952, son premier procès s'ouvre à Poitiers mais tourne rapidement à la polémique entre toxicologues. Les avocats de Marie Besnard parviennent à semer le doute sur le sérieux des examens. 1961. Après douze années d'instruction, cinq années de prison, trois procès, treize exhumations, de multiples interrogatoires et mains rapport de toxicologie, Marie Besnard est acquittée. Elle retournera dans sa ville natale y finir sa vie, passant du statut d'"empoisonneuse du siècle" à celui de "la bonne dame de Loudun".

Loudun où l'on a chanté pendant près d'une décennie, sur l'air de la Paimpolaise, une complainte en trente-quatre couplets, œuvre d'un rimailleur local qui se taillait un certain succès : "La bonne ville de Loudun/Célèbre par Urbain Grandier/Se réveilla un beau matin/Avec sa super Brinvilliers/Une femme assassin Pire que la Voisin..." Coupable ou innocente ? Marie Besnard a toujours nié. L'affaire restera l'une des plus grandes énigmes judiciaires françaises du XXe siècle.
 

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