MU LA LEMURIE
Une civilisation supposée avoir existé avant et en même temps que l'Atlantide
La Lémurie est appelée aussi Mu, ou Terre de Mu. C'est une ancienne civilisation qui est supposée avoir existé avant et en même temps que l'Atlantide. On la situe dans le Pacifique Sud, entre l'Amérique du Nord, l'Asie et l'Australie. |
Mu, aurait été englouti par une éruption volcanique. Les survivants auraient alors fondé la civilisation Maya. |
A l'apogée de sa civilisation, les lémuriens étaient hautement évolués et d'une grande spiritualité. Ce continent légendaire aurait sombré dans l'Océan. Les survivants purent se réfugier dans les colonies de Mu. Malheureusement, il est très difficile de trouver une preuve concrète de son existence. |
En 1926, le colonel James Churchward, américain d'origine anglaise, fit sensation en publiant son 1er livre : "Le continent perdu de Mu." Il affirmait que des tablettes découvertes en Inde et au Mexique, rédigées dans le langage de Mu qu'un vieux prêtre d'Asie lui avait appris à déchiffrer, confirmaient que ce continent avait été la source de toute civilisation, avant même l'Atlantide. Après avoir quitté l'Inde, Churchward chercha d'autres preuves concrètes de l'existence de Mu, au Tibet, en Égypte, en Nouvelle Zélande et à l'île de Pâques. Il raconta avoir trouvé de nombreux textes gravés dans la langue sacrée de Mu. Malheureusement, personne d'autre n'a jamais vu ces plaquettes et le doute subsiste toujours sur les découvertes et les dires de Churchward. |
Tablettes naacales - Codex troano - Tablettes du Mexique - Papyrus
Les tenants de l'existence du continent Pacifique entreprirent une approche toute différente du problème et préférèrent fonder leurs théories sur l'interprétation de certains documents et de certaines traditions, négligeant un peu, il faut le reconnaître, les réalités géologiques. Celui que l'on considère a juste titre comme le pionnier de toutes les recherches relatives à Mu, puisque c'est ce nom qui aurait désigné la terre australe originelle, est le colonel James Churchward, auteur de cinq ouvrages consacrés a cette question : The lost continent of Mu (1926), The children of Mu (1931), The sacred symbols of Mu (1933), The Cosmic Forces of Mu (1934) et The Second Book of the Cosmic Forces of Mu (1935). En 1874 il rencontra un grand prêtre indigène qui lui fit découvrir, à travers certaines tablettes anciennes, l'existence passée du continent de Mu. I1 participa ensuite à une expédition au Tibet et, un peu plus tard, a une autre entreprise de cet ordre en Mongolie et en Sibérie. |
Les tablettes naacales |
Après deux années de travail qui lui permirent de déchiffrer un certain nombre d'inscriptions mystérieuses retrouvées sur les parois de certains temples, le jeune Churchward eut l'extrême privilège d'être amené à contempler des tablettes sacrées qui, selon son maître, avaient été apportées de Birmanie, où elles auraient été écrites par les Naacals, héritiers des anciennes connaissances muennes. |
Codex Troano |
Les 2500 tablettes en pierre du Mexique |
De nouvelles découvertes permirent de compléter bientôt ces premières données, ainsi que nous l'explique Churchward : “ Toutes mes affirmations sont fondées sur la traduction de deux séries de tablettes anciennes. Il y a les tablettes naacales, découvertes par moi il y a de nombreuses années aux Indes, et une importante collection de tablettes en pierre, plus de deux mille cinq cents, découvertes récemment au Mexique par William Niven. Ces deux séries de tablettes ont la même origine. Car chaque série est composée d'extraits des écritures inspirées et sacrées de Mu.”. |
Les affirmations de Churchward ont fait l'objet de très vives réserves, principalement dues au fait qu'il demeure très évasif quant à l'origine de ses sources. Nul ne sait de quel temple il a tiré les fameuses tablettes naacales et il reste très imprécis quand il évoque son voyage au Tibet occidental, au cours duquel des lamas lui auraient présenté une carte de l'ancien continent de Mu, dont il évalue l'âge à vingt mille ans. |
Des rouleaux de papyrus remontant a près de vingt mille ans |
Ce continent s'étendait sur 5 000 km du nord au sud, depuis les Hawaii, qui marquent encore aujourd'hui son extrémité septentrionale, jusqu'à une ligne joignant l'île de Pâques aux îles Fidji. D'est en ouest, il s'étendait sur 8 000 km : il était formé de trois terres séparées par d'étroits chenaux, selon la carte étudiée au Tibet. tout au moins. Ce vaste ensemble se présentait comme une immense plaine vallonnée au climat tropical et a la végétation luxuriante. Ce paradis originel était fertile et propice à toutes les cultures. Des villes importantes regroupaient une population nombreuse, évaluée à plus de 60 millions d'habitants au moment de la catastrophe. Mu était véritablement le centre de toute civilisation et les autres foyers de culture n'étaient que ses colonies. Ce vaste ensemble se présentait comme une immense plaine vallonnée au climat tropical et a la végétation luxuriante. Ce paradis originel était fertile et propice à toutes les cultures. Des villes importantes regroupaient une population nombreuse, évaluée à plus de 60 millions d'habitants au moment de la catastrophe. Mu était véritablement le centre de toute civilisation et les autres foyers de culture n'étaient que ses colonies. |
De nombreuses ruines viennent confirmer, à travers les îles du Pacifique, la floraison passée d'une haute civilisation. L'île de Pâques et ses statues constituent sans conteste les vestiges les plus connus et les plus spectaculaires : elles sont au nombre de cinq cent cinquante, constructions cyclopéennes dont l'origine demeure aujourd'hui inexpliquée malgré les tentatives faites en ce sens par les savants officiels depuis plusieurs décennies. Ces constructions colossales ne sont pas les seules qui aient été reconnues sur ce modeste îlot de 118 km2 : un grand temple et des terrasses de pierre imposantes traduisent l'importance d'une activité que l'on ne peut sérieusement attribuer aux Pascuans, découverts par Roggeveen au XVIIIè siècle. Plusieurs tablettes qui ont été déchiffrées révèlent que “ quand cette île a été créée et a été connue de nos ancêtres, la terre était traversée de belles routes pavées de pierres plates. Ces pierres étaient si parfaitement jointes et posées qu'on ne voyait pas les bords... ” et, par ailleurs, que “ cette petite île faisait partie jadis d'un vaste continent traversé par des routes merveilleusement pavées de belles pierres plates ”. |
lol
alor bien blacko il ta pa pisser dessus au moins
lol
bisous